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mercredi 31 mars 2021

Charles André van Loo (1705-1765) - Homme nu dormant

Charles André van Loo (1705-1765), Homme nu dormant, dessin, sanguine, peintres français du 18e siècle, règne de Louis XV, Marquise de Pompadour,

 

Charles André van Loo (1705-1765)
Homme nu dormant
Collection privée 

 

 Charles André van Loo, dit Carle van Loo, est un peintre français, fils du peintre Louis-Abraham van Loo et le frère du peintre Jean-Baptiste van Loo (1684-1745). Il connut une carrière brillante et devint immensément célèbre, sous la protection de la Marquise de Pompadour pour laquelle il travailla énormément.
Il est le plus connu des membres de la dynastie des Van Loo, établie en France au 17e siècle.
Sa maîtrise technique est assurément exceptionnelle. Consciencieux, peu sûr de lui et peu instruit, il suivait les conseils de ses amis, se laissant influencer par la critique, modifiant ses compositions et n'hésitant pas à détruire ses œuvres. Ce fut le cas, par exemple, pour la première version de son œuvre Les Trois Grâces. Ceci explique la froideur de ses toiles les plus ambitieuses, en comparaison avec les esquisses préparatoires.
Diderot dira dans sa Notice sur Carle Vanloo en 1765 : « Le premier malotru assez confiant pour dire des bêtises était capable de lui barbouiller le plus beau tableau avec une sotte critique ; il en a gâté plus d’un sur des observations qui n'avaient souvent pas le sens commun ; et à force de changer, il se fatiguait sur son sujet, et finissait par une mauvaise composition, après en avoir effacé une excellente. »
Le succès public de ses tableaux fut considérable. On ne connaît pas d'équivalent à ce phénomène avant l'engouement suscité par la peinture morale de Jean-Baptiste Greuze et la peinture héroïque de Jacques-Louis David.

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vendredi 5 mai 2017

Charles André van Loo (1705-1765) - Académie d'homme


Charles André van Loo (1705-1765) 
Académie d'homme


Charles André van Loo, dit Carle van Loo,  est un peintre français, fils du peintre Louis-Abraham van Loo et le frère du peintre Jean-Baptiste van Loo (1684-1745). Il connut une carrière brillante et devint immensément célèbre, sous la protection de la Marquise de Pompadour pour laquelle il travailla normément.  Il est le plus connu des membres de la dynastie des Van Loo, établie en France au 17e siècle.
Sa maîtrise technique est assurément exceptionnelle. Consciencieux, peu sûr de lui et peu instruit, il suivait les conseils de ses amis, se laissant influencer par la critique, modifiant ses compositions et n'hésitant pas à détruire ses œuvres. Ce fut le cas, par exemple, pour la première version de son œuvre Les Trois Grâces. Ceci explique la froideur de ses toiles les plus ambitieuses, en comparaison avec les esquisses préparatoires.
Diderot dira dans sa Notice sur Carle Vanloo en 1765 : « Le premier malotru assez confiant pour dire des bêtises était capable de lui barbouiller le plus beau tableau avec une sotte critique ; il en a gâté plus d’un sur des observations qui n'avaient souvent pas le sens commun ; et à force de changer, il se fatiguait sur son sujet, et finissait par une mauvaise composition, après en avoir effacé une excellente. »
Le succès public de ses tableaux fut considérable. On ne connaît pas d'équivalent à ce phénomène avant l'engouement suscité par la peinture morale de Jean-Baptiste Greuze et la peinture héroïque de Jacques-Louis David.

jeudi 21 septembre 2017

Charles André van Loo (1705-1765) - Homme nu couché sur le dos avec les jambes en l'air


Charles André van Loo (1705-1765)
 Homme  nu couché sur le dos avec les jambes en l'air 
Bibliothèque Municipale de Lyon


