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vendredi 30 décembre 2022

Jean-Théodore Géricault (1791-1824) - Etude de dos pour " Le Radeau de La Méduse" (d'après le modèle Joseph)

Jean-Théodore Géricault (1791-1824) Etude de dos pour " Le Radeau de La Méduse" (d'après le modèle Joseph) Huile sur toile, 56 x 46 cm Musée Ingres-Bourdelle, Montauban

Jean-Théodore Géricault (1791-1824)
Etude de dos pour " Le Radeau de La Méduse" (d'après le modèle Joseph)
Huile sur toile, 56 x 46 cm
Musée Ingres-Bourdelle, Montauban 

 

Pour plus  de détails sur cette œuvre, consulter le podcast 

LES  TABLEAUX QUI PARLENT 



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2022 - Men Portraits
Un blog de Francis Rousseau
 



jeudi 15 février 2018

Edgar Degas (1834-1917) - Homme nu debout


Edgar Degas (1834-1917)
 Homme nu debout


Edgar Degas était un aristocrate, fils d'Auguste de Gas, banquier, et de Célestine Musson, une créole américaine de La Nouvelle-Orléans. Son grand-père maternel, Germain Musson, d'origine française, est né à Port-au-Prince (Haпti) et s'est installé à La Nouvelle-Orlйans en 1810.
Même à la fin de sa carrière, Degas n’abandonna pas l’approche académique qui consiste à mettre en place une composition à l’aide de dessins préparatoires, et notamment d’études d’après modèle vivant. De la même façon qu’il préparait ses tableaux d’histoire, il a souvent recours au dessin pour ses dernières scènes de la vie moderne. Il continue à appliquer les préceptes d’Ingres.

2018 - Men Portraits
Un blog de Francis Rousseau, #MenPortraits, @menportraits

lundi 9 avril 2018

Barthélémy Menn (1815-1893) - Autoportrait au chapeau de paille


Barthélémy Menn (1815-1893)
Autoportrait au chapeau de paille, 1867
 Musée d'art et d'Histoire, Genève 

Barthélémy Menn,  (1815-1893) est un peintre suisse. maître de Ferdinand Hodler, il est un des rénovateurs de la peinture helvétique au 19e siècle..
En 1832, il est admis dans l'atelier du peintre Jean-Léonard Lugardon où il rencontre Jean-Auguste-Dominique Ingres qui l'invite à le suivre à Paris. Lorsque son hôte est nommé directeur de la Villa Médicis, à Rome, Menn le rejoint en1835.
 Pendant l'été 1836, il découvre Capri et Naples, et copie en plein-air les antiques de Pompéi.
A la fin de l'année  1838, Menn retourne à Paris où il expose au Salon de 1839 à 1843, et donne des cours de dessin à de nombreux élèves, dont Maurice Sand. Il est employé par Eugène Delacroix pour la décoration de la coupole de la bibliothèque du Palais du Luxembourg à Paris. Il rencontre les peintres de l'Ecole de Barbizon, en particulier Charles-François Daubigny, et se lie d'amitié avec des disciples de Charles Fourier ainsi qu'avec Jean-Baptiste Corot avec lequel il réalise des scènes champêtres chez leur ami Daniel Bovy.
Menn retourne ensuite à Genève en 1844, et s'intéresse aux daguerréotypes. En 1850, il est nommé directeur de l'Ecole des beaux-arts de Genève, où jusqu'à sa mort il enseigne le dessin, notamment à Ferdinand Hodler et Edouard Vallet.
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dimanche 24 juin 2018

Jean-Léonard Lugardon (1801-1884) - Portrait d'homme au crayon noir


Jean-Léonard Lugardon (1801-1884)  
Portrait d'homme au crayon noir
Collection particulière

 Cet artiste peintre suisse né à  Genève, fut élève d'Antoine-Jean Gros à Paris et d'Ingres à Florence.
 Il  exposa à Genève à partir de 1823 et fut présent aux Salons du Louvre dès 1827.  Ses talents de dessinateur et sa grande maitrise du crayon noir l'ont propulsé au rang des grands maîtres du genre.  
Il semblerait qu'il ait été moins à l'aise dans le maniement du pinceau ...

