google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 PORTRAITS MASCULINS : Nicolas-Bernard Lépicié (1735-1784)
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mercredi 8 décembre 2021

Nicolas-Bernard Lépicié (1735-1784) - Nu debout

Nicolas-Bernard Lépicié (1735 -1784), Nu debout, Sanguine, Minneapolis Institute of Arts

Nicolas-Bernard Lépicié (1735-1784)
Nu debout
Sanguine
Minneapolis Institute of Arts


Fils de deux graveurs, Nicolas-Bernard Lépicié étudie la gravure avec son père avant d’être forcé de quitter cet art, à cause de la faiblesse de sa vue, et de se tourner, vers 1751, vers la peinture qu’il étudie sous la direction de Carle van Loo. Ayant obtenu, en 1759, le deuxième prix du prix de Rome, il reste néanmoins en France. Agréé par l’Académie royale en 1764, avec La Descente de Guillaume le conquérant en Angleterre (Caen, abbaye aux Hommes),  Reçu membre de l’Académie et peintre du roi avec Achille et le Centaure en 1769, il devient professeur-adjoint en 1770, puis professeur en 1779. Souvent comparée à celle de Chardin et de Greuze,  la peinture de Lépicié a connu une grande vogue au 18e siècle. À partir des années 1760, tout en continuant à peindre des sujets d’histoire, il se met à peindre des scènes de genre intimiste dans le style flamand qui rappellent Teniers le vieux et Ter Borch. Dans les dernières années de sa vie, il se retire souvent à la campagne où il peint des scènes rustiques à la suite d’une crise religieuse qui l’amènera à modifier ou à supprimer certaines de ses œuvres contraires à sa nouvelle sensibilité. Tuberculeux, il meurt avant sa cinquantième année, loué pour sa piété au moins autant que pour ses talents.  

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jeudi 24 juin 2021

Nicolas-Bernard Lépicié (1735-1784) - Nu académique



Nicolas-Bernard Lépicié (1735-1784) Nu académique

Nicolas-Bernard Lépicié (1735-1784)
Nu académique


Souvent comparée à celle de Chardin et de Greuze la peinture de Lépicié a connu une grande vogue au XVIIIe siècle. À partir des années 1760, tout en continuant à peindre des sujets d’histoire, il se met à peindre des scènes de genre intimiste dans le style flamand qui rappellent Teniers le vieux et Ter Borch. Dans les dernières années de sa vie, il se retire souvent à la campagne où il peint des scènes rustiques à la suite d’une crise religieuse qui l’amènera à modifier ou à supprimer certaines de ses œuvres contraires à sa nouvelle sensibilité. Malade de la poitrine, il meurt avant sa cinquantième année, loué pour sa piété au moins autant que pour ses talents. Dans son testament, il demande qu'on détruise ses études de femmes trop dénudées.
Fils de deux graveurs, François-Bernard Lépicié (secrétaire perpétuel et historiographe de l’Académie royale de peinture et de sculpture) et Renée-Élisabeth Marlié, Nicolas-Bernard Lépicié étudie la gravure avec son père avant d’être forcé de quitter cet art, à cause de la faiblesse de sa vue, et de se tourner, vers 1751, vers la peinture qu’il étudie sous la direction de Charles van Loo.

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