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jeudi 19 août 2021

Gustave Courtois (1852-1923) - Orphée,1875


Gustave Courtois (1852-1923), Orphée,1875, Détail, Huile sur bois, Musée municipal de Pontarlier, France

 

Gustave Courtois (1852-1923) Orphée,1875 Huile sur bois ,Musée municipal de Pontarlier, France

Gustave Courtois (1852-1923)
Orphée,1875
Huile sur bois
Musée municipal de Pontarlier, France 

 

Gustave Courtois était fils d'un garçon charcutier et d'un blanchisseuse, rien ne le prédestinait donc vraiment à devenir peintre. A ceci près que sa mère qui lui était totalement dévouée remarqua très vite l' intérêt pour l'art que le jeune Gustave développa dès qu'il fut scolarisé au lycée de Vesoul, intérêt aussi relevé par son professeur de dessin Victor Jeanneney. C'est alors que la décision est prise de la faire entrer à l'Ecole municipale de dessin de Vesoul.
Ses dessins furent présentés à Jean-Léon Gérôme qui lui conseilla en 1869 d’entrer à l’Ecole des beaux-arts de Paris.
Très proche ami de Pascal Dagnan-Bouveret, Gustave Courtois décida sitôt qu'il fut en age d'en faire une profession de partager son atelier de peintre avec lui, à Neuilly-sur-Seine à partir des années 1880. Il enseignait parallèlement la peinture à l’Académie de la Grande Chaumière et à l’Académie Colarossi de Paris. Réfugié au Tessin avec son ami Carl Ernst von Stetten pendant toute la durée de la Grande Guerre, il entretint une correspondance très suivie avec Robert Fernier alors que ce dernier se trouvait au front. Il est l'auteur de portraits, de scènes de genre, de scènes religieuses ou mythologiques très souvent peuplées de voluptueux nus masculins. Archétype de ce que l'on a appelé pendant un temps les" peintres provinciaux ", avant de juger l'appellation péjorative.
Se œuvres sont conservées dans les musées de Besançon, Marseille, Bordeaux, Pontarlier et dus Luxembourg.

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mercredi 27 décembre 2023

Gustave Courtois (1852-1923) -  Jeune Florentin Jouant avec des Chats

Gustave Courtois (1852-1923), Jeune Florentin Jouant avec des Chats Collection privée

Gustave Courtois (1852-1923)
Jeune Florentin Jouant avec des Chats
Collection privée

 

Gustave Courtois était fils d'un garçon charcutier et d'un blanchisseuse, rien ne le prédestinait donc vraiment à devenir peintre. A ceci près que sa mère qui lui était totalement dévouée remarqua très vite l' intérêt pour l'art que le jeune Gustave développa dès qu'il fut scolarisé au lycée de Vesoul, intérêt aussi relevé par son professeur de dessin Victor Jeanneney. C'est alors que la décision est prise de la faire entrer à l'Ecole municipale de dessin de Vesoul.
Ses dessins furent présentés à Jean-Léon Gérôme qui lui conseilla en 1869 d’entrer à l’Ecole des beaux-arts de Paris.
Très proche ami de Pascal Dagnan-Bouveret, Gustave Courtois décida sitôt qu'il fut en age d'en faire une profession de partager son atelier de peintre avec lui, à Neuilly-sur-Seine à partir des années 1880. Il enseignait parallèlement la peinture à l’Académie de la Grande Chaumière et à l’Académie Colarossi de Paris. Réfugié au Tessin avec son ami Carl Ernst von Stetten pendant toute la durée de la Grande Guerre, il entretint une correspondance très suivie avec Robert Fernier alors que ce dernier se trouvait au front. Il est l'auteur de portraits, de scènes de genre, de scènes religieuses ou mythologiques très souvent peuplées de voluptueux nus masculins. Archétype de ce que l'on a appelé pendant un temps les" peintres provinciaux ", avant de juger l'appellation péjorative.
Se œuvres sont conservées dans les musées de Besançon, Marseille, Bordeaux, Pontarlier et dus Luxembourg.

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mercredi 25 avril 2018

Gustave Courtois (1852-1923) - Le batelier du Lac Majeur


Gustave Courtois (1852-1923)
 Le batelier du Lac Majeur 
 Musée d'art et d'histoire de Pontarlier.