Charles André van Loo, dit Carle van Loo,  est un peintre français, fils du peintre Louis-Abraham van Loo et le frère du peintre Jean-Baptiste van Loo (1684-1745). Il connut une carrière brillante et devint immensément célèbre, sous la protection de la Marquise de Pompadour pour laquelle il travailla normément.  Il est le plus connu des membres de la dynastie des Van Loo, établie en France au 17e siècle.
Sa maîtrise technique est assurément exceptionnelle. Consciencieux, peu sûr de lui et peu instruit, il suivait les conseils de ses amis, se laissant influencer par la critique, modifiant ses compositions et n'hésitant pas à détruire ses œuvres. Ce fut le cas, par exemple, pour la première version de son œuvre Les Trois Grâces. Ceci explique la froideur de ses toiles les plus ambitieuses, en comparaison avec les esquisses préparatoires.
Diderot dira dans sa Notice sur Carle Vanloo en 1765 : « Le premier malotru assez confiant pour dire des bêtises était capable de lui barbouiller le plus beau tableau avec une sotte critique ; il en a gâté plus d’un sur des observations qui n'avaient souvent pas le sens commun ; et à force de changer, il se fatiguait sur son sujet, et finissait par une mauvaise composition, après en avoir effacé une excellente. »
Le succès public de ses tableaux fut considérable. On ne connaît pas d'équivalent à ce phénomène avant l'engouement suscité par la peinture morale de Jean-Baptiste Greuze et la peinture héroïque de Jacques-Louis David.

vendredi 6 mars 2020

Charles André van Loo (1705-1765) - Homme debout


 

Charles André van Loo (1705-1765)
Homme debout, 1742.
Collection privée  


Charles André van Loo, dit Carle van Loo,  est un peintre français, fils du peintre Louis-Abraham van Loo et le frère du peintre Jean-Baptiste van Loo (1684-1745). Il connut une carrière brillante et devint immensément célèbre, sous la protection de la Marquise de Pompadour pour laquelle il travailla énormément.
Il est le plus connu des membres de la dynastie des Van Loo, établie en France au 17e siècle.
Sa maîtrise technique est assurément exceptionnelle. Consciencieux, peu sûr de lui et peu instruit, il suivait les conseils de ses amis, se laissant influencer par la critique, modifiant ses compositions et n'hésitant pas à détruire ses œuvres. Ce fut le cas, par exemple, pour la première version de son œuvre Les Trois Grâces. Ceci explique la froideur de ses toiles les plus ambitieuses, en comparaison avec les esquisses préparatoires.
Diderot dira dans sa Notice sur Carle Vanloo en 1765 : « Le premier malotru assez confiant pour dire des bêtises était capable de lui barbouiller le plus beau tableau avec une sotte critique ; il en a gâté plus d’un sur des observations qui n'avaient souvent pas le sens commun ; et à force de changer, il se fatiguait sur son sujet, et finissait par une mauvaise composition, après en avoir effacé une excellente. »
Le succès public de ses tableaux fut considérable. On ne connaît pas d'équivalent à ce phénomène avant l'engouement suscité par la peinture morale de Jean-Baptiste Greuze et la peinture héroïque de Jacques-Louis David.

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samedi 17 avril 2021

Charles Manne (nd) - Homme Endormi, 1908

Homme Endormi,  1908 Huile sur toile, 54 x 47cm Collection privée
 
Charles Manne  (non documenté)
Homme Endormi,  1908
Huile sur toile, 54 x 47cm
Collection privée

 Le thème de L'homme endormi  est un des plus fréquemment t traité dans la peinture européenne depuis le XVIe siècle.  Courbet, Cézanne, Caillebotte et sa célèbre Sieste mais aussi  Van Loo ou Carolus Duran.Le peintre Charles  Manne sur lequel nous n'avons strictement aucune information, pas même ces dates de naissance et de mort, restera au moins dans nos mémoires pour cette tolie, sensible et  belle, bien que très académique.

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samedi 26 mai 2018

Adélaide Labille-Guiard (1749-1803) - Portrait du peintre François-André Vincent

https://menportraits.blogspot.com/2018/05/adelaide-labille-guiard-1749-1803.html

Adélaide Labille-Guiard (1749-1803)
Portrait du peintre François-André Vincent, 1783 
Musée du Louvre, Paris 

