Collection virtuelle sur le thème du portrait masculin en peinture, dessin, sculpture et photographie. Chaque portrait est analysé et commenté en français et, quelquefois, détaillé dans un podcast. Biographie de peintres, sculpteurs, photographes et artistes. Portraits historiques, autoportraits, Nus académiques, portraits officiels, Histoire de la mode, Histoire du costume, Histoire de l'art.
mercredi 27 juillet 2016
mardi 26 juillet 2016
lundi 25 juillet 2016
Pierre Julien (1731-1804) - Gladiateur mourant
Pierre Julien (1731-1804)
Gladiateur mourant 1804
Musée du Louvre, Paris
Après que son gracieux "Ganymède" eut été refusé en 1772, l'artiste fit accepter en 1779 ce "Gladiateur mourant", chef d'œuvre d'un néoclassicisme savant et austère qui lui ouvrit les portes de la gloire. Cette figure évoque le Gladiateur mourant, un antique de la collection du Capitole que Pierre Julien put voir lors de son voyage à Rome.
Elle est détaillée ci dessous en 7 plans successifs du détail à l'ensemble.... avec des commentaires issus de la Notice du Musée du Louvre.
" Dans cette œuvre savante, l’artiste illustre sa maîtrise des critères académiques tout en affirmant ses qualités personnelles. Le statuaire revendique sa connaissance des sources antiques : il réinterprète le Gladiateur mourant du musée du Capitole, antique dont il avait exécuté une copie en marbre (musée du Louvre) lors de son séjour à l’Académie de France à Rome entre 1769 et 1772 ; la posture des jambes semble inspirée du Rémouleur, antique très admiré conservé à Florence dont il existait une copie en marbre à Versailles, exécutée en 1684 par l’italien Foggini (musée du Louvre). Julien exécute un nu qui démontre sa parfaite maîtrise de l’anatomie. Il réalise une très belle chute de drapé à l’arrière de la statuette. Mais c’est l’apport personnel du sculpteur qui rend l’œuvre sensible : l’élégance des proportions, le moelleux du modelé, la délicatesse d’exécution (finesse des mains, ciselé des feuilles de laurier ou des mèches de cheveux), le parfait achèvement du marbre et le rendu des textures (le poli du bouclier et de l’épée suggère leur éclat métallique).
L’œuvre témoigne avec éclat de la renaissance du sentiment classique, même sur un genre codifié. Le retour à l’antique et à la nature, ébauché dès les années 1740 par les sculpteurs Edmé Bouchardon et Jean-Baptiste Pigalle, s’impose dans les années 1770. Julien exalte l’héroïsme de l’homme qui maîtrise sa douleur et meurt silencieux, en stoïcien. L’équilibre de la composition, la dignité de la pose, la discrétion de la plaie, la retenue de l’expression répondent plastiquement à cette sérénité héroïque. Comme le Laocoon, une des antiques les plus admirées à l’époque, le Gladiateur souffre mais ne crie pas. Cette retenue dans la douleur la rend plus sensible et intérieure. Un critique du Salon de 1779 exprime bien l’empathie du spectateur : « C’est un malheureux qui expire et dont on partage la douleur ; en un mot cette figure est toute âme. »
Bibliographie
- PASCAL André, Pierre Julien sculpteur, Paris, 1904, pp.26-28.
Elle est détaillée ci dessous en 7 plans successifs du détail à l'ensemble.... avec des commentaires issus de la Notice du Musée du Louvre.
" Dans cette œuvre savante, l’artiste illustre sa maîtrise des critères académiques tout en affirmant ses qualités personnelles. Le statuaire revendique sa connaissance des sources antiques : il réinterprète le Gladiateur mourant du musée du Capitole, antique dont il avait exécuté une copie en marbre (musée du Louvre) lors de son séjour à l’Académie de France à Rome entre 1769 et 1772 ; la posture des jambes semble inspirée du Rémouleur, antique très admiré conservé à Florence dont il existait une copie en marbre à Versailles, exécutée en 1684 par l’italien Foggini (musée du Louvre). Julien exécute un nu qui démontre sa parfaite maîtrise de l’anatomie. Il réalise une très belle chute de drapé à l’arrière de la statuette. Mais c’est l’apport personnel du sculpteur qui rend l’œuvre sensible : l’élégance des proportions, le moelleux du modelé, la délicatesse d’exécution (finesse des mains, ciselé des feuilles de laurier ou des mèches de cheveux), le parfait achèvement du marbre et le rendu des textures (le poli du bouclier et de l’épée suggère leur éclat métallique).
