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vendredi 13 novembre 2020

Pierre-Narcisse Guerin (1744-1833) (attribué à) - Etude d'Homme


Pierre-Narcisse Guerin (1744-1833) (attribué à) Etude d'Homme ( 47,5 x 41cm) Collection Privée (Aguttes)

Pierre-Narcisse Guerin (1744-1833) (attribué à)
Etude d'Homme ( 47,5 x 41cm)
Collection Privée (Aguttes)

Le peintre français Pierre-Narcisse Baron Guérin est un peintre néoclassique français. Professeur à l'École des beaux-arts de Paris, il est institué officiellement le 27 novembre 1816, en remplacement de Claude Dejoux mort la même année. Il sera lui-même remplacé en 1833 par Paul Delaroche. Membre de l'Institut en 1815 (fauteuil 9), il accepte, en 1822, la direction de l'Académie de France à Rome, qu'il garde jusqu'en 1828.
Assez en faveur sous le 1er Empire, il reçut la Légion d'honneur dès 1803 (parmi les premiers donc) et exécuta quelques toiles de propagande comme son Bonaparte pardonnant aux révoltés du Caire, actuellement au Musée de Caen ou La Mort du général Lannes, duc de Montebello, actuellement au Musées des Beaux arts de Valenciennes.

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jeudi 15 juillet 2021

Paulin Guérin (1783-1855) - Portrait posthume de Maurice d'Elbée

Paulin Guérin (1783-1855), Portrait posthume de Maurice d'Elbée, 1827, Musée d'Art et d'Histoire de Cholet, France

Paulin Guérin (1783-1855)
Portrait posthume de Maurice d'Elbée, 1827
Musée d'Art et d'Histoire de Cholet, France

Elève puis assistant du Baron Gérard, Paulin Guerin commence réellement sa carrière à la fin du 1er Empire, lorsque Vivant Denon lui commande la décoration d'un plafond du Palais des Tuileries. Avec le retour des Bourbons, il travaille, en 1814 et 1815, à la restauration des peintures anciennes de Versailles et à la rénovation du château de Versailles.  En 1822, son  tableau Anchise et Vénus,est remarquée par Louis XVIII, ce qui lui vaut la croix de la Légion d'honneur et la possibilité de réaliser un portrait officiel du roi, Louis XVIII, roi de France et de Navarre, en 1824. Il est nommé directeur des études de dessin et de peinture à la Maison d'éducation de la Légion d'honneur de Saint-Denis en 1828. Sa carrière de peintre officielle se déroulera principalement sous les deux  restaurations  et sous Louis Philippe. Sa peinture néoclassique a été décrite comme « un reflet affaibli de David et de Gérard ». Il faut tout de même lui reconnaitre un réel talent de portraitiste, le plus illustre étant celui  de Chateaubriand, longtemps faussement attribué a son homonyme à Pierre-Narcisse Guérin.

Maurice Joseph Louis Gigost d'Elbée (1752 -1794) est un militaire français. Chef royaliste pendant la guerre de Vendée, il devient  généralissime de l'Armée catholique et royale  des brigands de Vendée de juillet à octobre 1793, succédant à Jacques Cathelineau.  Dans cette guerre civile impitoyable que connut la France révolutionnaire, d 'Elbée, gagna quelques batailles (Vezins, Beaupréeau, Thouars) et en perdit beaucoup d'autres (Fontenay-le-Comte, Nantes, Luçon et Cholet). Grièvement blessé à la bataille de Cholet, d'Elbée est capturé. Le 14 Nivôse (Janvier) An II, il passe en Conseil de guerre.  Suite à son interrogatoire par le citoyen Fachot, officier d'état-major et capitaine du génie, il est fusillé en compagnie de Pierre Duhoux d'Hauterive, Pierre Prosper Gouffier de Boisy et Jean-Conrad Wieland, l'ancien commandant républicain de Noirmoutier, accusé de trahison, que les officiers royalistes tentèrent en vain d'innocenter au dernier moment.
Le corps de d'Elbée est enterré dans les douves du château de Noirmoutier. Malgré des recherches faites sous la Restauration en 1822, ses ossements ne purent être identifiés. L'épouse de d'Elbée, Marguerite-Charlotte Duhoux d'Hauterive, fut quant à elle, fusillée le 29 Nivôse en compagnie de Victoire Élisabeth Mourain de L'Herbaudière.
Le fils de Maurice d'Elbée,  Louis-Joseph Maurice d’Elbée a servi dans les armées de Napoléon 1er et a participé notamment à la bataille de Leipzig et à la bataille de Hanau, où il fa été blessé et fait prisonnier.  La famille d'Elbée, actuellement subsistante, conserve le souvenir du général d'Elbée mais ne lui est pas apparentée.