Adélaîde Labille-Guiard, dite aussi Adélaïde Labille des Vertus, est une artiste peintre, miniaturiste et pastelliste française dont la destinée dans les temps troublés les de la Révolution française lui permit d'être à la fois la peintre officielle de Mesdames (les tantes du roi Louis XVI) et de faire le portrait au pastel du terrible Maximilien de Robespierre, celui de Talleyrand et ceux de 14  députés  de l'Assemblée nationale, lorsque Mesdames partirent en exil en Italie.  Sous la Terreur elle fut forcée, pour garder la vie, de détruire un de ses tableaux Réception d’un Chevalier de l’Ordre de Saint-Lazare par Monsieur ; elle en conçut une si grande amertume qu'elle cessa de peindre pendant quelques années.   
Dernière des 8 enfants d’un couple de bourgeois parisien dont le père est mercier et propriétaire de la boutique de mode, À la toilette, située rue de la Ferronnerie, dans la paroisse Saint-Eustache, elle voit très tot defiler devant ses yeux les belles dames de son temps. C’est  d'ailleurs dans la boutique de son père que débuta en tant que vendeuse, une certaine Jeanne Bécu, qui deviendra plus tard Madame du Barry..
Au18e siècle, pour des raisons de "décence", on refuse aux femmes le droit de copier des modèles vivants. Les femmes voulant peindre des portraits d'après des modèles vivants devaient donc se débrouiller par elle-mêmes et se lancer dans une carrière d’autodidacte.  Cette limitation explique pourquoi les femmes peintres peignirent principalement des portraits en buste. Ce fut aussi le cas d'une autre grande femme peintre du 18e siècle,  Elisabeth Vigée Le Brun.
Adélaïde ne se distingue pas de ses consœurs en  faisant surtout des portraits au pastel ou à l’huile qu'elle cadre à la poitrine ou à la taille (pour les plus osés ! ). Le pastel, bien qu’étant une technique difficile à maîtriser, est considéré comme une technique féminine réputée idéale pou rles portraits en buste sur petites surfaces de papiers. Le pastel est réservé au portrait intime, alors que l'on choisit l’huile pour représenter sa famille de manière officielle.
Les portraits d’Adélaïde étaient connus pour leur réalisme. Contrairement à Élisabeth Vigée Le Brun, elle n’a jamais arrangé le visage de ses modèles.
Sur environ 70 œuvres aujourd’hui connues d'Adélaïde Labille-Guiard, moins d’une dizaine sont des portraits en pied et encore sont ils des commandes de personnes illustres comme l'exceptionnel  portrait du peintre Van Loo peint en 1785 et conservé au Château de Versailles.
Parmi les nombreux autres portraits d'hommes en en buste que fit Adelaïde il ya  celui ou plutôt ceux (car elle fit plusieurs) de son propre mari François-André Vincent, qui se trouvait lui aussi être un très grand peintre de son temps, considéré à l'égal de Jacques-Louis David, mais que ces convictions royalistes desserviront pour laisser libre cours aux ambitions de David.
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jeudi 24 juin 2021

Nicolas-Bernard Lépicié (1735-1784) - Nu académique



Nicolas-Bernard Lépicié (1735-1784) Nu académique

Nicolas-Bernard Lépicié (1735-1784)
Nu académique


Souvent comparée à celle de Chardin et de Greuze la peinture de Lépicié a connu une grande vogue au XVIIIe siècle. À partir des années 1760, tout en continuant à peindre des sujets d’histoire, il se met à peindre des scènes de genre intimiste dans le style flamand qui rappellent Teniers le vieux et Ter Borch. Dans les dernières années de sa vie, il se retire souvent à la campagne où il peint des scènes rustiques à la suite d’une crise religieuse qui l’amènera à modifier ou à supprimer certaines de ses œuvres contraires à sa nouvelle sensibilité. Malade de la poitrine, il meurt avant sa cinquantième année, loué pour sa piété au moins autant que pour ses talents. Dans son testament, il demande qu'on détruise ses études de femmes trop dénudées.
Fils de deux graveurs, François-Bernard Lépicié (secrétaire perpétuel et historiographe de l’Académie royale de peinture et de sculpture) et Renée-Élisabeth Marlié, Nicolas-Bernard Lépicié étudie la gravure avec son père avant d’être forcé de quitter cet art, à cause de la faiblesse de sa vue, et de se tourner, vers 1751, vers la peinture qu’il étudie sous la direction de Charles van Loo.

