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jeudi 1 octobre 2020

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Le polisseur de marbre


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901), Le polisseur de marbre.



Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Le polisseur de marbre, 1884
Collection Privée


Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa et d'Adèle Tapié de Céleyran, Henri de Toulouse-Lautrec est né dans l'une des plus illustres familles nobles de France, qui s'enorgueillissait de descendre en droite ligne des comtes de Toulouse, les plus puissants seigneurs féodaux du royaume jusqu'au XIIIe siècle. Malgré son nom illustre, cette famille vit au XIXe siècle comme une famille de la noblesse plus ou moins aisée de province. Les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d'éviter la division des patrimoines et l'amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d'Henri, cousins au premier degré, c'est à dire issus de germains. Ils eurent deux garçons, Henri, l'aîné et, quatre ans plus tard, son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après. L'incompatibilité d'humeur entre les deux parents entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère. Il grandit entre Albi, le château du Bosc (demeure de ses grands-parents paternels) et le château de Celeyran (demeure de la famille de sa mère) où il a peint quelques magnifiques portraits, très éloignés des peintures de cabarets et de la vie parisienne qui le rendirent célèbre à travers le monde.
Henri de Toulouse-Lautrec a eu, de son propre aveu, une enfance plutôt heureuse, jusqu'au moment où se révèle, en 1874, une maladie qui affecte le développement des os, la pycnodysostose, maladie génétique, due sans doute à la consanguinité de ses parents. Ses os sont fragiles et, le 30 mai 1878, il trébuche et tombe. Le médecin diagnostique le fémur gauche brisé et, en raison de sa maladie, la fracture se réduit mal. Entre mai 1878 et août 1879, il souffre de cette fracture du fémur bilatérale qui aggrave son retard de croissance : il ne dépassera pas la taille de 1,52 m. On essaye de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb.
Ce traitement qui se révèlera inutile, lui infligera d'atroces souffrances...


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lundi 4 octobre 2021

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Le joueur de flûte



Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901), Le joueur de flûte, vers 1884 Huile sur toile, 40 x 32,2 cm Collection privée


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Le joueur de flûte, vers 1884
Huile sur toile, 40 x 32,2 cm
Collection privée

Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa et d'Adèle Tapié de Céleyran, Henri de Toulouse-Lautrec est né dans l'une des plus illustres familles nobles de France, qui s'enorgueillissait de descendre en droite ligne des comtes de Toulouse, les plus puissants seigneurs féodaux du royaume jusqu'au XIIIe siècle. Malgré son nom illustre, cette famille vit au XIXe siècle comme une famille de la noblesse plus ou moins aisée de province. Les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d'éviter la division des patrimoines et l'amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d'Henri, cousins au premier degré, c'est à dire issus de germains. Ils eurent deux garçons, Henri, l'aîné et, quatre ans plus tard, son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après. L'incompatibilité d'humeur entre les deux parents entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère. Il grandit entre Albi, le château du Bosc (demeure de ses grands-parents paternels) et le château de Celeyran (demeure de la famille de sa mère) où il a peint quelques magnifiques portraits, très éloignés des peintures de cabarets et de la vie parisienne qui le rendirent célèbre à travers le monde.
Henri de Toulouse-Lautrec a eu, de son propre aveu, une enfance plutôt heureuse, jusqu'au moment où se révèle, en 1874, une maladie qui affecte le développement des os, la pycnodysostose, maladie génétique, due sans doute à la consanguinité de ses parents. Ses os sont fragiles et, le 30 mai 1878, il trébuche et tombe. Le médecin diagnostique le fémur gauche brisé et, en raison de sa maladie, la fracture se réduit mal. Entre mai 1878 et août 1879, il souffre de cette fracture du fémur bilatérale qui aggrave son retard de croissance : il ne dépassera pas la taille de 1,52 m. On essaye de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb.
Ce traitement qui se révèlera inutile, lui infligera d'atroces souffrances...

