google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 PORTRAITS MASCULINS

dimanche 8 mai 2016

GEORGE CATLIN (1796-1872)


GEORGE  CATLIN  (1796-1872)
Sha co  pay (The Six),  chief of the Plains Ojibwa (1832)
Smithsonian American Art Museum 


George Catlin  est un artiste-peintre américain spécialisé dans la représentation des Indiens d'Amérique et de leurs us et coutumes.

En 1821, George Catlin abandonne une brillante carrière d'avocat, pour se consacrer а sa passion : peindre les indiens. Il voyage beaucoup dans les vastes territoires américains, et rapporte des peintures, des dessins et des objets d'artisanat. Son œuvre offre un témoignage essentiel sur la culture amérindienne.
Son style est caractérisé par un trait synthétique et un minimalisme des couleurs, révélateur des conditions difficiles de ses voyages, et de la rapidité d'exécution nécessaire. En 1838, Catlin crée l'Indian Gallery, destinée à rassembler le matériel qu'il a constitué. Elle est présentée sur la côte Est des Etats-Unis, ainsi qu'en Europe, oщ elle rencontre un grand succès.
En 1845, Le roi de France Louis-Philippe reçoit à Paris, au  Palais des Tuileries, le peintre américain George Catlin accompagné d'une troupe de danseurs amérindiens. Ces derniers interprètent un spectacle de danses traditionnelles. Le roi et la Cour sont charmés et impressionnés par le coup de pinceau artistique du maître qui peint l'évènement. Louis-Philippe commanda une série de toiles de l'artiste. Ces œuvres sont exposées au Musée du Quai Branly à Paris 
En 1852, victime d'une spéculation financière, Catlin fait faillite et, s'intégrant difficilement à la vie urbaine, il repart en voyage parmi les tribus d'Indiens. En 1860, il tente l'exploration de la jungle équatoriale sud-américaine, mais n'y retrouve pas son rapport particulier avec le monde amérindien.


vendredi 6 mai 2016

mercredi 4 mai 2016

mardi 3 mai 2016

François-Xavier Fabre (1766-1837) - Portrait of a Man

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François-Xavier Fabre (1766-1837)
Portrait of a Man, 1809
Musée Fabre, Montpellier 

Né à Montpellier, lauréat du Grand Prix de Rome en 1787 et disciple du grand David, François-Xavier Fabre (1766-1837) réalise la majeure partie de sa carrière à Florence, où il réside de 1793 à 1824. Portraitiste, peintre d’histoire et paysagiste, il se distingue par la pureté de son dessin qui doit beaucoup à Poussin comme par son usage raffiné de la couleur. II connaît de son vivant un grand succès auprès d’une clientèle élégante et cosmopolite qu’il croise dans le salon de la comtesse Louise d’Albany et du poète Alfieri, ses plus fidèles et fervents admirateurs. Il est aussi l’un des plus célèbres collectionneurs de son temps et le fondateur du musée qui porte son nom dans sa ville natale, auquel il lègue sa fabuleuse collection. C’est à la rencontre d’un artiste brillant et d’un homme fascinant et secret qu’invite cette monographie.


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lundi 2 mai 2016

Alonzo Sanchez Coello (1532-1588)





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Alonzo Sanchez Coello (1532-1588)
Autoritratto