vendredi 6 septembre 2019

Lucian Freud (1922-2011)- Interior at Paddington


Lucian Freud (1922-2011)
Interior at Paddington, 1951
Walker art gallery

Lucian Freud est considéré comme un des peintres figuratifs les plus importants du 20e et du 21e siècle, l'« Ingres de l'existentialisme » selon la formule de l'historien de l'art, Herbert Read.
Il est notamment célèbre pour avoir peint, en 2001, le portrait de la reine Élisabeth II à l'occasion de son jubilé d'or, tableau qui a soulevé une polémique en Grande-Bretagne.
Petit-fils du médecin et fondateur de la psychanalyse, Sigmund Freud, Lucian naît à Berlin. Son père, l'architecte Ernst Freud (1892-1970), est le plus jeune fils de Sigmund Freud. En 1934, pour échapper à l'antisémitisme nazi, Ernst Freud emmène sa famille à Londres.En 1938, à la suite de l'Anschluss, leur grand-père Sigmund les y rejoint.
Lucian Freud peint face à des modèles vivants dans le huis-clos de son atelier. Les vues de Londres ou de son jardin sont réalisées à partir du point d'ancrage de l'atelier. Il travaille toute la journée et les séances de pose qu'il inflige à ses modèles sont interminables.
À la fin de sa vie, les portraits de nus dominent sa peinture révélant l'intimité crue de ses modèles, celle de Leigh Bowery, de Sue Tilley ou de son fidèle assistant David Dawson (Sunny Morning-Eight Legs, 1997). Mais même les modèles habillés révèlent au spectateur leur nudité, la vérité de l'être qui perce toute apparence « Quand je peins des vêtements, je peins vraiment des gens nus couverts de vêtements » expliquait-t-il.
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mardi 9 juin 2020

Paul Flandrin (1811- 1902) - Tête d'un africain


 


Paul  Flandrin  (1811- 1902)
Tête d'un africain 1830 
Collection privée


Paul-Jean Flandrin, dit Paul Flandrin, ne pas confondre avec ses frères également peintres, Auguste Flandrin et Hippolyte Flandrin fit ses études  à  l'École des beaux-arts de Lyon, puis à celle de Paris et  dans l'atelier de Dominique Ingres.
Il échoue cependant à deux reprises au concours du prix de Rome mais rejoint néanmoins à ses frais son frère Hippolyte, lauréat de cette épreuve, en Italie. Ils demeurent quatre années à Rome, durant lesquelles Paul se spécialise dans la peinture de paysage. Il réalise des études d'après nature, qui lui servent à entreprendre des compositions historiques qu'il présente aux Salons parisiens. Il collabore également régulièrement aux paysages des tableaux de son frère aîné.
Flandrin perpétue jusque tard dans le XIX siècle cette tradition du paysage classique dont il est l'un des meilleurs représentants, aux côtés d'Édouard Bertin ou de son beau-père Alexandre Desgoffe.
Paul Flandrin est également l'auteur de portraits peints et dessinés, ainsi que de caricatures.

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vendredi 26 avril 2019

Jean-Hippolyte Flandrin (1809-1864) - Nu masculin




Jean-Hippolyte Flandrin  (1809-1864)
Nu masculin, 1830-38
Collection privée


« Hippolyte Flandrin complétait Monsieur Ingres ; il était son côté spiritualiste, le transformateur de l’idée païenne de l’enseignement du maître en idée chrétienne : plus préoccupé de l’idéalisation de la pensée que de celle de la forme même, plus amoureux du sens que de la lettre, plus saisi par le sentiment psychologique que par le sens matériel, adonné à ces vagues aspirations mystiques des âmes religieuses qui trouvent les lois de leur esthétique dans les plus profonds et les plus secrets abîmes de leurs croyances. »

 Charles Lahure, Histoire populaire contemporaine de la France, Hachette, Paris, t. IV, 1866, p. 412.