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mardi 28 novembre 2017

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Paul Leclercq


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Paul Leclercq, 1897 
Musée d'Orsay, Paris


Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa  et d'Adèle Tapié de Céleyran, Henri de Toulouse-Lautrec,  est né dans l'une des plus illustres familles nobles de France, qui s'enorgueillisait de descendre en droite ligne des comtes de Toulouse,  les plus puissants seigneurs féodaux du royaume jusqu'au XIIIe siècle.  
Malgré son nom illustre, cette famille vit au XIXe siècle comme une famille de la noblesse plus ou moins aisée de province.
Les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d'éviter la division des patrimoines et l'amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d'Henri, cousins au premier degré, c'est à  dire issus de germains. Ils eurent deux garçons, Henri, l'aîné et, quatre ans plus tard, son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après. L'incompatibilité d'humeur entre les deux parents entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère. Il grandit entre Albi, le château du Bosc (demeure de ses grands-parents paternels) et le château de Celeyran (demeure de la famille de sa mère) où il a peint quelques magnifiques portraits,  très éloignés des peintures de cabarets et de la vie parisienne qui le rendirent célèbre à travers le monde. 
Henri de Toulouse-Lautrec a eu, de son propre aveu, une enfance plutôt heureuse, jusqu'au moment où se révèle, en 1874, une maladie qui affecte le développement des os, la pycnodysostose, maladie génétique, due sans doute à la consanguinité de ses parents. Ses os sont fragiles et, le 30 mai 1878, il trébuche et tombe. Le médecin diagnostique le fémur gauche brisé et, en raison de sa maladie, la fracture se réduit mal. Entre mai 1878 et août 1879, il souffre de cette fracture du fémur bilatérale qui aggrave son retard de croissance : il ne dépassera pas la taille de 1,52 m. On essaye de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb. 
Ce traitement qui se révèlera inutile, lui infligera d'atroces souffrances...
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lundi 18 février 2019

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Un travailleur à Celeyran 1882


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
 Un travailleur à Celeyran 1882 
Collection privée 

Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa  et d'Adèle Tapié de Céleyran, Henri de Toulouse-Lautrec,  est né dans l'une des plus illustres familles nobles de France, qui s'enorgueillisait de descendre en droite ligne des comtes de Toulouse,  les plus puissants seigneurs féodaux du royaume jusqu'au XIIIe siècle.  
Malgré son nom illustre, cette famille vit au XIXe siècle comme une famille de la noblesse plus ou moins aisée de province.
Les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d'éviter la division des patrimoines et l'amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d'Henri, cousins au premier degré, c'est à  dire issus de germains. Ils eurent deux garçons, Henri, l'aîné et, quatre ans plus tard, son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après. L'incompatibilité d'humeur entre les deux parents entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère. Il grandit entre Albi, le château du Bosc (demeure de ses grands-parents paternels) et le château de Celeyran (demeure de la famille de sa mère) où il a peint quelques magnifiques portraits,  très éloignés des peintures de cabarets et de la vie parisienne qui le rendirent célèbre à travers le monde. 
Henri de Toulouse-Lautrec a eu, de son propre aveu, une enfance plutôt heureuse, jusqu'au moment où se révèle, en 1874, une maladie qui affecte le développement des os, la pycnodysostose, maladie génétique, due sans doute à la consanguinité de ses parents. Ses os sont fragiles et, le 30 mai 1878, il trébuche et tombe. Le médecin diagnostique le fémur gauche brisé et, en raison de sa maladie, la fracture se réduit mal. Entre mai 1878 et août 1879, il souffre de cette fracture du fémur bilatérale qui aggrave son retard de croissance : il ne dépassera pas la taille de 1,52 m. On essaye de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb. 
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vendredi 2 août 2019

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Le Joueur de flûte



Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Le Joueur de flûte, c. 1884. 
Oil on canvas, 40 x 32.2 cm. 
Private collection   (Sotheby's Images, London)


Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa  et d'Adèle Tapié de Céleyran, Henri de Toulouse-Lautrec,  est né dans l'une des plus illustres familles nobles de France, qui s'enorgueillisait de descendre en droite ligne des comtes de Toulouse,  les plus puissants seigneurs féodaux du royaume jusqu'au XIIIe siècle.  
Malgré son nom illustre, cette famille vit au XIXe siècle comme une famille de la noblesse plus ou moins aisée de province.
Les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d'éviter la division des patrimoines et l'amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d'Henri, cousins au premier degré, c'est à  dire issus de germains. Ils eurent deux garçons, Henri, l'aîné et, quatre ans plus tard, son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après. L'incompatibilité d'humeur entre les deux parents entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère. Il grandit entre Albi, le château du Bosc (demeure de ses grands-parents paternels) et le château de Celeyran (demeure de la famille de sa mère) où il a peint quelques magnifiques portraits,  très éloignés des peintures de cabarets et de la vie parisienne qui le rendirent célèbre à travers le monde. 
Henri de Toulouse-Lautrec a eu, de son propre aveu, une enfance plutôt heureuse, jusqu'au moment où se révèle, en 1874, une maladie qui affecte le développement des os, la pycnodysostose, maladie génétique, due sans doute à la consanguinité de ses parents. Ses os sont fragiles et, le 30 mai 1878, il trébuche et tombe. Le médecin diagnostique le fémur gauche brisé et, en raison de sa maladie, la fracture se réduit mal. Entre mai 1878 et août 1879, il souffre de cette fracture du fémur bilatérale qui aggrave son retard de croissance : il ne dépassera pas la taille de 1,52 m. On essaye de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb. 
Ce traitement qui se révèlera inutile, lui infligera d'atroces souffrances...
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mercredi 29 janvier 2020