Alonso Sánchez Coello ( était un portraitiste de la Renaissance espagnole et portugaise. Il est principalement connu pour ses portraits exécutés dans un style alliant l’objectivité de la tradition flamande à la sensualité de la peinture vénitienne. Il était peintre à la cour de Philippe II. [
Sánchez Coello a réalisé des portraits et des peintures religieuses. Les œuvres religieuses, dont beaucoup ont été créées pour le Palais de  l'Escurial, sont assez conventionnelles  et austères. 
Sánchez Coello fut  un disciple de Titien et, comme lui, excellait dans les portraits et les figures isolées, élaborant les textures de ses armures, draperies et autres accessoires à tel point qu'on l'on retrouve son  influence dans ce domaine jusque chez Velázquez . Chez Antonis Mor, Coello a appris la précision de la représentation et, chez Titien, les tonalités dorées vénitiennes, une finition soignée et là peu près tout de l'’utilisation de la lumière sur une toile. 
C'est donc surtout pour ses portraits que cet artiste est retnu par la postérité  souvient. Ils sont marqués par une facilité de pose et d'exécution, une dignité et une sobriété de représentation et une chaleur de couleur. Ses portraits de Philippe II (vers 1580) et de l'infante Isabel Clara Eugenia (1571), toutes deux conservées au Prado à Madrid, sont deux de ses plus belles œuvres. Sánchez Coello a également produit une série touchante de peintures des enfants de Philippe II. La délicatesse extrême du portrait des enfants adoucit l'étiquette rigide et la mode de la cour. 
La réputation de Sánchez Coello en tant que portraitiste a été cependant entachée  par les innombrables copies et imitations qui lui ont été attribuées à tort. 
Il n'y a jamais  eu de réelles biographies de Coello et beaucoup de ses œuvres sont encore confondues avec celles de Sofonisba Anguissola, qui a peint des portraits royaux à la même période, et de Juan Pantoja de la Cruz, élève de Coello.


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dimanche 1 mai 2016

vendredi 29 avril 2016

Thomas Andrew (1855-1939)







Thomas Andrew (1855-1939)
Talolo, wearing the ceremonial dress of a manaia, c.1895
National Library of New Zealand

jeudi 28 avril 2016




Gian-Lorenzo Bernini (1598-1680)
The man Splashed
Project for the fountain of the four rivers (Roma)
The MET, New-York


La fontaine des Quatre-Fleuves  (Fontana dei Quattro Fiumi) (1648-1651) fut bâtie par le Bernin au centre de la piazza Navona à Rome, devant l'église de Sant'Agnese in Agone.
Les quatre fleuves qu'elle représente symbolisent chacun un continent : le Danube (Europe) sculpté par Antonio Raggi, le Gange (Asie) sculpté par Claude Poussin, le Nil (Afrique) (le visage voilé car on ne connaissait pas sa source) sculpté par Giacomo Antonio Fancelli et le Rio de la Plata (Amérique) sculptй par Francesco Borromini. L'absence du continent océanien s'explique par le fait que ce continent n'avait pas encore été découvert.
C'est une œuvre de commande du Pape Innocent X : la colombe et le rameau d'olivier en haut de l'obélisque au centre de la fontaine sont l'emblème de sa famille (les Pamphili) qui avait un palais sur la place. Cet obélisque rapportée d'Egypte à Rome par Caracalla provient du cirque de Maxence.
Une légende, encore très populaire aujourd'hui, est liée а la rivalité entre Le Bernin et Francesco Borromini. On prétend que la statue du Rio de la Plata a le bras tendu de peur d'un effondrement de l'église de Sant'Agnese in Agone et aussi que la statue du Nil couvre son visage pour ne pas la voir.  Ce n'est qu'une légende, puisque la fontaine a été construite avant l'église, entre 1648 et 1651. Pour cette fontaine, Le Bernin réalisa plusieurs études en terre cuite  pour des personnages qui ne figurent souvent meme pas dans l'œuvre achevée. Celle qui est présentée dans ce blog fait partie de celles ci. 



mercredi 27 avril 2016

lundi 25 avril 2016

dimanche 24 avril 2016

samedi 23 avril 2016

Pascal Dagnan-Bouveret (1852-1929)






