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mercredi 17 juillet 2019

Dosso Dossi (c.1486–1542) - Portrait of a young Man holding a Dog and a Cat



Dosso Dossi (c.1486–1542)  (attributed to) 
Portrait of a young Man holding a Dog and a Cat.
Oil on panel
Ashmolean Museum, Oxford


Dosso Dossi, de son vrai nom Giovanni di Niccolò de Lutero ou Luteri est un peintre italien de l'école de Ferrare. Il tient son nom de la villa familiale près de Mantoue, la Villa Dossi.
Frère aîné de Battista Dossi, il s'est formé dans l'atelier de Giorgione, il a aussi été probablement l'élève de Lorenzo Costa.
En 1514 il s'établit définitivement à Ferrare et devient peintre de la cour du duc Alphonse Ier d'Este, puis d'Hercule II. Il créa des cartons de tapisseries, des décors de théâtre, des vues urbaines et des portraits de la famille princière.
Il peint aussi de nombreux tableaux mythologiques et exécute pour le nouvel appartement du château de Ferrare Dix scènes de la vie d'Enée. Il participe aux décorations de la Chambre d'albâtre du palais ducal, réalisées par Bellini.
Il réalise également des retables, pour les nombreux autels des églises ducales d'Este, dont un grandiose polyptyque conservé à la Pinacothèque nationale de Ferrare.
Ami de L'Arioste, il s'absenta plusieurs fois de la cour de Ferrare, pour séjourner à Venise. Il y fut en contact avec Giorgione, Cariani, Savoldo et plus tard le Titien. Inspiré par l'art vénitien, Dosso Dossi est considéré comme le principal représentant de l'école  de Ferrare, correspondant en peinture  à L'Arioste en littérature.
Il séjourna aussi à Florence en 1517 et à Mantoue en 1519 pour accompagner Titien. 
Il alla à Rome avec son frère Battista en 1519-1520 et il y travailla avec Raphaël.
En 1529, il fut probablement appelé par François Marie Ier della Rovere, duc d'Urbino, à Pesaro pour décorer le palais de Villa Imperiale.
Entre 1531 et 1532, il se rendit au château du Bon Conseil, à Trente avec son frère cadet Battista, à l'appel du cardinal Bernardo Clesio qui leur confie la décoration du Magno Palazzo, le Palais qu'il vient de faire construire à côté de l'ancienne forteresse, le Castelvecchio. Battista décore un corridor de fresques représentant les Dieux de l'Olympe, et Dosso peint sur le plafond de la Sala Grande « des putti frivoles devant des nuages sur fond de ciel bleu ».


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mercredi 24 avril 2019

Felix Michał Wygrzywalski (1875-1944) - Rybacy ciągnący sieci


Felix Michał Wygrzywalski (1875-1944)
Rybacy ciągnący sieci
(Les pêcheurs tirant le filet)
National Museum in Warsaw

Feliks Michał Wygrzywalski se forme de 1893 à 1898 à l'Académie des beaux-arts de Munich (Kunstakademie) et à l'Académie Julian à Paris. En 1900, il s'installe à Rome. Au cours de ce séjour à Rome, pour compléter sa formation, il effectue des copies d'œuvres d'un certain nombre de maîtres de la Renaissance, en particulier du Caravage, de Raphaël, du Guerchin, de Vélasquez ou de Titien. Il y peint également des paysages et des nus.
En 1906, à la recherche de nouveaux thèmes et de nouvelles couleurs, il se rend en Égypte, où il peint de nombreuses scènes orientalistes. En 1908, il s'installe à Lviv, dans l'ouest de l'Ukraine, où il est chargé de décorer les murs de la Chambre de commerce et d'industrie de la ville. C'est à cette époque qu'il commence à s'intéresser à la scénographie et à concevoir des décors de théâtre. Au cours de la Première Guerre mondiale, il reste en Russie, à Rostov-sur-le-Don, où il est professeur de dessin.
Son fils, Feliks Kazimierz Wygrzywalski (1903-1966) était également peintre.