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Portrait de Vincent van Gogh

 


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Portrait de Vincent van Gogh, 1887 
Pastel sur carton, 54x45 cm 
Van Gogh Museum, Amsterdam

A en croire Paul Signac, Vincent van Gogh se rendait tous les jours dans un bar, où « absinthes et les cognacs se succédaient rapidement». Van Gogh avoua lui-même plus tard qu'il était «presque alcoolique» au moment de son départ pour Arles. Henri de Toulouse-Lautrec avait donc de bonnes raisons d'esquisser son ami à une table avec un verre d'absinthe, un objet de son quotidien que Van Gogh n'hésita pas à peindre.
Toulouse Lautrec a rencontré Van Gogh, qui avait onze ans de plus que lui, dans l'atelier de Fernand Cormon, dont ils étaient tous les deux des élèves. Ils ont probablement travaillé ensemble de manière intensive pendant un certain temps, car le style et la technique de leurs peintures à cette époque se ressemblent beaucoup.
Malgré ses quelques informations sur leur jeunesse,  on ne sait pas grand-chose de leur amitié dont il reste cet unique pastel émouvant.

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vendredi 20 mars 2020

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Portrait d'Emile Bernard


 


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Portrait d'Emile Bernard, 1885
National Gallery London 

Toulouse Lautrec a beaucoup peint ses amis peintres. Ce blog a déjà publéi son portrait de Vincent Van Gogh et celui du sculpteur Henry Nocq.   Il aurait été étonnant qu'il ne peigne pas Emile Bernard qu'il rencontra  quand il avait 16 ans  dans l'atelier de peinture de Fernand Cormon, où Emile Bernard se lia immédiatement d'amitié avec  avec Louis Anquetin et Henri de Toulouse-Lautrec. Les deux peintres l'emmènent au musée du Louvre mais aussi dans les cabarets de Montmartre pour le déniaser un peu, comm eon disait à l'époque... Exclu de l'atelier Cormon en 1886 pour manque de discipline, il quitte Paris pour un voyage à pied en Normandie et en Bretagne où  il Paul Gauguin.


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vendredi 15 mars 2019

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Portrait d'Albert Grenier


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Portrait d'Albert (René) Grenier. 
Huile sur bois, (34 x 25 cm), 1887
The MET Museum


Durant  les années 1880, Grenier et Toulouse-Lautrec étaient étudiants ensemble dans l'atelier parisien du peintre d'histoire académique Fernand Cormon. Ils sont rapidement devenus amis : Lautrec a même vécu brièvement avec Grenier et sa maîtresse, Lili, actrice et modèle, et a réalisé plusieurs peintures du couple...
 Une inscription au verso de ce portrait indique qu'il a été peint dans l'atelier de Lautrec à Montmartre, rue Caulaincourt, en 1887. Il a utilisé des lavis de pigments à l'aquarelle très fins, appliqués sur un crayon fin, pour produire une étude très touchante du caractère de son camarade.
Visible au MET 5th avenue, New York,  Gallery 817

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dimanche 5 février 2023

LES TABLEAUX QUI PARLENT N° 74- Toulouse Lautrec, peintre social ?


 

LES TABLEAUX QUI  PARLENT N° 74- Toulouse Lautrec, peintre social ?

Ceci est un podcast, appuyez sur la flèche pour le lire. 

Polisseur de marbre, 1887
Huile sur toile 101,9 x 86,7 cm
Princeton University Art Museum, New Jersey, USA.

Voilà un métier, celui de polisseur de marbre que la mécanisation des taches industrielles a fait disparaitre presque complètement. Cette tache qui fut rude entre toutes, Henri de Toulouse Lautrec, l'a peinte dans cette toile en 1887, c'est à dire l'année même de la parution de "Germinal" de Zola et douze ans après que Gustave Caillebotte ait lui même peint ses célèbres "Raboteurs de parquets" en 1875, toile considérée comme l'une des premières représentations du prolétariat urbain.... 