Pascal Dagnan-Bouveret  (1852-1929)
Un jeune breton

Pascal Dagnan-Bouveret  est un peintre français, fils d'un tailleur parisien,  élevé à Melun chez son grand-pиre Gabriel Bouveret. En 1869, il est admis 0 l'Ecole des beaux-arts de Paris dans l'atelier d'Alexandre Cabanel, puis dans celui de Jean-Léon Gérôme. Il se lie d'amitié à cette époque avec  Bastien-Lepage Gustave Courtois, avec lequel il partage un atelier à Neuilly-sur-Seine.
Il est classé second au concours du prix de Rome en 1876, puis part en Franche-Comté où il se consacre aux scènes de la vie quotidienne d'inspiration naturaliste. Ce n'est qu'après la mort de son ami Bastien-Lepage, en 1884, qu'il connait le succès public.
А partir de 1885, il voyage souvent en Bretagne qui lui inspire de nombreuses toiles. Le Pardon en Bretagne lui vaut un médaille d'honneur à l'Exposition universelle de 1889.
Dans les années 1896-1897, il s'intéresse à des sujets religieux, et vers la fin de sa carrière il exécute surtout des portraits. Il reçoit le grand prix de l'Exposition universelle de 1900 pour l'ensemble de son œuvre. Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts le 27 octobre 1900.
Le peintre catalan Jean Sala, ainsi que le peintre chinois Xu Beihong, sont sesélèves.
Il meurt а Quincey le 3 juillet 1929, dans sa maison . Il avait épousé Anne-Marie Walter, cousine du peintre Gustave Courtois. Le musée d'Orsay  à Paris onserve une série d'épreuves argentiques représentant la famille.
Il a laissé de nombreuses œuvres au musée Georges-Garret de Vesoul.


mercredi 20 avril 2016

Franck Hurley (1885-1962) - Portrait of Tom Crean

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Franck Hurley (1885-1962)
 Portrait of Tom Crean (1877-1938) , Antarctic explorer in 1915 

Thomas « Tom » Crean (1877-1938) est un explorateur de l'Antarctique irlandais. Il est né а Annascaul, dans le comté de Kerry. Il entre dans la Royal Navy а l'âge de 15 ans, en mentant sur son âge pour pouvoir être admis.
Tom Crean a pris part а trois des quatre grandes expéditions britanniques en Antarctique au cours de cette période. Parmi celles-ci, deux étaient celles conduites par Robert Scott et avaient pour but (parmi d'autres buts purement scientifiques) d'atteindre le Pôle Sud : l'expédition de 1901-1904 sur le Discovery et celle de 1911-1913 sur le Terra Nova. Durant cette expédition, Crean parcourt seul 35 milles (56 km) à travers la barrière de glace, afin de sauver la vie d'Edward Evans, ce qui lui vaut de recevoir la médaille Albert. La troisième expédition était celle conduite par Ernest Shackleton sur l’Endurance, sur lequel Crean sert en tant qu'officier second, de 1914à1916. Alors que l’Endurance se retrouve encerclée par la banquise, il vit avec l'équipage une série d'évènements dramatiques, comme une dérive de plusieurs mois dans les glaces, une tentative de sauvetage, et un périple de 800 milles (920 milles 1,500 km) jusqu'à la Géorgie du Sud. Au moment d'atteindre cette terre, Crean entreprend avec Shackleton et le capitaine Worsley, la première traversée terrestre par les hautes montagnes, sans cartes ni équipement d'alpinisme approprié.
Sa participation aux trois expéditions lui vaut de recevoir trois médailles polaires et une réputation de d' aventurier polaire plutôt fiable.
Après l'expédition de l’Endurance, Crean regagne la Royal Navy et sa carrière navale prend fin en 1920 ; il retourne alors dans le comté de Kerry, à Annascaul, sa ville natale. Il y ouvre une taverne appelée « L'auberge du pôle Sud » avec son épouse Ellen. 
Il y vécut tranquillement et discrètement jusqu'à sa mort en 1938.

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lundi 18 avril 2016

Charles M. Russell (1864-1926) - Self Portrait with horse





Charles M. Russell (1864-1926)
Self Portrait with horse

 Comme dans ses autres autoportrait il  apparait est debout, les pieds solidement plantés et le chapeau posé en arrière du crâne, comme a son habitude. Il est toujours habillé de la meme façon, portant son éternelle ceinture métisse rouge et ses bottes de cheval. 
 Dans une de ses lettres il écrivait :  « Je suis démodé et particulier dans ma façon de m'habiller. On dit que suis excentrique (une façon polie de dire que je suis un peu givré!). Je crois en la chance et j'en ai beaucoup… Tout homme qui peut gagner sa vie en faisant ce qu'il aime a de la chance, et c'est mon cas. »  Considéré comme un homme sensible, modeste et sans prétention, Russell percevait son  grand talent tout simplement comme une  "chance.".... Une chance qui lui a permis de peindre comme personne  plus de 2000 tableaux représentant les cow-boys, des indiens et des paysages du Far West de la fin du 19e siècle. 
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dimanche 17 avril 2016