Né en plein milieu du 19e siècle en France, rien ne prédestinait vraiment Gustave Courtois fils d'un garçon charcutier et d'un blanchisseuse à devenir peintre. A ceci près que sa mère qui lui était totalement dévouée remarqua très vite l' intérêt pour l'art que le jeune Gustave développa dès qu'il fut scolarisé au lycée de Vesoul, intérêt aussi relevé par son professeur de dessin Victor Jeanneney.  C'est alors que la décision est prise de la faire entrer à l'Ecole municipale de dessin de Vesoul. 
Ses dessins furent présentés à Jean-Léon Gérôme qui lui conseilla en 1869 d’entrer à l’Ecole des beaux-arts de Paris.
Très proche ami de Pascal Dagnan-Bouveret,  Gustave Courtois décida sitôt qu'il fut en age d'en faire une profession de partager son atelier de peintre  avec lui, à Neuilly-sur-Seine à partir des années 1880. Il enseignait parallèlement la peinture à l’Académie de la Grande Chaumière et à l’Académie Colarossi de Paris où étudiaient, entre autres, Georges d’Espagnat et Maurice Prendergast. Il eut pour élèves deux étudiants inscrits à l’Ecole Nationale des Beaux-arts : Robert Fernier  et Robert Bouroult.
Réfugié au Tessin avec son ami Carl Ernst von Stetten pendant toute la durée de la Grande Guerre, il entretint une correspondance très suivie avec Robert Fernier alors que ce dernier se trouvait au front.
Il est l'auteur de portraits, de scènes de genre, de scènes religieuses ou mythologiques très souvent peuplées de voluptueux nus masculins.
Archétype de ce que l'on a appelé  pendant un temps les" peintres provinciaux ", avant de juger l'appellation péjorative, Sss œuvres sont conservées dans les musées de Besançon, Marseille, Bordeaux, Pontarlier et du Luxembourg

jeudi 28 mai 2020

Gustave Courtois (1852-1923) - Portrait de Maurice Deriaz


 

 Gustave Courtois (1852-1923)
Portrait de Maurice Deriaz, 1906
Collection privée


Maurice Deriaz et son frère ainé Emile, étaient les plus célèbres membre de cette famille qui comptait pas moins de 7 athlètes !  Ils  étaient tous nés en Suisse à Baulmes mais résidèrent en France pendant la majeure partie de leur vie.

Gustave Courtois était fils d'un garçon charcutier et d'un blanchisseuse, rien ne le prédestinait donc vraiment à devenir peintre. A ceci près que sa mère qui lui était totalement dévouée remarqua très vite l' intérêt pour l'art que le jeune Gustave développa dès qu'il fut scolarisé au lycée de Vesoul, intérêt aussi relevé par son professeur de dessin Victor Jeanneney. C'est alors que la décision est prise de la faire entrer à l'Ecole municipale de dessin de Vesoul.
Ses dessins furent présentés à Jean-Léon Gérôme qui lui conseilla en 1869 d’entrer à l’Ecole des beaux-arts de Paris.
Très proche ami de Pascal Dagnan-Bouveret, Gustave Courtois décida sitôt qu'il fut en age d'en faire une profession de partager son atelier de peintre avec lui, à Neuilly-sur-Seine à partir des années 1880. Il enseignait parallèlement la peinture à l’Académie de la Grande Chaumière et à l’Académie Colarossi de Paris. Réfugié au Tessin avec son ami Carl Ernst von Stetten pendant toute la durée de la Grande Guerre, il entretint une correspondance très suivie avec Robert Fernier alors que ce dernier se trouvait au front. Il est l'auteur de portraits, de scènes de genre, de scènes religieuses ou mythologiques très souvent peuplées de voluptueux nus masculins. Archétype de ce que l'on a appelé pendant un temps les" peintres provinciaux ", avant de juger l'appellation péjorative.
Se œuvres sont conservées dans les musées de Besançon, Marseille, Bordeaux, Pontarlier et dus Luxembourg.

