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samedi 31 août 2019

Léon Cogniet (1794-1880) - Tête de Jeune homme, étude pour Caïn et Abel,


Léon Cogniet (1794-1880) 
Tête de Jeune homme, étude pour Caïn et Abel, vers 1820. 
Huile sur papier marouflé sur toile
Musée des Beaux-Arts d'Orléans, France

Léon Cogniet entre en 1812 à l'École des beaux-arts de Paris où il est l'élève de Pierre-Narcisse Guérin qui déclare dans une lettre à Léon Cogniet : « Croyez-bien que j'ai été votre ami plus encore que votre maître ».
Dans l'atelier de Guérin, il rencontre Eugène Delacroix et Théodore Géricault, avec lequel il se lie d'une grande amitié. Il fréquente également l'atelier de Jean-Victor Bertin. En 1814, il est prix de perspective et, en 1815, prix du Torse, ce qui lui ouvre les portes du concours pour le prix de Rome. 
Il s'y présente en 1815, peignant Briseis pleurant Patrocle pendant les Cent-Jours, et y est reçu deuxième prix. Il tente à nouveau le concours l'année suivante. Après un échec en 1816 avec Œnone refusant de secourir Pâris blessé, son Hélène délivrée par Castor et Pollux lui vaut le prix de Rome en 1817. La même année, il débute au Salon. 
Il est pensionnaire de l’Académie de France à Rome de 1817 à 1822.
À partir de 1843, n'exposant que rarement au Salon, Léon Cogniet se consacre essentiellement à l'enseignement dont il est une des figures les plus importantes au 19e siècle. Il est professeur de dessin à Paris au lycée Louis-le-Grand de 1831 à 1876, où il a pour élève Edgar Degas, et à l'École polytechnique de 1847 à 1861. En 1849, Léon Cogniet est élu et nommé membre de l'Institut. Il est nommé professeur de peinture à l'École des beaux-arts de Paris en 1851.
En 1662 selon Ernest Vinet,  Léon Cogniet ne peint plus beaucoup : « Toujours plus soucieux des autres que de lui-même, sa grande préoccupation, depuis des années, c’est d’ouvrir les voies à la jeunesse artiste, de la guider, de la soutenir avec une persistance et une sagesse que l’on ne saurait trop louer ».
Le Musée des Beaux Arts d'Orléans possède une très belle collection de Coignet.  

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mercredi 7 février 2018

Léon Cogniet (1794-1880)


Léon Cogniet (1794-1880) 
 Portrait du peintre Achille-Etna Michallon 
 Musée des Beaux-arts d'Orléans, France

Léon Cogniet entre en 1812 à l'École des beaux-arts de Paris où il est l'élève de Pierre-Narcisse Guérin qui déclare dans une lettre à Léon Cogniet : « Croyez-bien que j'ai été votre ami plus encore que votre maître ».
Dans l'atelier de Guérin, il rencontre Eugène Delacroix et Théodore Géricault, avec lequel il se lie d'une grande amitié. Il fréquente également l'atelier de Jean-Victor Bertin. En 1814, il est prix de perspective et, en 1815, prix du Torse, ce qui lui ouvre les portes du concours pour le prix de Rome. 
Il s'y présente en 1815, peignant Briseis pleurant Patrocle pendant les Cent-Jours, et y est reçu deuxième prix. Il tente à nouveau le concours l'année suivante. Après un échec en 1816 avec Œnone refusant de secourir Pâris blessé, son Hélène délivrée par Castor et Pollux lui vaut le prix de Rome en 1817. La même année, il débute au Salon. 
Il est pensionnaire de l’Académie de France à Rome de 1817 à 1822.
À partir de 1843, n'exposant que rarement au Salon, Léon Cogniet se consacre essentiellement à l'enseignement dont il est une des figures les plus importantes au 19e siècle. Il est professeur de dessin à Paris au lycée Louis-le-Grand de 1831 à 1876, où il a pour élève Edgar Degas, et à l'École polytechnique de 1847 à 1861. En 1849, Léon Cogniet est élu et nommé membre de l'Institut. Il est nommé professeur de peinture à l'École des beaux-arts de Paris en 1851.
En 1662 selon Ernest Vinet,  Léon Cogniet ne peint plus beaucoup : « Toujours plus soucieux des autres que de lui-même, sa grande préoccupation, depuis des années, c’est d’ouvrir les voies à la jeunesse artiste, de la guider, de la soutenir avec une persistance et une sagesse que l’on ne saurait trop louer ».
Le Musée des Beaux Arts d'Orléans possède une très belle collection de Coignet.  