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jeudi 30 septembre 2021

Jean-François Lagrenée (1725-1805) - Etude de nu

Jean-François Lagrenée (1725-1805) Etude de nu Collection privée
 

Jean-François Lagrenée (1725-1805)
Etude de nu
Collection privée


Lagrenée peut être considéré l'incarnation même de l'académisme français du XVIIIet début du XIXe siècle. Élève de Carle van Loo, il est admis en mars 1744 à l'École royale des élèves protégés nouvellement créée et obtient le prix de Rome en 1749. Il séjourne à l'Académie de France à Rome de 1750 à 1754. De retour à Paris, il est reçu membre de l'Académie royale le 31 mai 1755 avec L’Enlèvement de Déjanire.
Il est en Russie en 1760 où l'impératrice Élisabeth le nomme peintre de Sa Majesté et directeur de l'Académie des beaux arts de Saint-Pétersbourg à la suite de la mort de Louis-Joseph Le Lorrain.
Il revint en France exercer la même fonction au sein de l'Académie royale en 1763. Il devient successivement, adjoint-professeur, professeur, directeur de l'Académie de France à Rome, recteur, conservateur et administrateur honoraire du Musée. Le 2 octobre 1762, il est nommé professeur de peinture à l'Académie royale de peinture et de sculpture, en remplacement d'Edmé Bouchardon. Il aura pour successeur Antoine-Denis Chaudet en 1810.
Napoléon lui octroie la Légion d'honneur en 1804.
Louis-Jean-François Lagrenée meurt au palais du Louvre où il résidait.

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samedi 11 septembre 2021

Gilles Demarteau (1722-1776) - Etude de deux hommes nus

Gilles Demarteau (1722-1776), Etude de deux hommes nus, Craie rouge sur papier, Collection privée

Gilles Demarteau (1722-1776)
Etude de deux hommes nus
Craie rouge sur papier
Collection privée


Né dans une  famille d'armuriers, Gilles Demarteau rejoint son frère orfèvre à Paris où il se lie à Jean-Honoré Fragonard, Charles-André van Loo et surtout François Boucher dont il fut l'ami.
Créateur d'un procédé amélioré de gravure polychrome à la manière de crayon emprunté à Jean-Charles François pour lequel il travaillait, son nouveau procédé fut disputé par Louis-Marin Bonnet, André Basset dit le jeune et encore Jacques Gautier d'Agoty, mais sa maîtrise de la technique et une lettre du chevalier Jacques de Heusy (1719-1796) lui feront justice.
Il est agréé par l'Académie et montre neuf gravures au Salon de 1767, puis est présent en 1768, 1773 et 1775 à ce même salon. Devenu membre le 2 septembre 1769 de l'Académie, il fut pourvu d'une pension de 600 livres et logé au palais du Louvre en qualité de graveur du roi.
Il grave de nombreux portraits d'après François Boucher, Jean-Baptiste Huet, Frédou ou encore Greuze, ainsi que des motifs floraux d'après Louis Tessier.
Son neveu, Gilles Antoine Demarteau dit le Jeune (1756-1802), graveur, reprend son atelier et son échoppe ; à sa mort, l'ensemble des dessins que possédait son oncle fut vendu aux enchères

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mercredi 8 décembre 2021

Nicolas-Bernard Lépicié (1735-1784) - Nu debout

Nicolas-Bernard Lépicié (1735 -1784), Nu debout, Sanguine, Minneapolis Institute of Arts

Nicolas-Bernard Lépicié (1735-1784)
Nu debout
Sanguine
Minneapolis Institute of Arts


Fils de deux graveurs, Nicolas-Bernard Lépicié étudie la gravure avec son père avant d’être forcé de quitter cet art, à cause de la faiblesse de sa vue, et de se tourner, vers 1751, vers la peinture qu’il étudie sous la direction de Carle van Loo. Ayant obtenu, en 1759, le deuxième prix du prix de Rome, il reste néanmoins en France. Agréé par l’Académie royale en 1764, avec La Descente de Guillaume le conquérant en Angleterre (Caen, abbaye aux Hommes),  Reçu membre de l’Académie et peintre du roi avec Achille et le Centaure en 1769, il devient professeur-adjoint en 1770, puis professeur en 1779. Souvent comparée à celle de Chardin et de Greuze,  la peinture de Lépicié a connu une grande vogue au 18e siècle. À partir des années 1760, tout en continuant à peindre des sujets d’histoire, il se met à peindre des scènes de genre intimiste dans le style flamand qui rappellent Teniers le vieux et Ter Borch. Dans les dernières années de sa vie, il se retire souvent à la campagne où il peint des scènes rustiques à la suite d’une crise religieuse qui l’amènera à modifier ou à supprimer certaines de ses œuvres contraires à sa nouvelle sensibilité. Tuberculeux, il meurt avant sa cinquantième année, loué pour sa piété au moins autant que pour ses talents.  

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