L’œuvre témoigne avec éclat de la renaissance du sentiment classique, même sur un genre codifié. Le retour à l’antique et à la nature, ébauché dès les années 1740 par les sculpteurs Edmé Bouchardon et Jean-Baptiste Pigalle, s’impose dans les années 1770. Julien exalte l’héroïsme de l’homme qui maîtrise sa douleur et meurt silencieux, en stoïcien. L’équilibre de la composition, la dignité de la pose, la discrétion de la plaie, la retenue de l’expression répondent plastiquement à cette sérénité héroïque. Comme le Laocoon, une des antiques les plus admirées à l’époque, le Gladiateur souffre mais ne crie pas. Cette retenue dans la douleur la rend plus sensible et intérieure. Un critique du Salon de 1779 exprime bien l’empathie du spectateur : « C’est un malheureux qui expire et dont on partage la douleur ; en un mot cette figure est toute âme. »
Bibliographie
- PASCAL André, Pierre Julien sculpteur, Paris, 1904, pp.26-28.
dimanche 24 juillet 2016
samedi 23 juillet 2016
Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simon dit Michel- Ange (1475-1564) - Tombeau de Giulano de Medicis
Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simon dit Michel- Ange (1475-1564)
Tombeau de Giuliano de Medicis (détail)
Sagrestia Nuova de la basilique San Lorenzo, Florence.
Sagrestia Nuova de la basilique San Lorenzo, Florence.
En 1520, le Pape Leon X (1513-23) de Medicis,passa commande à Michel-Ange de la Chapelle des Medicis. Le pape souhaitait ainsi rassembler dans un même lieu, les tombeaux de son père Lorenzo, duc d'Urbino, dit Laurent Le Magnifique et du plus jeune frère de celui ci Giuliano, duc de Nemours,
assassiné lors de la conjuration des Pazzi le 26 avril 1478.
Pour rassembler deux tombeaux qui se trouvaient dans l'Ancienne Sacristie de la Basilique San Lorenzo, Michel Ange décida de construire une Nouvelle Sacristie plus petite, plus intime, incitant à la prière et au recueillement. Pour réaliser cette Sacristie Nouvelle, le pape laissa une entière liberté au sculpteur et c'est sans doute la raison pour laquelle la chapelle dite Sagrestia Nuova, (Sacristie Nouvelle) conçue par Michel-Ange architecte et décorée par Michel-Ange sculpteur est si émouvante... même si elle est largement inachevée par rapport au plan d'origine.
Chacun des tombeaux des ducs est divisé en deux secteurs.
Dans la partie plus inférieure on trouve les sarcophages avec les corps des ducs, sur lesquels veille à al fois le crépuscule et l' aube ,la nuit et je our comme un symbole de la vanité des choses.
Au-dessus de ce secteur temporel, la noblesse des figures des ducs et la subtilité de l'architecture richement décorée qui les entoure symbolise une sphère plus haute : celle de la demeure de l'esprit enfin libéré de toute entrave mortelle et racheté pour l 'éternité.
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vendredi 22 juillet 2016
jeudi 21 juillet 2016
mercredi 20 juillet 2016
mardi 19 juillet 2016
Franz-Xaver Winterhalter ( 1805-1873) - Antoine d'Orléans
Antoine d'Orléans, duc de Montpensier à l'âge de 20 ans
Musée du château de Chantilly, France
Dernier enfant du roi des Français Louis-Philippe Ier (1773-1850) et de son épouse Marie-Amélie de Bourbon (1782-1866), princesse des Deux-Siciles, Antoine-Marie-Philippe-Louis d’Orléans, duc de Montpensier est devenu Don Antonio de Orleans, Infant d'Espagne par son mariage et duc de Galliera après la renonciation de la duchesse Maria de Brignole-Sale.
Membre de la maison capétienne d’Orléans, il est le fondateur de la branche Orléans-Bourbon renommée par la suite Orléans-Galliera.
