Né à Montpellier, lauréat du Grand Prix de Rome en 1787 et disciple du grand David, François-Xavier Fabre (1766-1837) réalise la majeure partie de sa carrière à Florence, où il réside de 1793 à 1824. Portraitiste, peintre d’histoire et paysagiste, il se distingue par la pureté de son dessin qui doit beaucoup à Poussin comme par son usage raffiné de la couleur. II connaît de son vivant un grand succès auprès d’une clientèle élégante et cosmopolite qu’il croise dans le salon de la comtesse Louise d’Albany et du poète Alfieri, ses plus fidèles et fervents admirateurs. Il est aussi l’un des plus célèbres collectionneurs de son temps et le fondateur du musée qui porte son nom dans sa ville natale, auquel il lègue sa fabuleuse collection.
Collection virtuelle sur le thème du portrait masculin en peinture, dessin, sculpture et photographie. Chaque portrait est analysé et commenté en français et, quelquefois, détaillé dans un podcast. Biographie de peintres, sculpteurs, photographes et artistes. Portraits historiques, autoportraits, Nus académiques, portraits officiels, Histoire de la mode, Histoire du costume, Histoire de l'art.
vendredi 13 octobre 2017
François-Xavier Fabre (1766-1837) - Portrait de Vittorio Alfieri
Né à Montpellier, lauréat du Grand Prix de Rome en 1787 et disciple du grand David, François-Xavier Fabre (1766-1837) réalise la majeure partie de sa carrière à Florence, où il réside de 1793 à 1824. Portraitiste, peintre d’histoire et paysagiste, il se distingue par la pureté de son dessin qui doit beaucoup à Poussin comme par son usage raffiné de la couleur. II connaît de son vivant un grand succès auprès d’une clientèle élégante et cosmopolite qu’il croise dans le salon de la comtesse Louise d’Albany et du poète Alfieri, ses plus fidèles et fervents admirateurs. Il est aussi l’un des plus célèbres collectionneurs de son temps et le fondateur du musée qui porte son nom dans sa ville natale, auquel il lègue sa fabuleuse collection.
jeudi 12 octobre 2017
Eugène Jansson (1862-1915) - Pushing weights with two arms
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2017 - Men Portraits
Un blog de Francis Rousseau
mercredi 11 octobre 2017
Charles M. Russell (1864-1926) - Cow Boy showing the Grand Canyon

mardi 10 octobre 2017
Carel Fabritius (1622-1654) - Autoportrait, 1650
Carel Fabritius, n est un peintre néerlandais (Provinces-unies) du siècle d’or.
Moins d’une vingtaine de ses œuvres ont été conservées, dont deux autoportraits actuellement au musée Boijmans Van Beuningen de Rotterdam et à la National Gallery de Londres. Un troisième autoportrait, présumé, figure parmi les collections de l'Alte Pinakothek de Munich. Fabritius était sans nul doute doué de grands talents picturaux. Ses premières œuvres témoignent d’un très nette influence du style de Rembrandt. Aussi n’est-il n’est pas étonnant que beaucoup parmi celles-ci furent d’abord attribuées à ce dernier. Fabritius, cependant, parmi les élèves de Rembrandt, est l’un des rares qui soient parvenus au fil du temps à se dégager de son exemple : il abandonna les couleurs sombres et employa progressivement des teintes plus claires et plus chaleureuses. À côté de cela, il se préoccupa surtout de l’harmonie des couleurs et de la perspective. Ses dernières œuvres, à Delft, montrent une créativité et une recherche exceptionnelles. Il exerça alors une forte influence sur Johannes Vermeer, qui fut probablement son élève, et sur Pieter De Hooch, notamment en ce qui concerne la perspective et la composition ; cependant, c’est surtout son rendu de la lumière qui fascinèrent ces derniers. On ignore comment Fabritius en est arrivé à un changement de style aussi frappant. La force d’attraction de Delft y est sans doute pour beaucoup[: la ville inspira également d’autres peintres talentueux de cette époque, comme Gerard Terborch, Jan Steen et Paulus Potter. La peinture de Carel Fabritius n'a été redécouverte qu'au 19e siècle par le travail du critique d'art Théophile Thoré-Bürger.
lundi 9 octobre 2017
dimanche 8 octobre 2017
samedi 7 octobre 2017
vendredi 6 octobre 2017
jeudi 5 octobre 2017
Winslow Homer (1836-1910) - The life Line
Le peintre américain Winslow Homer (1836-1910) est surtout connu aujourd'hui pour ses marines. Bien qu'en grande partie autodidacte, il est considéré comme étant l'un des peintres majeurs du 19e siècle américain et l'une des figures principales du réalisme américain.