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mardi 21 mai 2019

Alfred Dehodencq (1822-1882) - Etude de personnage masculin


Alfred Dehodencq (1822-1882)
Etude de personnage masculin 
Crayon, 16 x 18cm
Collection particulière 


Alfred Dehodencq entra à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier de Léon Cogniet.
Après un bref séjour en Espagne, il part vivre au Maroc pendant neuf ans où il peint des scènes de la tradition juive ainsi que des scènes urbaines.
Un tableau comme La Justice du Pacha (musée Salies à Bagnères-de-Bigorre) reflète combien Dehodencq a été saisi par le Maroc, ses couleurs, sa lumière et les mœurs de ses habitants. Il dit avoir « cru en perdre la tête » en découvrant ce pays auquel il allait s'attacher passionnément.
De juin à juillet 1853 Dehodencq visite Tanger, Tétouan, Larache, Mogador, Rabat, Salé. Dès juin 1854, il séjourne chez le consul de France à Tanger pendant un an, puis, de 1855 à son retour définitif en France en 1863, il s'installe à Cadix en Espagne, tout en faisant des séjours à Tanger.
Inspiré par la vie et la mort de Sol Hachuel, Dehodencq peint Exécution d'une juive au Maroc ou L'Exécution d'une Juive marocaine en 1860, qui figure parmi ses tableaux les plus connus.
Cette peinture avec son atelier a été détruit par une foule en colère.
En 1970, de retour à Paris il est décoré de la Légion d'honneur. Dès lors il se consacre essentiellement aux portraits.
Remarquable dessinateur, ses dessins sont conservés au Musée d'art Dahesh de New York, au Musée des beaux-arts de San Francisco, au Musée national des beaux-arts d'Alger, au Musée d'Orsay...

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vendredi 19 avril 2019

Alfred Dehodencq (1822-1882) - Portrait d'oriental


Alfred Dehodencq (1822-1882)
 Portrait d'oriental  
 Crayon 15x19cm
Collection particulière 


Alfred Dehodencq entra à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier de Léon Cogniet
Après un  bref séjour en Espagne, il part vivre au Maroc pendant neuf ans où il peint des scènes de la tradition juive ainsi que des scènes urbaines.
Un tableau comme La Justice du Pacha (musée Salies à Bagnères-de-Bigorre) reflète combien Dehodencq a été saisi par le Maroc, ses couleurs, sa lumière et les mœurs de ses habitants. Il dit avoir « cru en perdre la tête » en découvrant ce pays auquel il allait s'attacher passionnément. 
De juin à juillet 1853 Dehodencq visite Tanger, Tétouan, Larache, Mogador, Rabat, Salé. Dès juin 1854, il séjourne chez le consul de France à Tanger pendant un an, puis, de 1855 à son retour définitif en France en 1863, il s'installe à Cadix en Espagne, tout en faisant des séjours à Tanger.
Inspiré par la vie et la mort de Sol Hachuel, Dehodencq peint Exécution d'une juive au Maroc (ou L'Exécution d'une Juive marocaine)  en 1860, qui figure parmi ses tableaux les plus connus. Cette peinture avec son atelier a été détruit par une foule en colère.
En 1970, de retour à Paris  il est décoré de la Légion d'honneur. Dès lors l se consacre essentiellement aux portraits.
Remarquable dessinateur, ses dessins sont conservés au Musée d'art Dahesh de New York, au Musée des beaux-arts de San Francisco, au Musée national des beaux-arts d'Alger, au Musée d'Orsay... 
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jeudi 22 août 2019

Emile Antoine Bayard (1837-1891) - De la terre a la lune



Emile Antoine Bayard (1837-1891) 
Illustration pour "De la terre a la lune " de  Jules Verne,1870. 
Editions Hetzel, Paris 

Emile Antoine Bayard, est  un peintre, décorateur, dessinateur et illustrateur français.
Ce sont principalement ses dessins pour des commandes éditoriales qui retiennent aujourd'hui l'attention des amateurs. Sans être aussi audacieux que Paul Gavarni, il savait harmoniser les gestes aux expressions des visages, rendant ainsi ses personnages particulièrement expressifs.
Élève de Léon Cogniet, Émile Bayard est un contemporain de Gustave Doré. Il commence sa carrière à 15 ans et expose des dessins au fusain entre 1853 et 1861. Il s'agit en majorité de portraits et d'études de chevaux.
Son talent est alors régulièrement mis à contribution pour illustrer journaux et périodiques de l'époque. Ses dessins se retrouvent dans Le Journal de la jeunesse, Le Tour du monde, L'Illustration, Le Journal pour rire et le Journal des voyages.
L'éditeur Louis Hachette, qui l'apprécie beaucoup, fait souvent appel à lui pour mettre en image des romans, notamment ceux de la Bibliothèque rose. Il illustre ainsi Les Misérables de Victor Hugo, François le bossu et Le Général Dourakine de la comtesse de Ségur, La Case de l'oncle Tom de Harriet Beecher Stowe, L’Immortel d’Alphonse Daudet, De la Terre à la Lune et Autour de la Lune de Jules Verne. Pour Hetzel, il se charge d'illustrer Romain Kalbris, d'Hector Malot.

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