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jeudi 9 avril 2020

Gustave Courtois (1852-1923) - Le Trieur de Maïs


 

Gustave Courtois (1852-1923)
 Le Trieur de Maïs 
Musée d'art et d'histoire de Pontarlier, France

Né en plein milieu du 19e siècle en France, rien ne prédestinait vraiment Gustave Courtois fils d'un garçon charcutier et d'un blanchisseuse à devenir peintre. A ceci près que sa mère qui lui était totalement dévouée remarqua très vite l' intérêt pour l'art que le jeune Gustave développa dès qu'il fut scolarisé au lycée de Vesoul, intérêt aussi relevé par son professeur de dessin Victor Jeanneney.  C'est alors que la décision est prise de la faire entrer à l'Ecole municipale de dessin de Vesoul. 
Ses dessins furent présentés à Jean-Léon Gérôme qui lui conseilla en 1869 d’entrer à l’Ecole des beaux-arts de Paris.
Très proche ami de Pascal Dagnan-Bouveret,  Gustave Courtois décida sitôt qu'il fut en age d'en faire une profession de partager son atelier de peintre  avec lui, à Neuilly-sur-Seine à partir des années 1880. Il enseignait parallèlement la peinture à l’Académie de la Grande Chaumière et à l’Académie Colarossi de Paris où étudiaient, entre autres, Georges d’Espagnat et Maurice Prendergast. Il eut pour élèves deux étudiants inscrits à l’Ecole Nationale des Beaux-arts : Robert Fernier  et Robert Bouroult.
Réfugié au Tessin avec son ami Carl Ernst von Stetten pendant toute la durée de la Grande Guerre, il entretint une correspondance très suivie avec Robert Fernier alors que ce dernier se trouvait au front.
Il est l'auteur de portraits, de scènes de genre, de scènes religieuses ou mythologiques très souvent peuplées de voluptueux nus masculins.
Archétype de ce que l'on a appelé  pendant un temps les" peintres provinciaux ", avant de juger l'appellation péjorative, Sss œuvres sont conservées dans les musées de Besançon, Marseille, Bordeaux, Pontarlier et du Luxembourg.

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samedi 23 avril 2016

Pascal Dagnan-Bouveret (1852-1929)






Pascal Dagnan-Bouveret  (1852-1929)
Un jeune breton

Pascal Dagnan-Bouveret  est un peintre français, fils d'un tailleur parisien,  élevé à Melun chez son grand-pиre Gabriel Bouveret. En 1869, il est admis 0 l'Ecole des beaux-arts de Paris dans l'atelier d'Alexandre Cabanel, puis dans celui de Jean-Léon Gérôme. Il se lie d'amitié à cette époque avec  Bastien-Lepage Gustave Courtois, avec lequel il partage un atelier à Neuilly-sur-Seine.
Il est classé second au concours du prix de Rome en 1876, puis part en Franche-Comté où il se consacre aux scènes de la vie quotidienne d'inspiration naturaliste. Ce n'est qu'après la mort de son ami Bastien-Lepage, en 1884, qu'il connait le succès public.
А partir de 1885, il voyage souvent en Bretagne qui lui inspire de nombreuses toiles. Le Pardon en Bretagne lui vaut un médaille d'honneur à l'Exposition universelle de 1889.
Dans les années 1896-1897, il s'intéresse à des sujets religieux, et vers la fin de sa carrière il exécute surtout des portraits. Il reçoit le grand prix de l'Exposition universelle de 1900 pour l'ensemble de son œuvre. Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts le 27 octobre 1900.
Le peintre catalan Jean Sala, ainsi que le peintre chinois Xu Beihong, sont sesélèves.
Il meurt а Quincey le 3 juillet 1929, dans sa maison . Il avait épousé Anne-Marie Walter, cousine du peintre Gustave Courtois. Le musée d'Orsay  à Paris onserve une série d'épreuves argentiques représentant la famille.
Il a laissé de nombreuses œuvres au musée Georges-Garret de Vesoul.


mardi 25 février 2020

Georges-Daniel de Monfreid (1856-1929) - Portrait de René Andreau





Georges-Daniel de Monfreid (1856-1929)
Portrait de René Andreau en 1895
Collection privée 

René Andreau (1970- 1945) était un peintre post impressionniste français,  élève de Joseph Blanc et de Gustave Courtois. Il exposait régulièrement au Salon de la Société Nationale des Beaux Arts à Paris, dont il fut nommé associé en 1897 et sociétaire en 1914. Il avait obtenu une mention honorable à l'Exposition Universelle de 1900. Il y exposait encore en 1938.  Dans sa jeunesse il a beaucoup peint les paysages de la région du Wissant dans le Pas-de-Calais et aussi de la Bretagne, particulièrement de Concarneau. Comme ce fut souvent le cas dans la suite de l'impressionnisme, Andreau fut particulièrement sensible aux variations apportés au paysage par les changements de temps, de saisons, par exemple: Impressions du soir à Wissant en 1897, ou  Soir dans le Pas-de-Calais 1901. Il était proche de Georges Daniel de Monfreid.