Né à Boston, il entre d'abord dans un atelier de lithographie de sa ville natale en tant qu'apprenti. C'est en 1859 qu'il commence sa carrière de peintre à New York, en ouvrant son premier studio. Durant la guerre de Sécession, il travaille comme illustrateur pour le Harper's Weekly, et réalise de nombreux dessins de batailles et scènes de guerre, croqués sur le vif, alors qu'il suit les armées nordistes.
Il se rend en voyage en France en 1867 et rencontre les peintres de l'Ecole de Barbizon par lesquels il est influencé. De retour en Amérique, il peint, surtout dans les années 1870, des paysages ruraux et des scènes idylliques de la vie campagnarde.
Il peint de nombreuses marines. Le critique d'art Françoise Dargent écrivit à propos de ses tableaux : « C'est comme si on invitait l'océan dans son salon. » Dans Key West, Hauling Anchor (1903), par exemple, le sujet est l'appareillage d'une goélette aurique à Key West, en Floride. Le rendu des couleurs somptueuses (ciel et mer) et l'exactitude des détails techniques, dont le petit key et ses cocotiers à l'horizon, sont des traits distinctifs de l'art du peintre.
Son œuvre pleine de vigueur et de réalisme utilise principalement deux techniques : l'huile et l'aquarelle. Dans ses portraits, il peint aussi souvent et surtout des enfants insouciants.
Il est enterré dans le cimetière de Mount Auburn, à Cambridge au Massachusetts.
mercredi 4 octobre 2017
mardi 3 octobre 2017
lundi 2 octobre 2017
dimanche 1 octobre 2017
samedi 30 septembre 2017
Thomas Eakins (1844-1916) - The Biglin Brothers Turning the Stake Boat
vendredi 29 septembre 2017
Pavel Korin (1892-1967)
jeudi 28 septembre 2017
mercredi 27 septembre 2017
mardi 26 septembre 2017
lundi 25 septembre 2017
Jules-Bastien Lepage (1848-1884)
dimanche 24 septembre 2017
samedi 23 septembre 2017
vendredi 22 septembre 2017
Alexander Deïneka (1899-1969) - Après la bataille
Angelica Kauffman (1741- 1807) - Portrait du Chevalier d'Eon
Angelica Kauffman (1741- 1807)
Portrait du Chevalier d'Eon (1728- 1810)
Huile sur toile 64 x 52, 4 cm réalisé en 1775
Collection privée
Avec ce portrait daté de 1775, on est très loin de l’aspect grosse veille dame un peu acariâtre coiffée d’un imposante charlotte de dentelle blanche tuyautée, sous lequel on représente habituellement Charles-Geneviève-Louis-Auguste-André-Timothée d’Éon de Beaumont… dit le chevalier d’Éon, espion travesti féminin, préféré de Louis XV et titulaire de la plus haute récompense royale de son temps, la Croix de Saint Louis qu'il gagna sur les champs de bataille de la Guerre de Sept ans, où âgé de 38 ans, il se battit sous l'uniforme de Capitaine de Dragons, le corps d'élite de don époque.
En fait, ce portrait , n'offre aucune ressemblance avec les représentations habituelles du chevalier travesti (dont la plupart sont conservées au British museum) et dans lesquels, jeune, le chevalier arbore une poitrine des plus avenantes, largement décolletée qui plus est, dans un costume qui ne ressemble pas du tout, mais alors pas du tout au costume pudique (deux voiles croisés revolver sa poitrine) et oriental dans lequel nous le voyons ici travesti.