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vendredi 25 janvier 2019

Bartolomé Esteban Murillo (1617-1682) - Don Andrés de Andrade y la Cal


Bartolomé Esteban Murillo (1617-1682)
Don Andrés de Andrade y la Cal, 1660. 
The Metropolitan Museum of Art, New York. 


Ce tableau témoigne de la capacité de Murillo à donner à ses portraits une grande présence psychologique.
Don Andrés de Andrade y Cal était pertiguero ou maréchal de processions dans la cathédrale de Séville. Pour rendre la solennité de la fonction du personnage, Murillo a adopté une formule utilisée à la fois par Titien et par Velázquez dans leurs portraits de la royauté espagnole; le personnage est tout de noir vêtu de noir et pose sa main droite sur le crâne de  dogue qu'il domine  d'une autorité certaine. Le décor  qui l'entoure est un portique classique avec un blason sculpté dans la pierre sur  la gauche, sans doute les armoiries de Don Andrés de Andrade y Cal.

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samedi 19 janvier 2019

Girolamo di Romano detto Il Romanino (1484-1566) - Ritratto di uomo



Girolamo Romani detto il Romanino (1484-1566) 
 Ritratto di uomo, 1520 
 oil on canvas (77 x65 cm) 
Allentown Art Museum, USA


Girolamo di Romano, dit Romanino est un peintre italien de Venise et de Brescia dont la longue carrière lui a permis d'expérimenter plusieurs styles différents. A l'époque où il peint ce portrait à l'étrange luminosité  sans doute voulue pour rendre la somptuosité du précieux manteau de fils d'orde ce gentilhomme de Brescia, Romanino  subit très fortement  est très fortement les influences de Pordenone et de Titien.  
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jeudi 4 octobre 2018

Théodore Géricault (1791–1824) - Nu masculin


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Théodore Géricault (1791–1824)
Nu masculin 
Musée Bonnat- Helleu,  Bayonne


La figure plus ou moins extravagante de Géricault vue par ses contemporains comme à la fois le cavalier, le héros et l'amant devient, une vingtaine d'années après sa mort,  une des grandes figures du romantisme. 
Jules Michelet écrit la vie de Géricault dans son Journal 1828-1848 et  lui consacre un long passage dans son Cinquième Cours au Collège de France. Il voit dans le peintre un « peintre-magistrat », un juge sévère du Premier empire qui « dans les mélanges bâtards de la Restauration, conserva ferme et pure la pensée nationale. Il ne subit pas l'invasion, ne donna rien à la réaction ». 
Géricault est un homme seul, génie pathétique et désespéré, pris dans des amours éphémères et des amitiés légères et envieuses alors que la France fait naufrage. 
Prosper Mérimée copie les figures de chevaux d'après Géricault et Alexandre Dumas écrit sur lui. Delacroix écrit ses souvenirs de Géricault. 
Lorsqu'il peint  des portraits Theodore Géricault semble toujours hanté par l'Italie,  Michel-Ange et Titien tant il accentue les effets dramatiques du clair-obscur et l'anatomie. En plus de  ses peintures à l’huile, Géricault réalisa  des lithographies, des sculptures, rares mais remarquables, et des centaines de dessins.
En 1822, il a une relation suivie avec une certaine Madame Trouillard, à qui il confie être malade. Bien qu'épuisé, Géricault continue de vivre « comme s'il était dans la plénitude de ses forces alors que les ravages d'une maladie dont le ferment était depuis plusieurs années dans son sang réapparu ». Il tombe plusieurs fois de cheval, et  en août 1823, se brise le dos en tombant rue des Martyrs à Paris. Il est alité, paralysé. Les médecins diagnostiquent une phtisie de la colonne vertébrale.
Il meurt six mois plus tard, le 26 janvier 1824, après une longue agonie due officiellement à cette chute de cheval mais plus probablement à une maladie vénérienne, ce qui fit dire au philosophe et critique d'art Élie Faure que « Géricault est mort d'avoir trop fait l'amour ».
Son fils Georges-Hippolyte Géricault lui consacre une tombe particulière au Père-Lachaise en 1840 qui mêle le Radeau de la Méduse et le mythe de l'homme cheval. 