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lundi 18 juillet 2016
François-Xavier Fabre (1766-1837) - Jeune homme avec une cape rouge
François-Xavier Fabre (1766-1837)
Jeune homme avec une cape rouge, 1795
Musée des Beaux Arts de Montréal, Canada
Né à Montpellier, lauréat du Grand Prix de Rome en 1787 et disciple du grand David, François-Xavier Fabre (1766-1837) réalise la majeure partie de sa carrière à Florence, où il réside de 1793 à 1824. Portraitiste, peintre d’histoire et paysagiste, il se distingue par la pureté de son dessin qui doit beaucoup à Poussin comme par son usage raffiné de la couleur. II connaît de son vivant un grand succès auprès d’une clientèle élégante et cosmopolite qu’il croise dans le salon de la comtesse Louise d’Albany et du poète Alfieri, ses plus fidèles et fervents admirateurs. Il est aussi l’un des plus célèbres collectionneurs de son temps et le fondateur du musée qui porte son nom dans sa ville natale, auquel il lègue sa fabuleuse collection.
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dimanche 17 juillet 2016
samedi 16 juillet 2016
vendredi 15 juillet 2016
jeudi 14 juillet 2016
mercredi 13 juillet 2016
Ivan Nikolaevich Kramskoy (1837-1887) - Portrait of Feodor Vasilyev
IVAN NIKOLAEVITCH KRAMSKOY (1837-1887)
Portrait of Feodor Vasilyev
Fiodor Vassiliev (Фёдор Алекса́ндрович Васи́льев) (1850 -1873 représenté dans ce portrait est un peintre paysagiste russe, paysagiste. En travaillant sur son tableau « Le dégel » durant l'hiver 1870, Vassiliev contracte la tuberculose après un refroidissement. Le comte Pavel Strogonov lui propose alors de passer l'été de 1871 dans ses propriétés de Kharkov et de Voronej. Mais il ne guérit pas.
La Société impériale d'encouragement des beaux-arts lui donna alors les moyens financiers pour aller en Crimée où Vassiliev vécut les deux dernières années de sa vie.
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mardi 12 juillet 2016
Giovanni Battista Moroni (1520-1579) - Portrait of a Man 1553
Giovanni Battista Moroni (1520-1579)
Portrait of a Man 1553,
Honolulu Academy of Arts, USA
Entre le années 1550 et 1562, Moroni est le portraitiste à la mode de la bonne société de Bergame. C'est l 'époque où il rencontra Titien, le plus grand portraitiste de son temps. Les portraits du Titien montrent des personnages qui appartiennent aux plus hautes sphères du pouvoir. Ceux de Moroni, très précis dans l'aspect physique et l'attitude psychologique, invitent au dialogue avec des êtres davantage plongés dans leurs occupations quotidiennes. A partir des années 1560-1579, Moroni se retire dans son bourg natal d'Albino. Il adopte alors un style plus sévère, une palette plus austère aux « habits noirs, mines contrites, attitudes pieuses ». Il est le fondateur de ce que l'on nommait alors " la peinture de la réalité " qui a marqué les arts plastiques de Bergame et de Brescia jusqu'au XVIIIe siècle.
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lundi 11 juillet 2016
Agnolo Bronzino (1502-1573) - Head of a man
Agnolo Bronzino (1502-1573)
Head of a man (1550)
Angelo di Cosimo ou Agnolo di Cosimo dit le
Bronzino ou Agnolo Bronzino est un peintre maniériste italien, fils
adoptif et apprenti de Pontormo, et élève de Girolamo Genga. Il devrait
son surnom à son teint sombre ou à la couleur de ses cheveux. Son
disciple et fils adoptif, Alessandro Allori, était également surnommé «
il Bronzino ». Il a eu sa part dans les débats qui ont animé les
artistes de l'époque sur la supériorité de la peinture ou de la
sculpture. Ardent défenseur de la peinture, le Bronzino réalise un
tableau à deux faces, le Nain Morgante, où il représente un homme de
face et de dos, pour démontrer la capacité de la peinture à faire sentir
les volumes de la chair.
lL entre au
service des Médicis en 1539 pour les décorations du mariage de Côme de
Médicis et d'Éléonore de Tolède pour laquelle il décorera toute une
chapelle du Palazzo Vecchio et dont il fera le portrait en 1545. Ses
portraits offrent l'image officielle de la cour des Médicis. Ils sont
l'expression d'un pouvoir aristocratique, hors des contingences
matérielles.
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dimanche 10 juillet 2016
samedi 9 juillet 2016
vendredi 8 juillet 2016
Nicolas de Largilliere (1656-1746) - Portrait d' Anne-Louis Goislard de Montsabert
Nicolas de Largilliere (1656-1746)
Portrait d' Anne-Louis Goislard de Montsabert, 1734.