Thomas Eakins (1844-1916) - Taking the count


Thomas Eakins (1844-1916)
Taking the count (1898)
Yale University Gallery (Whitney Collections of Sporting Art)

Thomas Cowperthwaite Eakins est un peintre, sculpteur et photographe américain, associé au courant moderniste du réalisme américain. Admis à l'École des beaux-arts de Paris dans les ateliers de Jean-Léon Gérôme, puis de Léon Bonnat de 1866 à 1868, il séjourne ensuite quelque temps à Pont-Aven à l'instigation de Robert Wylie. Il voyage ensuite en Espagne avant de retourner aux États-Unis où il commence une brillante carrière de peintre réaliste et se spécialise dans la peinture des sportifs (boxeurs, lutteurs, rameurs, joueurs de base ball... ). Amoureux de la vérité optique, il s'intéresse aussi à la photographie. En 1882, il devient professeur à l'académie des beaux-arts de Pennsylvanie, une école d'art avant-gardiste où l'on enseigne notamment la photographie. En 1886, il perd son poste de professeur à l'académie pour avoir admis un public féminin lors d'un cours d'anatomie d'après modèle masculin... 

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samedi 16 avril 2016

vendredi 15 avril 2016

Frank Albert Rinehart (1861-1928) - Bartelda, chef Apache



Frank Albert Rinehart (1861-1928)
 Portrait of Bartelda, chef Apach, 1899
Boston Library, USA

Apache (« ennemi » en langue zuñi) est un nom générique donné à différentes tribus amérindiennes d'Amérique du Nord vivant dans le sud-ouest des États-Unis et le Nord des États mexicains de Chihuahua et du Sonora, formant le territoire de l'Apacheria et partageant la même langue athapascane méridionale (proche des langues athapascanes septentrionales parlées par les Amérindiens d'Alaska et de l'ouest du Canada). 
Les Navajos parlent une langue très proche et partagent la même culture, ils sont donc souvent considérés comme des Apaches.
Venus du sud du Canada à une date indéterminée (entre 1200 et 1500 de notre ère), les Apaches vécurent d'abord dans les plaines du Kansas, du Nebraska et de l'est du Colorado où les rencontrèrent les explorateurs espagnols au 16e siècle. Par la suite, ils furent repoussés vers le sud-ouest par les Comanches et les Kiowas. Seuls les Apaches des Plaines restèrent en Oklahoma comme alliés et vassaux de ces derniers. 
Les Apaches avaient des modes de vie différents selon les lieux où ils résidaient et les influences auxquels ils étaient soumises. Ainsi les Lipans du Texas, les Mescaleros et les Jicarillas Llaneros chassaient le bison et étaient fortement influencés par la culture des Plaines. Les Jicarillas Oleros avaient quant à eux adopté un mode de vie proche de celui des Pueblos, pratiquant l'agriculture, la fabrication de poterie et vivaient dans des villages constitués de maisons rectangulaires en adobe. Les Chiricahuas et les Apaches de l'Ouest étaient des nomades vivant de chasse et de cueillette, parfois d'agriculture de subsistance.
Les Apaches résistèrent longtemps aux étrangers, affrontant d'abord les Espagnols (1520-1821), puis les Mexicains et enfin les Américains qui parviendront à les soumettre à la fin du 19e siècle.
Leurs chefs les plus célèbres sont Mangas Coloradas, Cochise, Victorio et Geronimo.

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jeudi 14 avril 2016

Bernardino Campi (1522-1591) - Portrait d'un jeune homme


Bernardino Campi  (1522-1591), 
 Portrait d'un jeune homme 

Bernardino Campi (né en 1520 à Reggio d'Émilie et mort le 18 août 1591 dans la même ville) est un peintre italien maniériste du 16e siècle, actif dans le nord de l'Italie, notamment à Crémone et Milan.





mercredi 13 avril 2016

Anthonis Mor (1517-1576) - Guillaume d'Orange, dit Guillaume le taciturne



Anthonis Mor ( ou Antonio Moro)  1517-1576)
Portrait de Guillaume d'Orange, dit Guillaume le taciturne (1554)
Gemäldegalerie Alte Meister, Cassel.