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jeudi 26 septembre 2019

Pierre-Narcisse Guerin (1744-1833) - Portrait d'un membre de l'expédition d'Egypte



 Pierre-Narcisse Guerin (1744-1833) 
Portrait d'un membre de l'expédition d'Egypte
Musée Magnin, Dijon, France 

Le  peintre français Pierre-Narcisse Baron Guérin est un peintre néoclassique français. Professeur à l'École des beaux-arts de Paris, il est institué officiellement le 27 novembre 1816, en remplacement de Claude Dejoux mort la même année. Il sera lui-même remplacé en 1833 par Paul Delaroche. Membre de l'Institut en 1815 (fauteuil 9), il accepte, en 1822, la direction de l'Académie de France à Rome, qu'il garde jusqu'en 1828.
Assez en faveur sous le 1er Empire, il reçut la Légion d'honneur dès 1803 (parmi les premiers donc) et exécuta quelques toiles de propagande comme son Bonaparte pardonnant aux révoltés du Caire, actuellement au Musée de Caen ou La Mort du général Lannes, duc de Montebello, actuellement au Musées des Beaux arts de Valenciennes.

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samedi 6 février 2021

Anne-Louis Girodet de Roussy -Trioson dit Girodet (1767-1824) - Etude de tête pour un oriental


https://menportraits.blogspot.com/2021/02/anne-louis-girodet-de-roussy-trioson.html

 
Anne-Louis Girodet de Roussy -Trioson dit Girodet (1767-1824)
Etude de tête pour un oriental
Collection privée (via Leclere)

De grandeur nature, cette tête est  vue de profil et tournée vers le ciel ; elle est coiffée d'un turban rouge et d'un  burnous appelé à l'époque de Girodet un barnouffe. Elle n'est pas terminée. Les portraits d'orientaux peints et esquissés par Girodet constituent un ensemble majeur dans son œuvre. Tout au long de sa carrière, Girodet  a peint plusieurs têtes d'orientaux. Un certain nombre d'entres elles se ressemblent par leur sujet, leur format quasi identique et leur cadrage au tiers du torse, montrant une tête enturbannée; elles forment ainsi une série de portraits: Tête d'Oriental au turban bleu (Doullens, Musée Lombard); Tête de Mameluck à la fleur d'hibiscus (Toile, 78 x 63 cm; Île d'Aix, Musée Napoléon); Portrait dit de Notis Botzaris ; Portrait de Mustapha (Musée Girodet); Tête d'Oriental au burnous esquissé (différent de celui ci dessus . Notre tableau vient s'ajouter à ce groupe. La moustache de notre homme, sa barbe et ses sourcils rappellent les traits de Mustapha, peint en 1819. La touche libre des étoffes confrontée au fini parfait de son visage le rapprochent du Portrait dit de Notis Botzaris et permettent de situer notre œuvre des années 1815-1820. L'inachèvement qui révèle la virtuosité et la technique du pinceau et l'usage de la toile laissée en réserve rapprochent notre portrait de l'Odalisque conservée au musée de Montargis et montre que la représentation de la figure humaine est première. Cette suite de têtes flamboyantes et exotiques, au regard lourd et impénétrable illustrent une peinture solaire, en pendant aux peintures lunaires du thème d'Ossian ou de Sapho. 

Acquis à la vente Girodet par Jacob, le tableau entre directement dans la collection de l'homme de lettre et ancien receveur général des finances, Basile-Joseph Ducos (Bordeaux 1767 - Paris 1836). Il lui achète aussi l'esquisse de La Révolte du Caire conservée aujourd'hui à l'Art Institute de Chicago. De 1811 à 1836, Basile-Joseph Ducos est Régent de la Banque de France. Collectionneur et mécène, il possède l'esquisse de Régulus de David, le Portrait de Madame Pasta du Baron Gérard, l'esquisse de Trois chevaux lancés au galop de Géricault actuellement au musée des Beaux-Arts de Caen, un tableau d'Isabey et un tableau de Constable. Ducos cède notre tableau à son ami, le Comte Pierre David. Secrétaire d'Etat chargé de la légation de Malte. En résidant entre 1803 et 1806 à Malte, Naples et Rome, auprès du Grand-Maître de l'ordre de Malte, il côtoie Pierre-Narcisse Guérin qui peint Madame David en Didon dans son tableau conservé au Louvre. Nous remercions Madame Lemeux-Fraitot dd'avoir participé à la rédaction de cette notice. 