Si vous voulez en savoir plus, écoutez ce podcast 

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vendredi 29 mars 2019

Henri Rachou (1855-1944) - Portrait du peintre Henri de Toulouse-Lautrec,


Henri Rachou  (1855-1944) 
Portrait du peintre Henri de Toulouse-Lautrec, 1883. 
Musée des Augustins Toulouse 


Le  peintre et conservateur de musée français  Henri Rachou fut réputé pour ses talents de portraitiste hérité de son enseignement dans l'atelier de Léon Bonnat. Il adopte dans ses œuvres décoratives un style plus épuré, avec des formes aplanies, emprunté à Pierre Puvis de Chavannes à qui il voue une grande admiration et qui témoigne également de son goût pour les estampes japonaises.
À partir de 1881 il expose au Salon des artistes français où il remporte une mention honorable avec Tricoteuses (Musée des Beaux-Arts de Pau) puis une médaille de 3e classe en 1884 et une médaille de 2e classe en 1890.
En 1889 il obtient une médaille de bronze à l'Exposition Universelle.
Il expose régulièrement dans les salons régionaux de Toulouse, Pau et Bordeaux.
En 1892 il réalise la Belle Paule pour le décor de la salle des Illustres du Capitole de Toulouse.
À partir de 1893, l'État lui achète des tableaux : Méditation en 1893, Le Cloître en 1899, La Cité de Carcassonne en 1905.
En 1902 la ville de Toulouse lui commande trois panneaux pour le décor du foyer du théâtre du Capitole.
En 1911 il réalise le carton de la tapisserie Hommage à Toulouse pour la manufacture des Gobelins destinée à l'hôpital de Carpentras. 

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samedi 5 octobre 2019

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Portrait de Henri Nocq



Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Portrait de Henri Nocq, 1897. 
Peinture à l'essence sur panneau  63.9 x 48.2 cm
Private collection  (Christie's Images, New York)


Henry Nocq (1868 -1944) fut un sculpteur, médailleur et orfèvre français mais aussi un peintre et un aquarelliste qui a laissé de nombreux bijoux remarquables.
Élève d'Henri Chapu,  Grand prix de Rome, sociétaire de la Société des artistes français, dès 1887, il participa régulièrement au Salon des artistes français où il reçut une mention honorable en 1889.
Il est honoré d'une médaille d'argent à l'Exposition universelle de 1900  
Il a écrit plusieurs ouvrages consacrés à l'orfèvrerie, dont Le Poinçon de Paris publié en cinq volumes de 1926 à 1931, où il recense les orfèvres parisiens et leurs poinçons. Cet ouvrage continue à faire référence de nos jours.
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samedi 27 juillet 2019

Paul-Gustav Fischer (1860-1934) - Self portrait, Nyrtox in Winter



Paul-Gustav Fischer  (1860-1934) 
Self portrait, Nyrtox in Winter 
Private collection  (Christie's sale)


Paul Gustave Fischer naît à Copenhague dans une famille d’ascendance juive-polonaise. Son père possède un commerce de peinture et de laques et, ayant souhaité devenir peintre dans sa jeunesse, oriente son fils vers cette activité. Il suit les cours de l’Académie royale des beaux-arts du Danemark à Copenhague pendant deux années.
Il débute par des peintures représentant des scènes de rues se déroulant à Copenhague, prises à la tombée de la nuit, lors de journées grises ou par temps de pluie et de neige et qui montrent l’activité des gens et illustrent l’atmosphère du Copenhague d’alors (cf. ci-dessus). Il a signé également plusieurs tableaux montrant des scènes de baignade nue sur des plages ensoleillées.  
Entre 1891 et 1895, il séjourne à Paris, fréquente des impressionnistes et développe la couleur dans ses toiles.
Ses œuvres font partie du mouvement réaliste puis naturaliste. Au cours de sa carrière, Fischer a également développé un intérêt pour les affiches, inspiré en cela par les travaux de Théophile Alexandre Steinlen et Henri de Toulouse-Lautrec, et Jules Chéret le publia dans Les Maîtres de l'affiche (1895-1900).