Le délicieux turban en tissu bayadère et en voile transparent agrémenté d'une aigrette rouge sang et de plumes blanches retenues par un bijou précieux et un rang de grosses perles, n'a rien de commun avec les charlottes tuyautées du British Museum. De même la robe, toute de soie, ornée de passementeries délicates aux emmanchures au dessus des coudes.
Et puis surtout le visage. Plutot carré ici, alors qu'il est exagérément ovale partout ailleurs, aux lèvres parfaitement dessinées ici alors qu'elle semblent très pincées ailleurs. On note aussi ici l'absence de pomme d'Adam, qui n'enleve rien au trouble identitaire beaucoup plus perceptible dans cette oeuvre que dans toutes les autres aujourd'hui conservée où le chevalier apparait toujours comme une créature aux traits féminins caricaturaux ou grotesques, l'age venant.
Ici nous sommes dans une autre dimension. Celle du trouble galant, de l'orientalisme, de la duplicité des sentiments beaucoup plus proches de l'univers des Liaisons Dangeureuses que de celui de la gaudriole, de la farce de cabaret ou de la mamie drag queen !
Ce portrait apparait donc aussi énigmatique que le fut le personnage.... dont il est avéré aujourd'hui qu'il était bien un homme (la gravure du Bristish Museum faite sur son lit de mort ne laisse aucun doute sur le sujet !(cf. ci dessous )

British Museum,
Le qui fait que le portrait ci dessus ne ressemble à aucun autre du chevalier, tient sans doute à l'époque ou il a été peint : 1775 ! Année charnière pour le royaume de France: celle où le roi Louis XVI succède au roi Louis XV et année charnière pour le Chevalier d'Eon, âgé de 47 ans, dont le statut passa d'espion favori du secret de Louis XV, à celui, sous le nouveau roi Louis XVI, d'embarrassante relique d'une époque de galanterie, de légèreté et de charme diplomatique dispendieux dont on ne veut surtout plus entendre parler.
Au cours de l'année 1774, Louis XV avait sommé le chevalier d'indiquer une fois pour toutes son sexe véritable. Ce dernier refusant de se dévêtir et après s'être fait quelque peu palper sous le jupon par une cohorte de médecins anglais goguenards et complaisants, répondit par une déclaration solennelle dans laquelle il affirma être une femme, certificat médicaux de complaisance a l'appui.
Puis Louis XV mourut.
Et quel fut un de ses premiers actes de Louis XVI Arrivant au pouvoir ? Envoyer fessa à Londres le dramaturge mais aussi espion et membre du secret, Beaumarchais, auprès de son collègue le chevalier d'Eon avec pour mission de récupérer dard dard tous les documents, lettres, plans, libellés, en sa possession. Cela ne se fit pas du jour au lendemain et il fallut quatorze mois de négociations, avant la remise de l’intégralité des documents sensibles. Condition de cette rédition : le chevalier – que la France considérait désormais officiellement comme une femme puisque c'est lui même qui l'avait prouvée, – ne quitte plus jamais ses vêtements féminins et se fasse désormais appeler Mlle Éon, en échange de quoi une rente viagère lui serait accordée. Ce qui fut fait jusqu'à ce que la Révolution y mette un terme.
C'est tout de suite après cette accord historique là, que ce fabuleux et légendaire portrait de Mlle Eon âgé de 48 ans fut peint par Angelica Kauffman alors au fait de sa gloire ! Il faut dire qu'enfant prodige, elle avait commencé a peindre tout ce que le monde et le demi monde comptait d'important dès l'âge de 13 ans !!! A ce portrait d'une grande charge sensuel, on préfère ce pendant toujours celui de la grosse dame à la charlotte tuyauté. Sans doute est ce par ce qu'il est trop beau et trop gênant surtout pour être vrai. Mais son authenticité cependant n'est pas été remise en cause lors de son passage récent en vente publique, pour rejoindre une collection privée quelques part aux Etats Unis d'Amérique. Ce portrait a binen été peint par Angelica Kauffman en 1775 alors qu'elle vivait à Londres où elle fut un des membres fondateurs de la Royal Academy. Elle fut sans doute présenté à Mlle Eon, nouvellement déchue de ses titres de noblesse français, par le roi Georges III lui même dont elle peignit le portrait de la mère,la princesse Augusta Charlotte de Hanovre.