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mardi 11 septembre 2018

Bonifacio Veronese (1487-1553) - Ritratto di un giovane

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Bonifacio Veronese (1487-1553)
Ritratto di un giovane,  1510 
The State Hermitage Museum, St Petersburg, Russia

Bonifazio de' Pitati appelé Bonifazio Veronese ou Bonifazio Veneziano est un peintre italien actif au 16e siècle à Venise, à ne pas confondre avec Paul Veronese  (1528-1588)  qu'il précède mais qui fut son contemporain pendant une vingtaine d'années et qui fut aussi actif à Venise.
Dès son arrivée à Venise où son atelier devient très actif très rapidement,  on le surnomme  Bonifacio Veronese.  Son atelier, en concurrence avec celui de Titien, n'a jamais atteint le même niveau de célébrité. mais il eut tout de même plusieurs élèves ou assistants prestigieux, dont Le Tintoret, Jacopo Bassano et Andrea Schiavone.
Ses œuvres avant 1528 reflètent l'influence du style contemporain de Venise, ainsi que des anciens maîtres tels que Bellini et Giorgione., lui meme ayant été  l'élève de Palma le Vieux, dont l'influence est visible dans beaucoup de ses tableaux religieux. Ses peintures commencent à s'écarter de ce  style traditionnel après 1528, époque où il commence à expérimenter le maniérisme, mais continue d'exécuter des tableaux de facture plus classique dès qu'il s'agit de sujets religieux, pour des patrons locaux.

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vendredi 27 juillet 2018

Juan Pantoja de La Cruz (1553-1608) - Príncipe Felipe Manuel de Saboya

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Juan Pantoja de La Cruz (1553-1608)
Príncipe Felipe Manuel de Saboya, c. 1604 
Museo Bellas Artes de Bilbao.

Juan Pantoja de La Cruz  est un peintre espagnol, réprésentatif des peintres de cour de l'Ecole espagnole. Il travailla pour Philippe II et Philippe III.
Pantoja représente l'un des points les plus élevés dans l'esthétique maniériste du portrait. Il suit la tradition espagnole des portraits royaux, commencée avec le célèbre portrait de Charles Quint par Titien, dont une copie, faite par Pantoja, se trouve à l'Escurial. 
Antonis Mor, Alonso Sánchez Coello et Pantoja lui-même continuent la tradition. 
Dans ses meilleures œuvres, Pantoja introduit une impressionnante combinaison de sophistication et d'abstraction géométrique obtenues au moyen de contrastes puissants entre la lumière et l'ombre. Ses portraits se distinguent par la minutie des détails des broderies des robes et des dessins de bijoux. Le sujet est généralement représenté debout contre un fond sombre. Le visage et les mains sont représentés avec une technique plus plate et subtile. Parmi ses portraits on compte celui de Philippe III, de la reine Marguerite d'Autriche (1606, Madrid, musée du Prado), l'infante Isabel Clara Eugenia (1599, Munich, Alte Pinakothek), la duchesse de Bragance (1603), Dame inconnue (col. Marquise de Viana), D. Diego de Valmayor (1605, Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage)
Juan Pantoja de la Cruz, fut aussi tenu en haute estime comme peintre animalier, peintre paysagiste et peintre de nature morte. 

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mardi 2 mai 2017

Giovanni Battista Moroni (1520-1579)- Cavaliere in nero


Giovanni Battista Moroni (1520-1579)
 Cavaliere in nero, 1567  
Museo Poldi Pezzoli, Milano

 Entre le années 1550 et 1562, Moroni est le portraitiste à la mode de la bonne société de Bergame. C'est l 'époque où il rencontra Titien, le plus grand portraitiste de son temps. Les portraits du Titien montrent des personnages qui appartiennent aux plus hautes sphères du pouvoir. Ceux de Moroni,  très précis dans l'aspect physique et l'attitude psychologique, invitent au dialogue avec des êtres davantage plongés dans leurs occupations quotidiennesA partir des années 1560-1579, Moroni se retire dans son bourg natal d'Albino. Il adopte alors un style plus sévère, une palette plus austère aux « habits noirs, mines contrites, attitudes pieuses ». Il est le fondateur de ce que l'on nommait alors " la peinture de la réalité " qui a marqué les arts plastiques de Bergame et de Brescia jusqu'au XVIIIe siècle.