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vendredi 13 avril 2018

Jean-Léonard Lugardon (1801-1884) - Portrait de Berner Senn


Jean-Léonard Lugardon (1801-1884)
  Portrait de Berner Senn, 1884 

Jean-Léonard Lugardon est  un artiste peintre suisse né à  Genève. Il a été élève d'Antoine-Jean Gros à Paris et d'Ingres à Florence. Il a exposé а Genève а partir de 1823 et fut présent aux Salons du Louvre dès 1827. 


vendredi 22 avril 2022

Achille Zo (1826-1901) - Vendeur de fruits à Séville

Achille Zo (1826-1901) Vendedor de fruta en Sevilla, 1864. Huile sur toile 116.3 x 89.6 cm Colección BBVA

Achille Zo (1826-1901)
Vendeur de fruits à Séville, 1864.
Huile sur toile 116.3 x 89.6 cm
Colección BBVA, Espagne

Achille Zo, est considéré comme l'un des peintres hispano-orientalistes les plus remarquables de la seconde moitié du XIXe siècle. Ses voyages dans le sud de l'Espagne ont contribué à consolider sa carrière car, en plus de lui fournir un important répertoire iconographique, ils lui ont permis de façonner son style personnel. Au cours de son voyage à travers l'Andalousie en 1860, l'artiste visita Séville, Cordoue et Grenade et dessina des croquis d'après nature qu'il utilisera plus tard pour ses peintures. Son œuvre était essentiellement composée de scènes de genre traditionnelles, ce qui lui a valu un succès et un prestige considérables tout au long de sa carrière.
C'est le cas de vendeur de fruits à Séville, un superbe exemple de sa période de mi-carrière, définie par l'équilibre compositionnel et les prouesses techniques. Tout dans ce travail a été minutieusement exécuté : de l'agencement de la scène à l'emplacement de la signature. Il révèle un intérêt pour l'étude de la figure et de ses éléments environnants, définis par une palette colorée et une grande luminosité, très en phase avec la gamme de couleurs locale. L'artiste tire le meilleur parti de la simplicité de la scène, créant un ensemble harmonieux avec une touche romantique qui s'intensifie encore à l'image du marchand de fruits andalou. On peut retrouver l'influence de Dominique Ingres (1780-1867) dans la maîtrise du dessin de la figure et dans sa qualité technique. Exécuté avec un coup de pinceau affirmé, c'est un exemple évident de portrait réaliste qui capture non seulement la physionomie du personnage, mais aussi son charisme et sa psychologie individuelle.
Exposé pour la première fois au 1864 Salon de Paris, ce tableau est devenu populaire après que Théophile Gautier en ait fait l'éloge dans sa critique de l'exposition. L'écrivain français, également épris d'Espagne, considérait Zo comme l'un des peintres qui traduisait le mieux l'essence de l'Espagne. Dans son rapport sur le salon, le critique d'art Edmond About a également salué la qualité de ce travail et mentionné le numéro d'inventaire (1992), dont l'étiquette est conservée sur le devant du cadre. Après sa présentation à Paris, l'œuvre fut exposée à l'Exposição Internacional do Porto en 1865, où elle fut achetée par le roi Ferdinand II du Portugal (1816-1885) pour sa collection privée et exposée dans la salle de musique de Palácio das Necessidades à Lisbonne. Le roi était fasciné par ce type de composition, très en phase avec le pittoresque Post- romantisme


Henri-Achille Zo est d'abord l'élève de son père Achille Zo, qui dirigeait l'Ecole des beaux-arts de Bordeaux, puis est admis en 1894 dans les ateliers des peintres Léon Bonnat et Albert Maignan à l'École des beaux-arts de Paris. Avec son père, qui fut le co-initiateur de l'Ecole de Bayonne, il partage une thématique commune : des scènes d'Espagne et de tauromachies. Il obtient une médaille d'argent à l'Exposition universelle de 1900 et l’État lui octroie une bourse de voyage en 1901. Il expose au Salon des artistes français à partir de 1897 et remporte le prix national en 1905. Il expose régulièrement des oeuvres à la Société des amis des arts de Bordeaux de 1896 à 1934. Il travaille à Paris aux peintures du théâtre national de l'Opéra-Comique, à celles de la chapelle Notre-Dame-de-Consolation construite en hommage aux victimes de l'incendie du Bazar de la Charité, et devient professeur à l'Académie Julian à Paris. En 1903, il reçoit le prix Rosa Bonheur, puis le prix Trémont décerné par l'Institut. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1910, sous le parrainage de son maître Léon Bonnat. Il a illustré le Ramuntcho de Pierre Loti et les Nouvelles Impressions d'Afrique de Raymond Roussel (1932). 


