google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 PORTRAITS MASCULINS : LES TABLEAUX QUI PARLENT N° 131 - Gustave Courtois despathe la tige

dimanche 16 février 2025

LES TABLEAUX QUI PARLENT N° 131 - Gustave Courtois despathe la tige

 
 
Gustave Courtois (1852-1923)
 Le Trieur de Maïs
Musée d'art et d'histoire de Pontarlier, France

Rien ne prédestinait vraiment Gustave Courtois, fils d'un garçon charcutier et d'une blanchisseuse à devenir artiste peintre. A ceci près que sa mère qui lui était totalement dévouée, remarqua très vite l' intérêt pour l'art que le jeune Gustave développa dès qu'il fut scolarisé au lycée de Vesoul, Et, en femme intelligente, elle le poussa dans cette voie selon l’expression consacrée, préférant que son fils peigne des petites cutottes plutôt que de les nettoyer.
Donc entré en 1869 à l’Ecole des beaux-arts de Paris. Gustave devint l’ami très proche de Pascal Dagnan-Bouveret, avec lequel il partagea longtemps son atelier. Et comme Paris le qualifia très vite de l’appellation péjorative de « peintre provincial », et bien il s’en retourna dans sa province et dans d’autres où il fit merveille. Adieu Paris.
Le modèle est un paysan. Comtois ? Basque ? Savoyard ? On ne sait pas trop. En tout cas il ne s’agit pas de Maurice Deriaz qui fut le modèle favori du peintre (consultez notre podcast N° 56 donné en lien.) 
 
Pour connaitre la suite écoutez ce podcast 
 
 
 
 

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