Antonio Moro, ou Anthonis Mor (est un peintre flamand. On le connait sous divers noms : son prénom est tantôt Anthonis, Antoon, Antonis, Anthony, Anthonius ou Antonio, son nom est tantôt Mor, More ou Moro, et il est également identifié par son titre acquis au cours de sa vie : Van Dashorst. Portraitiste très apprécié, il fait une carrière internationale, qui le mène а Bruxelles, Madrid, Lisbonne, Londres, Utrecht et Anvers.

mardi 12 avril 2016

Isaac Oliver (1570-1617) - Henry Stuart, Prince of Wales



Isaac Oliver (1570-1617)
Henry Stuart, Prince of Wales (1610-12).

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In November 1612, shortly before his nineteenth birthday, Henry, Prince of Wales, the eldest son of James I of England and VI of Scotland, and Anne of Denmark, died of typhoid fever after a short illness. The nation was struck by grief at the loss of this most promising prince who, as King Henry IX, it was believed would become a king to transform Britain.
Unlike his father James, Henry was seen as militaristic, ardently Protestant and fiercely moral; he was also a precocious patron of the arts, collecting paintings, sculpture and books, commissioning ambitious garden designs and architecture, and performing in elaborate court festivities. He took an active interest in the navy and exploration, sponsoring an expedition to find the Northwest Passage and giving his name to new settlements in Virginia.
He was the first British royal to actively collect European renaissance paintings; he acquired the first collection of Italian renaissance bronzes in England, and brought the first collection of antique coins and medals to England; he also assembled the largest and most important library in the land.  His patronage of court masques and festivals, architecture and garden design established his court as a rival to the great princely courts of Europe. Visitors can see examples from these collections as well as exquisite inlaid armour made for Henry and a selection of manuscript letters and writing exercises in Henry’s hand.
Henry’s death inspired an extraordinary stream of poetical and musical tributes, published in nearly 50 contemporary volumes; his lavish funeral procession, including over 2,000 official mourners, was watched by a nation lining the streets, ‘whose streaming eyes made known how much inwardly their harts did bleed.' The exhibition displays, for the first time in two centuries, the remains of Prince Henry’s funeral effigy with an engraving that shows it lying on his hearse, dressed in his clothes.
The exhibition looks at Henry’s upbringing and education, his court and patronage, his collecting, and finally his illness, death and legacy.
Exhibits have been drawn together from public and private collections, including the Royal Collection, the Devonshire Collection at Chatsworth House, Parham Park, The British Library, the British Museum, the National Maritime Museum, Trinity College, Cambridge and Dulwich Picture Gallery.
The Lost Prince: The Life and Death of Henry Stuart is curated by Catharine MacLeod, Curator of Seventeenth-Century Portraits at the National Portrait Gallery. She has previously curated Painted Ladies: Women at the Court of Charles II. Catharine is also currently co-writing a catalogue raisonné of the works of Sir Peter Lely.
She says: ‘This exhibition provides a wonderful opportunity to assemble, for the first time since Prince Henry’s death 400 years ago, a group of paintings, drawings and other extraordinary objects, which give us a glimpse into the spectacular and culturally rich life of this exceptional Prince.’
Sandy Nairne, Director of the National Portrait Gallery, London, says: ‘Henry, Prince of Wales was the focus of extraordinary developments in the visual arts, architecture, music and literature during the Jacobean period, which led to Britain’s establishment as a cultural player on the world stage. On the 400th anniversary of his death, we are delighted to be able to stage this revelatory exhibition.’

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dimanche 10 avril 2016

Giovanni Battista Moroni (1520-1579) - Ritratto d'Antonio Navagero,



Giovanni Battista Moroni  (1520-1579)
Ritratto  d'Antonio Navagero, 1565.