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mercredi 5 avril 2017

dimanche 12 mars 2017

Scipione Pulzone (1550-1598) - Portrait of Jacopo Boncompagni


Scipione Pulzone detto Il Gaetano (1550-1598)
Portrait of Jacopo Boncompagni (1574).
Frick Collection, New York

Dans ce portrait, Scipione Pulzone surnommé Il Gaetano, atteint un réalisme inédit grâce, notamment, au rendu minutieux des détails. Il va jusqu'à supprimer toute trace de pinceau pour  obtenir la surface la plus lisse possible, ajoutant ainsi au raffinement du portrait. L'armure éblouissante de Boncompagni affiche des techniques de gaufrage, de damasquinage, de bleuissement et de dorure. La représentation du haut-de-chausse (la culotte) de Pulzone - tissée avec des fils d'or et d'argent - de même que de la brachetta (la braguette rembourrée) montre un degré égal de précision. La lumière qui rebondit sur le plastron donne un effet tactile à la surface polie du métal. La représentation magistrale  des jeux de lumière dans les moindres détails, comme à la lisière du rideau, renforce l'illusion de réalisme. En y regardant de plus près, on constate d'ailleurs que le modèle est représenté sur une toile fictive dont le bord est partiellement recouvert par le rideau bleu ! Avec ce dispositif pictural, Pulzone encourage le spectateur à comparer ses compétences à celles de l'ancien peintre Parrhasius, qui avait trompé son rival Zeuxis avec une peinture de rideau.

Quant au personnage représenté,  il s'agit donc de Jacopo Boncompagni, fils naturel du pape Grégoire XIII, qui s'installa à Rome en 1572 lorsque son père fut élu pape et qu'il devint gouverneur du Castel Sant'Angelo et chef de l'armée papale. Pour ce nouveau venu dans la noble société romaine, ce portrait en armure était destiné à faire connaitre clairement son rang et à propager son apparence auprès de ceux qui ne le connaissaient pas. Bien que l'armure ait été déjà de moins en moins utilisée à cette époque sur les champs de bataille, elle continuait d'être considérée comme un symbole de virilité, de valeur militaire, de richesse, de statut social et, surtout, de lignage antique. Cette représentation reflète donc, avant tout, le rang important du modèle. La figure de Saint-Michel gravé sur le pectoral de l 'armure n'est pas uniquement une référence au Castel Sant'Angelo mais aussi au rôle de Boncompagni lui-même en tant que protecteur de l'Eglise. Ses compétences militaires sont représentées avec le dieu Mars sur le casque et avec le gant en acier placé sur la table. Sur les bandeaux dorés qui retiennent le plastron et les protections des épaules et des bras, sont représentés plusieurs trophées attestant des prouesses militaires du modèle.  Dans le même esprit de démonstration des prouesses militaires de  Boncompagni, on aperçoit le long de la bande centrale du plastron et à la base du casque, des représentations de Turcs captifs, commémorant la récente victoire sur les Ottomans à la bataille de Lépante en 1571. En supplément de ces motifs martiaux, cette prodigieuse armure sculptée comporte aussi des symboles attestant de la richesse, de la prospérité et du statut éminent du personnage, comme des cornes d'abondance et des figures grotesques portant des jarres de fruits.

Un mot enfin de la braghetta, qui elle aussi devait indiquer clairement au spectateur de la Renaissance,  la puissance du personnage. Cette proéminence marquée valorisait le membre viril et par là même la puissance de son possesseur. Jusque dans les années 1580, les braguettes furent de plus en plus volumineuses chez les aristocrates, les princes et les rois, alors que chez les hommes du peuple elles étaient nettement  moins voyantes voir inexistantes. Comme le rappelle Colette Gouvion  dans son ouvrage "Une histoire politique du Pantalon "  (Seuil, 2010)   : « Qu'il s 'agisse de Charles Quint, peint par Le Titien, de François Ier par les Clouet ou de Maximilien II par Antonio Moro… On rembourre la fameuse poche. On l’assortit au pourpoint. On l’orne de rubans, dorures, joyaux. Et on y loge, aux côtés de ses attributs, mouchoir, monnaie, et même fruits que l’on y fait mûrir pour les offrir, bien tièdes à des dames !».  Bon appétit ! 