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mardi 26 novembre 2019

Edgar Degas (1834-1917) - Henri Rouart devant son usine



Edgar Degas (1834-1917)
 Henri Rouart devant son usine (c. 1875)
Huile sur toile  66 x 50 cm. 
Carnegie Institute of Art, Pittsburgh 


Henri Rouart, de son nom complet Stanislas-Henri Rouart (1833 - 1912), fut un ingénieur, industriel, artiste-peintre et collectionneur français.
Élève du lycée Louis-le-Grand à Paris, où il se lie d’amitié en classe de troisième avec Edgar Degas, Henri Rouart entre à l’École polytechnique et devient un ingénieur inventif. On lui doit, entre autres, les tubes du réseau de la poste pneumatique de Paris, système d'acheminement rapide du courrier à Paris dans des boîtes cylindriques propulsées par air comprimé dans un réseau souterrain de tuyauterie.
À la cinquantaine, Rouart se consacre entièrement à sa passion de peintre. Ancien élève de Corot et de Millet, son art est proche des impressionnistes. Il participe à ce titre à des expositions à partir de 1868 et il est très fidèle aux expositions du groupe impressionniste en étant présent lors de sept expositions sur les huit dès la Première exposition des peintres impressionnistes de 1874 chez Nadar.
Et il devient un collectionneur et un mécène reconnu de Delacroix, Courbet, Daumier, Millet, Corot, Manet, Berthe Morisot, Toulouse-Lautrec, Renoir, Puvis de Chavannes, Pissaro et Degas... entre autres. Trois expositions des impressionnistes se tiennent grâce à son appui financier et il aide aussi ses amis en leur achetant de nombreuses œuvres.
Après sa mort, en décembre 1912, sa fille et ses quatre fils décident de vendre sa fabuleuse collection. La vente rapporte une somme astronomique et marque le début de l'envol des prix des toiles impressionnistes.

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dimanche 5 août 2018

Mary Cassatt (1844-1926) - Toreador

http://menportraits.blogspot.com

Mary Cassatt (1844-1926)
 Toreador, 1873 
(pastel) 
Institute of Art of Chicago 

Plutôt célèbre pour ses portraits d'enfants et de femmes, la peintre américaine Mary Cassatt a peint aussi des hommes comme cet inattendu portrait de toréador peint à deux reprises,  l'atteste !  Dans l'une de ces oeuvres on le voit  hautain et assez macho, en conversation avec une belle gitane et ici  solitaire et agité,  et allumant cigarette après cigarette !  
Amie d'Edgar Degas, elle est souvent rattachée à l'impressionnisme, qui aura une grande influence sur son oeuvre. Ses peintures, ses gravures et ses dessins de maturité doivent cependant plutôt être comparés à ceux produits par la génération de peintres post-impressionnistes : Toulouse-Lautrec ou encore les Nabis, avec qui elle partage un net intérêt pour les peintres et graveurs de l'ukiyo-e, période du japonisme.
Elle exerça également l'activité d'agent et de conseillère de grands amateurs de peinture. Ses tableaux, présents dans les grands musées américains et à Paris, continuent d'être régulièrement exposés.

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vendredi 19 juillet 2019

Paul-Gustav Fischer (1860-1934) - A man on the beach


Paul-Gustav Fischer  (1860-1934)  
 A man on the beach, 1910
Private owner 

Paul Gustave Fischer naît à Copenhague dans une famille d’ascendance juive-polonaise. Son père Philip Fischer  (1817-1907) possède un commerce de peinture et de laques et, ayant souhaité devenir peintre dans sa jeunesse, oriente son fils vers cette activité. Comme son frère Johannes August Fischer  (1854-1921), qui devient également peintre, il suit les cours de l’Académie royale des beaux-arts du Danemark à Copenhague pendant deux années.
Il débute par des peintures représentant des scènes de rues se déroulant à Copenhague, prises à la tombée de la nuit, lors de journées grises ou par temps de pluie et de neige et qui montrent l’activité des gens et illustrent l’atmosphère du Copenhague d’alors.
 Entre 1891 et 1895, il séjourne à Paris, fréquente des peintres issu du mouvement impressionniste et développe la couleur dans ses toiles. Fischer se rend par la suite à plusieurs reprises en Allemagne et en Italie, voyage en Scandinavie et continue à peindre sur ses thèmes de prédilection. Il signe également plusieurs tableaux montrant des scènes de baignade nue se déroulant sur des plages ensoleillées.
Ses œuvres font partie du mouvement réaliste puis naturaliste. Au cours de sa carrière, Fischer a également développé un intérêt pour les affiches, inspiré en cela par les travaux de Théophile Alexandre Steinlen et Henri de Toulouse-Lautrec, et Jules Chéret le publia dans Les Maîtres de l'affiche (1895-1900).
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