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dimanche 10 novembre 2024

LES TABLEAUX QUI PARLENT N°122 - La mort du jeune Bara

 

 

LES TABLEAUX QUI PARLENT N°122 - La mort du jeune Bara

Jacques-Louis David (1748-1825) La mort du jeune Bara, 1794 Huile inachevée sur toile Musée Calvet, Avignon Un des tableaux les plus étonnants du peintre classique Jaques Louis David, habituellement plutôt coutumier des scènes mythologiques ou des grandes fresques officielles, Qui n’a pas pas en mémoire son célèbre » Sacre de Napoleon »? Il en va tout autrement avec cette « Mort de Bara », ne pas confondre avec » la Mort de Marat « qu’il peignit aussi, de même que les « Derniers instants de Michel Le Peletier », ces trois toiles faisant toute partie d'une série consacrée aux martyrs de la jeune République naissante. « La Mort de Bara «  fut une toile que David n ‘acheva jamais et qui fit partie de celle que fit partie de celle que tout peintre garde jalousement toute sa vie durant, dans son atelier. Il fallut que le peintre Horace Vernet en hérita à la fin de la vie de David et la vende au duc de Pourtalès que rien ne prédisposait à acquérir un tel sujet, avant qu’elle ne soit acquise par la fièvre acheteuse de l’antiquaire Marcel Puech qui en fit don à la ville d’Avignon et qu’elle ne finisse sur les murs du Musée Calvet de la même ville. Le tableau représente donc le jeune Joseph Bara - âgé de 14 ans à peine, engagé comme tambour, hussard ou ordonnance on ne sait pas trop dans l'armée républicaine révolutionnaire. Le 7 décembre 1793, il trouve la mort dans une embuscade près dans un trou paumé de Vendée. Selon la légende, encerclé par des Vendéens qui le sommaient de crier « Vive le roi », il aurait répondu « Vive la République « et pour cela donc il aurait été massacré. Pauvre enfant !  

Pour connaitre la suite, écoutez ce podcast...

 

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mercredi 24 mai 2023

Jacques-Louis David (1748–1825) - Portrait du flûtiste et compositeur François Devienne,

Jacques-Louis David (1748–1825) Portrait du flûtiste et compositeur François Devienne, 1792, Huile sur toile, 75 x59,5cm Musée royaux des Beaux-arts de Belgique

 

Jacques-Louis David (1748–1825)
Portrait du flûtiste et compositeur François Devienne, 1792,
Huile sur toile, 75 x59,5cm
Musée royaux des Beaux-arts de Belgique 


Portrait d'une grande expressivité que celui peint par Jacques Louis David de François Devienne, compositeur français, qui fut également flûtiste, bassoniste et enseignant. À l'âge de 10 ans, il compose sa première œuvre, une messe. En 1779, ses études terminées, c'est le baron de Bagge, mécène et compositeur, qui s'occupe de son entretien. De 1780 à 1785 il est au service du cardinal de Rohan. Il y joue de la flûte (son maître a été Félix Rault) et du basson. En 1788 il est bassoniste au Théâtre de Monsieur, puis en 1793 à l'opéra de Paris. De plus, il compose. Parmi ses opéras composés durant les années 1790, un opéra-comique à caractère révolutionnaire lui apporte le succès, les Visitandines, comédie en deux actes et en prose, mêlée d’ariettes, créée au Théâtre Feydeau le 7 août 1792, sur un livret de Louis-Benoît Picard. Si les compositions concertantes de Devienne, surnommé le « Mozart français», peuvent être comparées à celles de Franz Anton Hoffmeister (qui en a écrit 25 pour la flûte), leur style brillant et leur sens de la mélodie rappellent en effet plutôt Mozart. Mozart, durant son séjour à Paris en 1778, a assisté à des concerts donnés par le Concert spirituel des Tuileries, mais c'est sans doute plus tard que Devienne y joua ses propres compositions. Devienne fut interné à l'asile de Charenton en 1803 et y meurt le 5 septembre de la même année. Jean-Pierre Rampal, dans les années 1960 et 1970, a tiré de l'oubli ses compositions pour flûte.

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mercredi 11 mars 2020

Jacques-Louis David (1748-1825) Portrait de Jacobus Blauw

 

Jacques-Louis David (1748-1825)
Portrait de Jacobus Blauw,  1795, 
National Gallery London

Le Portrait de Jacobus Blauw est un tableau peint par Jacques-Louis David en 1795. il représente Jacobus Blauw  (1759 - 1829) qui à l'époque était ministre plénipotentiaire de la république batave et chargé avec Gaspar Meyer (dont David fit aussi le portrait) de faire reconnaître la jeune République par la France. 
Sur un fond modulé de brun et vert, se détache le buste de Jacobus Blauw. Celui-ci est vu de trois quart la tête légèrement orientée de face, les cheveux poudrés. Il est assis sur une chaise dont on aperçoit le dossier, et est légèrement penché sur une table recouverte d'un drap de couleur verte. Sur la table, Blauw tient une tabatière de sa main gauche et un mouchoir à carreaux est posé à ses côtés, de la main droite il écrit avec une plume d'oie sur un feuillet dont on lit son nom en entête. À l'extrême droite du tableau un encrier de verre à demi rempli d'encre est posé sur le bout de la table. Il est vêtu d'une redingote bleu foncé à quatre boutons dorés, le col bleu est un peu plus clair. Il porte en dessous un gilet de moire et un foulard blanc noué sur une chemise blanche dont les manches dépassent légèrement de la redingote. Il est assis sur une pèlerine qu'il utilise comme coussin. Le tableau est signé et daté « L.David. 4 » (pour An IV du calendrier républicain) en bas à gauche sur l'un des plis de la pèlerine.
Suite sur Wikipedia 

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lundi 12 septembre 2016

jeudi 23 juin 2016

mercredi 24 février 2016