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mercredi 21 février 2024

Alexandre Lafond (1815-1901) - Pêcheur Endormi


Alexandre Lafond (1815-1901) Pêcheur Endormi Collection privée

Alexandre Lafond (1815-1901)
Pêcheur Endormi
Collection privée 

François Henri Alexandre Lafond, est un peintre et chef d'établissement scolaire français. Fils de Marie Rose Lafond (1786-1874), François Henri Alexandre Lafond  est reçu le 27 septembre 1830 à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier de Jean-Auguste Dominique Ingres et échoue au prix de Rome de 1838 lors de la dernière épreuve, le sujet étant Saint Pierre guérissant un boiteux aux portes du temple. Il se lie d'amitié avec son condisciple Paul Flandrin et ses deux frères Auguste et Hippolyte.
Il participe au Salon dès 1836 et obtient une médaille de 2e classe en 1857.
En 1867, il est nommé professeur à l'école des beaux-arts de Limoges dont il prendra la direction un an plus tard, poste qu'il quitte en 1873.

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mardi 9 janvier 2024

Henry Moore (1898–1986) - Pink and Green Sleepers

Henry Moore (1898–1986) Pink and Green Sleepers (1941) Graphite, ink, gouache & wax on paper, 38.1 x 55.9 cm. The Tate Gallery, London.

Henry Moore (1898–1986)
Pink and Green Sleepers (1941)
Graphite, ink, gouache & wax on paper, 38.1 x 55.9 cm.
The Tate Gallery, London.

Henry Spencer Moore est un sculpteur britannique. Il devient célèbre grâce à ses grandes sculptures abstraites en bronze et en marbre taillé. Solidement soutenu par la communauté artistique britannique, Moore contribue à introduire une forme particulière de modernisme au Royaume-Uni, en s'inspirant des styles dits primitifs de civilisations anciennes tels que le style minoen, assyrien, babylonien, romano-gothique, observés au British Museum, et plus tard, de l'art maya.

Moore a apporté un soin tout particulier à la conservation des dessins qu'il a réalisés au Royal College of Art de Londres. Mais on connaît très peu ceux qu'il a fait à l'école de Leeds. C'est principalement Alice Goldsticks qui a conservé ceux qu'il lui envoyait du camp militaire proche de Winchester.
Moore a reconnu sa dette envers un camarade de cours nommé Albert Wainwright, qui lui avait fait connaître l'œuvre d'Aubrey Beardsley dont Moore s'est inspiré. Mais aussi l'importance de l'enseignement de Monsieur Pearson qui aimait à citer un mot d'Ingres : « le dessin est la probité dans l'art ». Mais c'est au Royal College de Londres que Moore a été le plus influencé par les dessins de Michel Ange qu'il a pu observer au British Museum. Quatre siècles séparent les deux artistes et pourtant, selon Ann Garrould, leurs points de vue sont très proches. De 1921 à 1926, Moore a rempli six carnets de croquis d'après des sculptures primitives, choisissant pour thème le corps humain. Toutefois les premiers dessins de l'artiste relèvent de deux catégories : ceux dont le propos est d'étudier un objet en trois dimensions, et ceux qui, de 1921 à 1925 ne représentent ni des croquis de sculpture, ni des figures humaines, mais des thèmes qu'il traitera à nouveau dans les années 1970-1980 : chèvres, paysages, arbres, principalement exécutés lors de son séjour en Italie en 1925.

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