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samedi 9 avril 2016

Sébastien Bourdon (1616-1671) - L'homme au buste de Caracalla

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Sébastien Bourdon (1616-1671)
 L'homme au buste de Caracalla
Musée du Louvre Paris


Le peintre français Sébastien Bourdon,  apres avoir été un temps  soldat à 18 ans, se retrouve na Rome en 1634,  où il étudie les œuvres de Claude Lorrain, de Caravage, de Pieter van Laer. Sa précocité le rend vite célèbre : à 20 ans, il a déjà produit des chefs-d’œuvre d’une rare sensibilité comme le Rosaire  (Eglise St Michel de Trigance) qu'il peint à l'âge de 18 ans, ou le Four à chaux romain  ( Alte Pinakothek, Munich ) ou La Bonne aventure en 1636  (Uffizi, Flirenze).
Menacé par l’Inquisition comme calviniste, il doit rentrer à Paris en 1637. Il peint le Martyre de saint Pierre, tableau qui le plaça au rang le plus élevé parmi ses contemporains. Excellant dans tous les genres, il réalise des bambochades ou des scènes de bataille, au goût d’une clientèle parisienne séduite par une palette riche en couleurs.
Le jeune peintre protestant au tempérament de feu s’assagit peu à peu ; il reçoit d’importantes commandes. Devenu en 1648, l’un des douze membres fondateurs de l'Académie royale de peinture et de sculpture, il rêve de créer à Montpellier, sa ville natale,  une académie sœur.
En 1652, il est à Stockholm, invité par la reine Christine de Suède dont il fait le portait et qui le nomme son premier peintre. En 1657, lors d’un ultime séjour dans sa ville natale, Bourdon peint La Chute de Simon le magicien pour la cathédrale Saint-Pierre, où ce grand tableau est toujours visible.

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jeudi 7 avril 2016

mercredi 6 avril 2016

François Clouet (1520-1572) - Portrait de François de France, duc d'Alençon


François  Clouet (1520-1572)
Portrait de François de France, duc d'Alençon en 1572
National Gallery of Art, Washington DC

Fils de Jean Clouet, lui même dessinateur et peintre célèbre en son temps, François Clouet continue l’œuvre de portraitiste de son père, et son art présente beaucoup d'analogie avec le style dont Jean a été l’inventeur : même sobriété, concentration sur la recherche de ressemblance et même soin d'éviter tout détail superflu.  Les dessins de François Clouet toutefois sont réputés ne pas posséder la légèreté aérienne de ceux de Jean Clouet, mais en tant que portraits ils ne sont pas moins saisissants. C'est lui  qui le premier  s'est avisé de leur donner un fini qui atteste qu'il ne les considérait plus comme des esquisses préparatoires, mais comme des œuvres d'art achevées en elles-mêmes. On pourrait dire, que les 54 dessins authentiques de François Clouet, répartis entre le musée Condé de Chantilly et le Cabinet des estampes au Musée du Louvre à Paris, surpassent encore ceux de son père dans la voie que celui-ci avait ouverte.

lundi 4 avril 2016

Baccio Bandinelli (1498-1560) - Cosimo de Medici, duc de Florence


Baccio Bandinelli (1498-1560)  Cosimo de Medici, duc de Florence (1539)


Baccio Bandinelli (1498-1560) 
Cosimo de Medici, duc de Florence (1539)

Bartolomeo Bandinelli (dit Baccio) était le fils d'un éminent orfèvre florentin dont il devint rapidement le premier apprenti. Dans le domaine de la sculpture, c'est avec Giovanni Francesco Rustici, ami de Leonardo da Vinci qu'il fit ses classes. Parmi ses premières œuvres réalisées par Bandinelli : un Saint Jérôme en cire, commande de Giuliano de Medici. Les Medicis deviennent ses commanditaires principaux sachant mettre à profit la rivalité maladive qui oppose Bandinelli à Michel Ange, les disciples de Michelangelo ne voyant dans les sculptures de Bandinelli qu'emphase et mauvais gout. La jalousie de Bandinelli envers Michel Ange finira par se transformer en haine véritablement pathologique ui occupera une grande partie de sa vie. La postérité et la destinée ont choisi de réconcilier ces deux grands artistes d'une façon assez ironique, sur la Piazza della Signoria de Florence, où le David de Michel Ange fait face depuis plus d'un demi millénaire à l'Hercule de Bandinelli pour le meilleur et ...non plus pour le pire !