George-Daniel de Monfreid était un peintre et collectionneur d'art français. Né à New York, il a passé son enfance dans le sud de la France. Très tôt, il décide de faire carrière dans l'art et s'inscrit à l'Académie Julian. Il se lie d'amitié avec Paul Gauguin, Paul Verlaine et Aristide Maillol. Au début, son travail était impressionniste et néo-impressionniste, mais son groupe proche des Nabis a poussé son style en direction de Gauguin.
Il était également collectionneur d’art et mécène. Avec Gustave Fayet, il fut l'un des premiers collectionneurs des œuvres de Gauguin au moment de son exil dans le Pacifique. Il était également l'un des premiers biographes de Gauguin. Il a également été influencé par le cubisme de Pablo Picasso en fin de carrière.
Il était le père de l'écrivain français Henry de Monfreid (1879-1974).
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samedi 17 février 2024

Albert Edelfelt (1854 - 1905)  - Male Model



Albert Edelfelt (1854 - 1905) Male Model, 1873 Oil on paper laid on canvas 91.5 x 72 cm. Private collection


Albert Edelfelt (1854 - 1905)
Male Model, 1873
Oil on paper laid on canvas, 91.5 x 72 cm.
Private collection

 Fils d’un architecte suédois, Albert Edelfelt suit les cours de dessin de Carl Eneas Sjöstrand puis étudie à l’université d'Helsingfors. En 1873, il entre à l'académie des Beaux-Arts d'Anvers et il s'y lie d'amitié avec Émile Claus. En 1874, il entre à l'école nationale des Beaux-Arts de Paris et y suit les cours de Jean-Léon Gérôme. Son intérêt pour la peinture naturaliste va grandissant. En 1881, lors de son deuxième séjour à Paris, il rencontre Gustave Courtois, puis Jules Bastien-Lepage pour qui il éprouve une véritable admiration, le considérant comme un merveilleux coloriste. Il est alors bien introduit dans le milieu artistique parisien et est souvent invité à des dîners, où il rencontre Émile Zola, Alphonse Daudet ou Pierre Puvis de Chavannes. Il participe notamment au Salon du Champ-de-Mars, présentant trois tableaux en 1890. Son succès incitera d’autres artistes finlandais à venir s’installer à Paris. Vers la fin du siècle, il illustre des récits patriotiques finlandais en réponse à une expression toujours croissante venue de Russie, dont le grand-duché de Finlande dépendait. Il a eu pour élève Léon Bakst.

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lundi 28 juin 2021

Pascal Dagnan-Bouveret (1852–1929) - Le petit concert


 
 
Pascal Dagnan-Bouveret (1852–1929) Le petit concert Collection Privée  
 
Pascal Dagnan-Bouveret (1852–1929)
Le petit concert
Collection Privée


Fils d'un tailleur parisien, Pascal Dagnan-Bouveret est admis à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier d'Alexandre Cabanel, puis dans celui de Jean-Léon Gérôme. Il se lie d'amitié à cette époque avec Jules Bast-Lepage et Gustave Courtois, avec qui il partage un atelier à Neuilly-sur-Seine.
Dans les années 1896-1897, il s'intéresse à des sujets religieux, et fréquente les cercles symbolistes. Il est proche de la comtesse René de Béarn qui lui achète La Cène, important tableau installé dans la "salle byzantine" de l'hôtel de Béarn. Il obtient de nombreux succès en particulier aux États-Unis où il reçoit des commandes de la famille Frick, là l'origine de la célèbre Frick collection Vers la fin de sa carrière il exécute surtout des portraits. Il reçoit le grand prix de l'Exposition universelle de 1900 pour l'ensemble de son œuvre. Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts le 27 octobre 1900 et en deviendra président en 1914. La fin de sa vie est endeuillée par la perte de son fils Jean Dagnan, médecin et agrégé de philosophie, victime de la grippe espagnole.
Il laisse de nombreuses œuvres au musée Georges-Garret de Vesoul.
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lundi 22 août 2022

Pascal Dagnan-Bouveret (1852-1929) - Chevaux à l'abreuvoir

 

Pascal Dagnan-Bouveret  (1852-1929) Chevaux à l'abreuvoir, 1884, Huile sur toile, 225 x 175 cm. Musée d’Orsay,