Que le meilleur espion de Louis XV ait été un travesti, n’est plus un secret pour personne.
Le fait qu’il ait finisse sa vie pauvre et misérable dans la patrie de James Bond ne doit pas étonner outre mesure quand on connait la légendaire reconnaissance de la France envers ses serviteurs de l'ombre. Enterré dans le cimetière de nécessiteux de Saint Pancras à Londres, le Chevalier d'Eon a donc raté de peu l'occasion de se retrouver sous le terminus de l’Eurostar, si les restes osseux ides cadavres n' avaient été déplacé pudiquement par l'administration de sa Majesté, avant que les travaux de la gare de commencent. Croupissant aujourd'hui dans un ossuaire anonyme, Le chevalier d'Eon, grand croix de Saint Louis, capitaine des dragons et prince des drag queen, ne risque pas d'attirer les foules bien que les anglais aient toujours eu un faible pour cette drôle de James bond girl que le roi Georges III adorait littéralement.
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jeudi 21 septembre 2017
Charles André van Loo (1705-1765) - Homme nu couché sur le dos avec les jambes en l'air
mercredi 20 septembre 2017
Albrecht Dürer (1471-1528)- Autoportrait aux gants
Musée du Prado, Madrid
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2017 - Men Portraits
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mardi 19 septembre 2017
lundi 18 septembre 2017
Alice Néel (1900-1984) - Aurel Scheibler
Alice Neel est une artiste visuelle américaine, particulièrement connue pour sa peinture à l'huile et pour ses portraits nus. Il s'agit d'une peinture sans fard, qui ne cède pas à la tentation des mouvements picturaux en vogue (l'impressionnisme dans ses années de formation, le surréalisme dans l'entre-deux-guerres, le pop art ... puisqu'elle a traversé à peut près tous le 20e siècle, et qui se démarque des canons habituels sur la représentation aussi bien de la féminité que de la virilité.
Les peintures d'Alice Neel sont remarquables pour leur utilisation expressionniste de la ligne et de la couleur, la perspicacité psychologique et l'intensité émotionnelle.
Communiste des le milieu des années 1930, elle réalise dans les années 1940 des illustrations pour la publication communiste, Masses & Mainstream, tout en continuant à peindre. Cependant, en 1943, la Work Projects Administration cesse de travailler avec elle, ce qui lui réduit ses revenus. Elle en vient à voler à l’étalage.
Dans les années 1950, l'amitié de l’acteur Mike Gold et son admiration pour son travail lui valent un spectacle au New Playwrights. En 1959, elle fait une apparition avec le jeune Allen Ginsberg dans un film beatnik, Pull My Daisy,de Robert Frank.
L'année suivante, son travail est présenté dans le magazine ARTnews. C’est essentiellement dans les années 1960 que sa notoriété se renforce. Son portrait de Kate Millet pour la une de Time Magazine le 31 août 1970 contribue aussi à la faire connaître.
En 1974, le Whitney Museum of American Art lui a consacré une rétrospective.
dimanche 17 septembre 2017
Edgar Degas (1834-1917) - Etude de nu masculin
samedi 16 septembre 2017
vendredi 15 septembre 2017
Corneille de Lyon (1500-1575) - Portait d'une homme barbu anciennement dit "Portrait de Charles de Cossé Brissac
Le peintre d'origine hollandaise, Corneille arrive au début des années 1530 à Lyon, ville dont il va adopter le nom. Il connaît immédiatement une grande réussite dans le genre du portrait et devient peintre royal, titre qu'il garde toute sa vie. Marié à une lyonnaise, bien intégré dans sa cité et jouissant d'une aisance confortable, il ne la quitte pas même durant les guerres de religion. Protestant, il est persécuté et revient à la religion catholique pour éviter l'exil.
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jeudi 14 septembre 2017
mercredi 13 septembre 2017
Agnolo Bronzino (1503-1572) - Portrait d'homme portant une statuette
2017 - Men Portraits
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mardi 12 septembre 2017
lundi 11 septembre 2017
Cuno Amiet (1868-1961) - Autoportrait 1922
Cuno Amiet est un peintre suisse considéré comme des pionniers de l'art moderne en Suisse. Suiveur de l'Ecole de Pont Aven dont il était un grand admirateur a ses débuts, il se rapproche plus tard de Ferdinand Hodler et se fait une identité par un usage très personnel de la couleur.