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dimanche 3 avril 2016

Paul Cadmus (1904-1999) - Male Nude 1998

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Paul Cadmus (1904-1999)
Male Nude 1998
Private collection

Paul Cadmus  est un peintre, pastelliste et dessinateur américain. De son vivant, il connaît la célébrité avec une série de tempera sur toile figurant des scènes de genre urbaines, inscrites dans le mouvement réaliste social alors dominant, mêlant satire, ironie, goût du grotesque, et reçoit de nombreuses commandes.
Dans les années 1960, son œuvre révèle plus franchement aux yeux du public une forme d'homoérotisme affirmé, entre autres à travers une série de dessins de nus masculins, tandis que son style évolue vers le réalisme magique.
Dans la seconde moitié de sa vie, Cadmus ralentit sa production de peinture et donne plus de place au dessin. L’œuvre dessiné de Paul Cadmus est très important, constitué surtout de nu masculins, et de filles et garçons du monde de la danse pendant leurs exercices. Sa technique de dessin est académique, référée à l’époque baroque. Il travaille beaucoup sur papier teinté, et mélange les techniques et outils pour aboutir à un style personnel. Son utilisation de la hachure large et par petites zones superposées pour le modelé des corps en est une caractéristique importante.


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samedi 2 avril 2016

Giuseppe Castiglione (1688–1766) - L'empereur Qianlong en habit de cour


Giuseppe Castiglione (1688–1766)
L'empereur Qianlong (1711-1799) en habit de cour  (1738)
Palace Museum Beijing

Giuseppe Castiglione, fut  un frère jésuite italien, missionnaire en Chine et peintre à la cour impériale. Il fut l'un des artistes préférés des empereurs de la dynastie Qing. En 1716, il prit le nom chinois de Lang Shining (郎世宁 / 郎世寧) qui signifie Homme du monde tranquille.
En Italie, Castiglione a probablement été l’élève, à Gênes, de Jan Roos (1591-1638), un artiste flamand, lui-même élève de Pierre-Paul Rubens, de Frans Snyders et de Jan de Wael, qui y avait fondé son atelier en 1616.
Un strict respect de l’étiquette (jamais d’affront, ni de critique directe des conceptions chinoises) lui permit de faire partie de la cohorte des peintres accrédités à la Cour impériale de Chine. Il forma d’autres artistes jésuites à adopter la meme démarche que lui : on peut citer  Ferdinand Moggi, Jean-Denis Attiret et Ignaz Sichelbarth. Il eut également des élèves chinois qui deviendront célèbres.
Cette faculté de compromis artistique entre le réalisme occidental et le spiritualisme de l’art chinois (éviter les ombres, adopter des motifs secondaires chinois) sont à la source de cette synthèse artistique qui le fit reconnaître par trois empereurs successifs comme le meilleur artiste de leur cour.

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mercredi 30 mars 2016

Jeune homme dans un atelier d'artiste



Jeune homme (inidentifié) dans un atelier d'artiste
Photographie1845-1850
Bibliothèque Nationale de France 

lundi 28 mars 2016

Pierre Loti (1850-1923)



Pierre Loti (1850-1923)
Dessin de Guillaume fFoury qui servit de modèle à Yann Gaos
pour  " Pêcheurs d'Islande "

dimanche 27 mars 2016

samedi 26 mars 2016

Francisco de Goya (1746 - 1828)

Francisco de Goya (1746 - 1828) Portrait of the Matador Pedro Romero (1798) Kimbell art Museum, New York


Francisco de Goya (1746 - 1828)
Portrait of the Matador Pedro Romero (1798)
Kimbell art Museum, New York

Ce portrait a été peint au moment où une rivalité féroce opposait le torero de Ronda, au matador sévillan Costillares. Goya était alors le meilleur portraitiste de son temps, sa préférence allait à Romero, pourtant on lui attribua longtemps le portrait de Costillares, œuvre de Francisco Domingo (musée Lazaro Galdiano, Madrid). Le peintre était trés protégé à la cour aprés avoir fait un portrait de la comtesse duchesse Benavente qui voulait quelque chose dans le genre de la reine de France Marie-Antoinette par madame Vigée Le Brun.
Toutefois, Goya en tant que « sacripant » comme il se nommait lui-même, échappa rapidement aux pièges de la cour pour traiter son sujet favori : la tauromachie dont La Tauromaquia  a servi de référence de nombreux peintres de tauromachie : Mariа Fortuny et  Pablo Picasso.