Pascal Dagnan-Bouveret  (1852-1929)
Chevaux à l'abreuvoir, 1884,
Huile sur toile, 225 x 175 cm.
Musée d’Orsay, Paris

Fils d'un tailleur parisien, Pascal Dagnan-Bouveret est admis à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier d'Alexandre Cabanel, puis dans celui de Jean-Léon Gérôme. Il se lie d'amitié à cette époque avec Jules Bast-Lepage et Gustave Courtois, avec qui il partage un atelier à Neuilly-sur-Seine.
Dans les années 1896-1897, il s'intéresse à des sujets religieux, et fréquente les cercles symbolistes. Il est proche de la comtesse Renée de Béarn qui lui achète La Cène, important tableau installé dans la "salle byzantine" de l'hôtel de Béarn. Il obtient de nombreux succès en particulier aux États-Unis où il reçoit des commandes de la famille Frick, là l'origine de la célèbre Frick collection Vers la fin de sa carrière il exécute surtout des portraits. Il reçoit le grand prix de l'Exposition universelle de 1900 pour l'ensemble de son œuvre. Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts le 27 octobre 1900 et en deviendra président en 1914. La fin de sa vie est endeuillée par la perte de son fils Jean Dagnan, médecin et agrégé de philosophie, victime de la grippe espagnole.
Il laisse de nombreuses œuvres au musée Georges-Garret de Vesoul.
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mercredi 20 janvier 2021

Pascal Dagnan-Bouveret (1852–1929) - Les Conscrits

https://menportraits.blogspot.com/2021/01/pascal-dagnan-bouveret-18521929-les.html

Pascal Dagnan-Bouveret (1852–1929)
Les Conscrits
Collection privée


Fils d'un tailleur parisien, Pascal Dagnan-Bouveret est admis à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier d'Alexandre Cabanel, puis dans celui de Jean-Léon Gérôme. Il se lie d'amitié à cette époque avec Jules Bastien-Lepage et Gustave Courtois, avec qui il partage un atelier à Neuilly-sur-Seine.
Dans les années 1896-1897, il s'intéresse à des sujets religieux, et fréquente les cercles symbolistes. Il est proche de la comtesse René de Béarn qui lui achète La Cène, important tableau installé dans la "salle byzantine" de l'hôtel de Béarn. Il obtient de nombreux succès en particulier aux États-Unis où il reçoit des commandes de la famille Frick, là l'origine de la célèbre Frick collection  Vers la fin de sa carrière il exécute surtout des portraits. Il reçoit le grand prix de l'Exposition universelle de 1900 pour l'ensemble de son œuvre. Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts le 27 octobre 1900 et en deviendra président en 1914. La fin de sa vie est endeuillée par la perte de son fils Jean Dagnan, médecin et agrégé de philosophie, victime de la grippe espagnole.
Il laisse de nombreuses œuvres au musée Georges-Garret de Vesoul.


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mardi 5 janvier 2021

Albert Edelfelt (1854-1905) - Modèle masculin, étude académique, 1875


                       https://menportraits.blogspot.com/2021/01/albert-edelfelt-1854-1905-modele.html

Albert Edelfelt (1854-1905)
Modèle masculin, étude académique. 1875
Collection privée


Fils d’un architecte suédois, Albert Edelfelt suit les cours de dessin de Carl Eneas Sjöstrand puis étudie à l’université d'Helsingfors. En 1873, il entre à l'académie des Beaux-Arts d'Anvers et il s'y lie d'amitié avec Émile Claus. En 1874, il entre à l'école nationale des Beaux-Arts de Paris et y suit les cours de Jean-Léon Gérôme. Son intérêt pour la peinture naturaliste va grandissant. En 1881, lors de son deuxième séjour à Paris, il rencontre Gustave Courtois, puis Jules Bastien-Lepage pour qui il éprouve une véritable admiration, le considérant comme un merveilleux coloriste. Il est alors bien introduit dans le milieu artistique parisien et est souvent invité à des dîners, où il rencontre Émile Zola, Alphonse Daudet ou Pierre Puvis de Chavannes. Il participe notamment au Salon du Champ-de-Mars, présentant trois tableaux en 1890. Son succès incitera d’autres artistes finlandais à venir s’installer à Paris. Vers la fin du siècle, il illustre des récits patriotiques finlandais en réponse à une expression toujours croissante venue de Russie, dont le grand-duché de Finlande dépendait. Il a eu pour élève Léon Bakst.

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