samedi 11 mars 2017

Titien (1488-1576)



Titien (c.1488/90-1576) (Tiziano Vecellio)
L'homme au gant 
 Musée du Louvre, Paris  

mercredi 4 janvier 2017

Giovanni Battista Moroni (1520-1579) - Jeune homme en cote de maille


Giovanni Battista Moroni (1520-1678)
 Jeune homme en cote de maille  (1560)

 Entre le années 1550 et 1562, Moroni est le portraitiste à la mode de la bonne société de Bergame. C'est l 'époque où il rencontra Titien, le plus grand portraitiste de son temps. Les portraits du Titien montrent des personnages qui appartiennent aux plus hautes sphères du pouvoir. Ceux de Moroni,  très précis dans l'aspect physique et l'attitude psychologique, invitent au dialogue avec des êtres davantage plongés dans leurs occupations quotidiennesA partir des années 1560-1579, Moroni se retire dans son bourg natal d'Albino. Il adopte alors un style plus sévère, une palette plus austère aux « habits noirs, mines contrites, attitudes pieuses ». Il est le fondateur de ce que l'on nommait alors " la peinture de la réalité " qui a marqué les arts plastiques de Bergame et de Brescia jusqu'au XVIIIe siècle.

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dimanche 1 janvier 2017

Titien (1488-1576),



Titien (1488-1576), attribué à...
Portait de Soliman 1er  et de François Ier en 1530

mardi 27 décembre 2016

Titien (1488-1576)


Titien (1488-1576) 
 Ranuccio Farnese en 1542
National Gallery of Art , Washington

samedi 24 décembre 2016

Giovanni Battista Moroni (1520-1579) - Portrait of a Soldier


Giovanni Battista Moroni  (1520-1579)
Portrait of a Soldier 1555-59
 Museo del Prado, Madrid

 Entre le années 1550 et 1562, Moroni est le portraitiste à la mode de la bonne société de Bergame. C'est l 'époque où il rencontra Titien, le plus grand portraitiste de son temps. Les portraits du Titien montrent des personnages qui appartiennent aux plus hautes sphères du pouvoir. Ceux de Moroni,  très précis dans l'aspect physique et l'attitude psychologique, invitent au dialogue avec des êtres davantage plongés dans leurs occupations quotidiennesA partir des années 1560-1579, Moroni se retire dans son bourg natal d'Albino. Il adopte alors un style plus sévère, une palette plus austère aux « habits noirs, mines contrites, attitudes pieuses ». Il est le fondateur de ce que l'on nommait alors " la peinture de la réalité " qui a marqué les arts plastiques de Bergame et de Brescia jusqu'au XVIIIe siècle.

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vendredi 2 septembre 2016

Giovanni Battista Moroni (1520-1579) - Portrait of a Gentleman.


Giovanni Battista Moroni  (1520-1579) 
 Portrait of a Gentleman.

 Entre le années 1550 et 1562, Moroni est le portraitiste à la mode de la bonne société de Bergame. C'est l 'époque où il rencontra Titien, le plus grand portraitiste de son temps. Les portraits du Titien montrent des personnages qui appartiennent aux plus hautes sphères du pouvoir. Ceux de Moroni,  très précis dans l'aspect physique et l'attitude psychologique, invitent au dialogue avec des êtres davantage plongés dans leurs occupations quotidiennesA partir des années 1560-1579, Moroni se retire dans son bourg natal d'Albino. Il adopte alors un style plus sévère, une palette plus austère aux « habits noirs, mines contrites, attitudes pieuses ». Il est le fondateur de ce que l'on nommait alors " la peinture de la réalité " qui a marqué les arts plastiques de Bergame et de Brescia jusqu'au XVIIIe siècle.