Son idole, Romero, était aussi bien celle des quartiers populaire que des ducs d'Osuna qui le protégeaient.
Le tableau qui йtait la propriété de la famille Goya de Madrid avait disparu lors de l'inventaire des biens de Javier Goya. Il devint en 1812 la propriété de la veuve Vera de Séville, puis passa dans les mains d'un Henri Rochefort de Paris. On le retrouve successivement dans les collections de don Sebastian Gabriel de Bourbon Bragance à Pau, Léon Lafitte, héritier du précédent le reçut, puis le vendit а Rodolphe Kahn, Paris, qui le vendit à William Adby, Londres. puis Arthur Sachs à New York l'acquit en 1966 pour la fondation Kimbell. 

vendredi 25 mars 2016

jeudi 24 mars 2016

Edouard Manet (1832-1883)



Edouard Manet (1832-1883)
Jeune homme en costume de Majo (1863)
Metropolitan Museum of Art, New-York

mercredi 23 mars 2016

Jacques Réattu (1760-1833)



Jacques Réattu (1760-1833)
Demi figure masculine, 1789
Musée Réattu, Arles, France


Jacques Réattu est né à Arles en 1760. Il est le fils adultérin du peintre Guillaume de Barrême de Chвteaufort et de Catherine Raspal, sœur du peintre arlésien Antoine Raspal qui lui donne les premiers rudiments de peinture.
Dès 1775, il entre à l'Académie royale de peinture et de sculpture, il est d'abord l'élève de Simon Julien (1735 - 1800) puis de Jean-Baptiste Regnault. Il se destine à la carrière de « Peintre d'histoire » l'un des " genres"  les plus nobles dans la classification donnée alors à la peinture. Cette ambition passe par l'obtention du Grand Prix de peinture de l'Académie royale de peinture et sculpture, auquel il postule dès 1782. Il obtient le grand prix en 1790, lui ouvrant les portes d'un séjour en Italie en tant que pensionné du Roi, année où le concours fut tout de même ouvert malgré les évènements révolutionnaires. Le contexte politique ne lui permet pas de séjourner comme prévu quatre années à Rome. Ce séjour sera néanmoins l'occasion pour Jacques Réattu de réaliser une œuvre majeure au titre fleuve, Prométhée protégé par Minerve et élevé au Ciel par le Génie de la Liberté dérobant le feu, première œuvre à discours révolutionnaire de l'artiste. De retour en France en 1793, il séjourne d'abord à Marseille où il obtient en 1795 la commande pour le décor du Temple de la Raison de dix tableaux monumentaux peints en grisaille à l’imitation de bas reliefs illustrant les idéaux révolutionnaires. En 1798, il revient définitivement en Arles où il acquiert la commanderie de Saliers puis la totalité des lots du Grand Prieuré de l'Ordre de Malte dont les biens furent confisqués et vendus dès 1793. C'est là qu'il installe son atelier et que se trouve, de nos jours, le musée qui porte son nom.
De 1802 а 1819, Jacques Réattu se consacre à la gestion de son patrimoine foncier et ne reprend ses pinceaux qu'à partir de 1819 pour entamer l’une des périodes les plus productives de sa carrière avec de grands projets de décors en particulier pour les  théâtres et hôtels de Villes à Marseille, Nîmes et Lyon. А côté des grandes productions allégoriques, Jacques Réattu renoue également avec des œuvres d’inspiration mythologique. Enfin à partir de 1826, il entreprend son premier et seul grand décor religieux pour l’église St Paul de Beaucaire. L'artiste meurt en 1833 n'ayant eu le temps de réaliser que trois des œuvres sur les cinq prévues.