Sur les 4000 tableaux qu'il a peints, à peu pures 1000 sont des autoportraits !
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2017 - Men Portraits
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dimanche 10 septembre 2017
Harold Knight (1874-1961)
samedi 9 septembre 2017
Vintage photo of movie stars, Yul Brynner (2)
a film by Cecil B. de Mille (1956)
Shot in Vista Vision Color by technicolor
Après le succès des Dix Commandements ou il jouait le rôle du Pharaon Ramses II (ci-dessus), il continua a collaborer à quelques peplum bibliques et a un grand nombre de films d'aventures exotiques ou même de western. Parmi els plus célèbres : Salomon et la Reine de Saba en 1959, Les Sept Mercenaires en 1960, Taras Boulba en 1962 et Les Rois du soleil en 1963.
Jusqu’à sa mort Juli Borissovitch Bryner dit Yul Brynner ne cessa d’alimenter la légende de ses origines, si bien que celles-ci restèrent nimbées de mystère. Etait-il né en 1915 ou 1920, sur l’île de Sakhaline ou sur le continent, à l’extrême pointe orientale de la Russie ? Avait-il des ascendances mongoles et tsiganes ? S'appelait -il réellement Taidje Khan ?
Plus probablement fils d’un ingénieur d’ascendance suisse et d'une mère juive issue de l'intelligentsia russe, petite-fille d'un médecin converti à l’orthodoxie, l’acteur serait né à Vladivostok en 1920. Après que son père ait abandonné le foyer familial, en 1927, il suit sa mère en Chine, à Harbin (Mandchourie), où sa sœur et lui fréquentent une école de la YMCA.
En 1934, la famille émigre en Europe et s’installe à Paris. Pour gagner sa vie, le jeune homme chante et joue de la guitare la nuit dans les cabarets, se liant notamment aux musiciens tsiganes qu’il accompagne. On le retrouve ensuite trapéziste au Cirque d’Hiver, puis, après un grave accident qui l’éloigne de la carrière d’acrobate, machiniste et acteur au théâtre des Mathurins dirigé par George Pitoëff.
En 1941, nouveau départ, aux Etats-Unis cette fois, où le futur acteur, francophone, travaille dans un premier temps comme speaker auprès du US Office of War Information, lequel diffuse des programmes à destination de la France occupée. Il étudie également le théâtre, pose comme modèle et commence à se produire à Broadway.
vendredi 8 septembre 2017
jeudi 7 septembre 2017
mercredi 6 septembre 2017
mardi 5 septembre 2017
lundi 4 septembre 2017
dimanche 3 septembre 2017
samedi 2 septembre 2017
vendredi 1 septembre 2017
François-André Vincent (1746-1816)
François-André Vincent (1746-1816) Enseignement de Socrate à Alcibiade, 1777 Musée Fabre, Montpellier Exposé au Salon de 1777 avec Bélisaire, son pendant, Vincent illustre un épisode moral de l'histoire antique : le vaniteux Alcibiade, séduisant orateur athénien, reçoit les leçons de Socrate. A la laideur du philosophe est opposée le caractère artificiel et la beauté du jeune homme.
jeudi 31 août 2017
Antonio Mancini (1852-1930) - Self Portrait With Basket
Antonio Mancini est un peintre italien rattaché au mouvement pictural des Macchiaioli.
Sa précocité et son habilité artistique lui permettent d'être admis à l'âge de douze ans à l'Académie des beaux-arts de Naples, où il est l'élève de Domenico Morelli, de Stanislao Lista et de Filippo Palizzi. Il se consacre au portrait et à la peinture de genre anecdotique. Son art s'identifie avec le courant du vérisme.
Pendant son séjour parisien, il fait la connaissance des impressionnistes Edgar Degas et Édouard Manet. Il devient aussi l'ami de John Singer Sargent qui le considère comme le meilleur peintre vivant.