 Note de la Maison de Ventes Leclere



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samedi 31 août 2019

Léon Cogniet (1794-1880) - Tête de Jeune homme, étude pour Caïn et Abel,


Léon Cogniet (1794-1880) 
Tête de Jeune homme, étude pour Caïn et Abel, vers 1820. 
Huile sur papier marouflé sur toile
Musée des Beaux-Arts d'Orléans, France

Léon Cogniet entre en 1812 à l'École des beaux-arts de Paris où il est l'élève de Pierre-Narcisse Guérin qui déclare dans une lettre à Léon Cogniet : « Croyez-bien que j'ai été votre ami plus encore que votre maître ».
Dans l'atelier de Guérin, il rencontre Eugène Delacroix et Théodore Géricault, avec lequel il se lie d'une grande amitié. Il fréquente également l'atelier de Jean-Victor Bertin. En 1814, il est prix de perspective et, en 1815, prix du Torse, ce qui lui ouvre les portes du concours pour le prix de Rome. 
Il s'y présente en 1815, peignant Briseis pleurant Patrocle pendant les Cent-Jours, et y est reçu deuxième prix. Il tente à nouveau le concours l'année suivante. Après un échec en 1816 avec Œnone refusant de secourir Pâris blessé, son Hélène délivrée par Castor et Pollux lui vaut le prix de Rome en 1817. La même année, il débute au Salon. 
Il est pensionnaire de l’Académie de France à Rome de 1817 à 1822.
À partir de 1843, n'exposant que rarement au Salon, Léon Cogniet se consacre essentiellement à l'enseignement dont il est une des figures les plus importantes au 19e siècle. Il est professeur de dessin à Paris au lycée Louis-le-Grand de 1831 à 1876, où il a pour élève Edgar Degas, et à l'École polytechnique de 1847 à 1861. En 1849, Léon Cogniet est élu et nommé membre de l'Institut. Il est nommé professeur de peinture à l'École des beaux-arts de Paris en 1851.
En 1662 selon Ernest Vinet,  Léon Cogniet ne peint plus beaucoup : « Toujours plus soucieux des autres que de lui-même, sa grande préoccupation, depuis des années, c’est d’ouvrir les voies à la jeunesse artiste, de la guider, de la soutenir avec une persistance et une sagesse que l’on ne saurait trop louer ».
Le Musée des Beaux Arts d'Orléans possède une très belle collection de Coignet.  

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mercredi 7 février 2018

Léon Cogniet (1794-1880)


Léon Cogniet (1794-1880) 
 Portrait du peintre Achille-Etna Michallon 
 Musée des Beaux-arts d'Orléans, France

Léon Cogniet entre en 1812 à l'École des beaux-arts de Paris où il est l'élève de Pierre-Narcisse Guérin qui déclare dans une lettre à Léon Cogniet : « Croyez-bien que j'ai été votre ami plus encore que votre maître ».
Dans l'atelier de Guérin, il rencontre Eugène Delacroix et Théodore Géricault, avec lequel il se lie d'une grande amitié. Il fréquente également l'atelier de Jean-Victor Bertin. En 1814, il est prix de perspective et, en 1815, prix du Torse, ce qui lui ouvre les portes du concours pour le prix de Rome. 
Il s'y présente en 1815, peignant Briseis pleurant Patrocle pendant les Cent-Jours, et y est reçu deuxième prix. Il tente à nouveau le concours l'année suivante. Après un échec en 1816 avec Œnone refusant de secourir Pâris blessé, son Hélène délivrée par Castor et Pollux lui vaut le prix de Rome en 1817. La même année, il débute au Salon. 
Il est pensionnaire de l’Académie de France à Rome de 1817 à 1822.
À partir de 1843, n'exposant que rarement au Salon, Léon Cogniet se consacre essentiellement à l'enseignement dont il est une des figures les plus importantes au 19e siècle. Il est professeur de dessin à Paris au lycée Louis-le-Grand de 1831 à 1876, où il a pour élève Edgar Degas, et à l'École polytechnique de 1847 à 1861. En 1849, Léon Cogniet est élu et nommé membre de l'Institut. Il est nommé professeur de peinture à l'École des beaux-arts de Paris en 1851.
En 1662 selon Ernest Vinet,  Léon Cogniet ne peint plus beaucoup : « Toujours plus soucieux des autres que de lui-même, sa grande préoccupation, depuis des années, c’est d’ouvrir les voies à la jeunesse artiste, de la guider, de la soutenir avec une persistance et une sagesse que l’on ne saurait trop louer ».
Le Musée des Beaux Arts d'Orléans possède une très belle collection de Coignet.  

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