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mardi 12 juillet 2016

Giovanni Battista Moroni (1520-1579) - Portrait of a Man 1553






Giovanni Battista Moroni  (1520-1579)
Portrait of a Man 1553,
Honolulu Academy of Arts, USA

 Entre le années 1550 et 1562, Moroni est le portraitiste à la mode de la bonne société de Bergame. C'est l 'époque où il rencontra Titien, le plus grand portraitiste de son temps. Les portraits du Titien montrent des personnages qui appartiennent aux plus hautes sphères du pouvoir. Ceux de Moroni,  très précis dans l'aspect physique et l'attitude psychologique, invitent au dialogue avec des êtres davantage plongés dans leurs occupations quotidiennesA partir des années 1560-1579, Moroni se retire dans son bourg natal d'Albino. Il adopte alors un style plus sévère, une palette plus austère aux « habits noirs, mines contrites, attitudes pieuses ». Il est le fondateur de ce que l'on nommait alors " la peinture de la réalité " qui a marqué les arts plastiques de Bergame et de Brescia jusqu'au XVIIIe siècle.

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lundi 2 mai 2016

Alonzo Sanchez Coello (1532-1588)





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Alonzo Sanchez Coello (1532-1588)
Autoritratto

Alonso Sánchez Coello ( était un portraitiste de la Renaissance espagnole et portugaise. Il est principalement connu pour ses portraits exécutés dans un style alliant l’objectivité de la tradition flamande à la sensualité de la peinture vénitienne. Il était peintre à la cour de Philippe II. [
Sánchez Coello a réalisé des portraits et des peintures religieuses. Les œuvres religieuses, dont beaucoup ont été créées pour le Palais de  l'Escurial, sont assez conventionnelles  et austères. 
Sánchez Coello fut  un disciple de Titien et, comme lui, excellait dans les portraits et les figures isolées, élaborant les textures de ses armures, draperies et autres accessoires à tel point qu'on l'on retrouve son  influence dans ce domaine jusque chez Velázquez . Chez Antonis Mor, Coello a appris la précision de la représentation et, chez Titien, les tonalités dorées vénitiennes, une finition soignée et là peu près tout de l'’utilisation de la lumière sur une toile. 
C'est donc surtout pour ses portraits que cet artiste est retnu par la postérité  souvient. Ils sont marqués par une facilité de pose et d'exécution, une dignité et une sobriété de représentation et une chaleur de couleur. Ses portraits de Philippe II (vers 1580) et de l'infante Isabel Clara Eugenia (1571), toutes deux conservées au Prado à Madrid, sont deux de ses plus belles œuvres. Sánchez Coello a également produit une série touchante de peintures des enfants de Philippe II. La délicatesse extrême du portrait des enfants adoucit l'étiquette rigide et la mode de la cour. 
La réputation de Sánchez Coello en tant que portraitiste a été cependant entachée  par les innombrables copies et imitations qui lui ont été attribuées à tort. 
Il n'y a jamais  eu de réelles biographies de Coello et beaucoup de ses œuvres sont encore confondues avec celles de Sofonisba Anguissola, qui a peint des portraits royaux à la même période, et de Juan Pantoja de la Cruz, élève de Coello.


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vendredi 22 avril 2016

Titien (1488-1576)




TITIEN (1488-1576) 
Frédéric II Gonzague, duc de Mantoue (1525)
Musée du Prado, Madrid

samedi 19 mars 2016

Giovanni Battista Moroni (1520-1579) - Gentleman in pink (1560)



Giovanni Battista Moroni (1520-1579)
Gentleman in pink (1560)
Palazzo Moroni, Bergamo

 Entre le années 1550 et 1562, Moroni est le portraitiste à la mode de la bonne société de Bergame. C'est l 'époque où il rencontra Titien, le plus grand portraitiste de son temps. Les portraits du Titien montrent des personnages qui appartiennent aux plus hautes sphères du pouvoir. Ceux de Moroni,  très précis dans l'aspect physique et l'attitude psychologique, invitent au dialogue avec des êtres davantage plongés dans leurs occupations quotidiennesA partir des années 1560-1579, Moroni se retire dans son bourg natal d'Albino. Il adopte alors un style plus sévère, une palette plus austère aux « habits noirs, mines contrites, attitudes pieuses ». Il est le fondateur de ce que l'on nommait alors " la peinture de la réalité " qui a marqué les arts plastiques de Bergame et de Brescia jusqu'au XVIIIe siècle.

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