Largilliere est l’artiste le plus complet de sa génération. Ce peintre aux talents multiples était à l’aise aussi bien avec les natures mortes, qu’avec les tableaux historiques, les paysages ou les portraits, sa maîtrise technique lui permettant de jouer avec les matières, les couleurs et les lumières sans en faire un exercice froid. S’il s’était signalé par quelques tableaux historiques, il s’adonna plus particulièrement, sans renoncer à la grande peinture, au genre du portrait, dans lequel il excellait, surtout ceux des femmes où il savait démêler, dans leur physionomie, les traits constituant à la fois la beauté et le caractère. Il pouvait, sans s’écarter du modèle, y découvrir des grâces inaperçues et faire valoir les beautés apparentes, de façon que les femmes étaient d’autant plus sensibles aux flatteries de son pinceau, qu’il semblait n’avoir exprimé que la vérité, et qu’ainsi en regardant leur portrait, en les trouvait ressemblantes avant de les trouver belles. La ville de Paris ayant donné un repas à Louis XIV à l’occasion de sa convalescence, en 1687, voulut consacrer le souvenir de ce repas mémorable. Largilliere fut choisi pour le peindre, et, comme s’il eut compris ce que désiraient, au fond, les officiers du corps de ville, il fit leur portrait de grandeur naturelle au premier plan, leur prêta quelques gestes insignifiants, pour avoir l’occasion de peindre de belles mains à la Van Dyck, et rejeta Louis XIV et sa cour dans le vaporeux de la perspective. Cette représentation des échevins parisiens en costume et perruque s’appelle néanmoins la Convalescence de Louis XIV. Ses portraits, dans la tradition flamande de Rubens et van Dyck, gardent toujours une vie et une sensibilité qui font de lui l’un des plus grands peintres du règne de Louis XIV et de la Régence. Il laisserait, à sa mort, 4 500 portraits.
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mercredi 6 juillet 2016
mardi 5 juillet 2016
Jacques Réattu (1760-1833)
Jacques Réattu (1760-1833)
Etude de nu
Musée Réattu, Arles, France
Jacques Réattu est un peintre français, grand prix de l'Académie royale de peinture et sculpture en 1790. Dès 1775, il entre à l'Académie royale de peinture et de sculpture, il est d'abord l'élève de Simon Julien (Toulon 1735 - Paris 1800) puis de Jean-Baptiste Regnault.
Son grand prix en 1790 lui ouvre les portes d'un séjour en Italie en tant que pensionné du Roi, année où le concours fut tout de même ouvert malgré les évènements révolutionnaires. Le contexte politique ne lui permet pas de séjourner comme prévu quatre années dans la capitale pontificale. Ce séjour sera néanmoins l'occasion pour Jacques Réattu de réaliser une œuvre majeure, Prométhée protégé par Minerve et élevé au Ciel par le Génie de la Liberté, dérobe le feu, première œuvre à discours révolutionnaire de l'artiste. De retour en France en 1793, il séjourne d'abord à Marseille où il obtient en 1795 la commande pour le décor du Temple de la Raison de dix tableaux monumentaux peints en grisaille à l’imitation de bas reliefs illustrant les idéaux révolutionnaires. En 1798, il revient définitivement en Arles où il acquiert la commanderie de Saliers puis la totalité des lots du Grand Prieuré de l'Ordre de Malte dont les biens furent confisqués et vendus dès 1793.
C'est là qu'il installe son atelier et que se trouve aujourd'hui le musée Réattu qui abrite une grande partie de son oeuvre.
lundi 4 juillet 2016
dimanche 3 juillet 2016
samedi 2 juillet 2016
vendredi 1 juillet 2016
GEORGE CATLIN (1796-1872)
GEORGE CATLIN (1796-1872)
Portrait of George Lowery, second Chief of the Eastern Cherokee and cousin of Sequoyah.
Lowery was the Second Chief (Assistant Chief) of the Eastern Cherokee, and was a cousin of Sequoyah. He served as Assistant Chief under Principal Chief John Ross from 1843 until 1851.
He was born at Tuhskegee on the Tennessee River about 1770, and died October 20, 1852 at the age of 82. He is buried in Tahlequah City Cemetery. Lowery is credited with many accomplishments in his life, and fought in the War of 1812 and was a member of two Cherokee Constitution Conventions (1827 and 1839).
jeudi 30 juin 2016
mercredi 29 juin 2016
Franz-Xaver Winterhalter ( 1805-1873) - Maharadjah Duleep Singh
Franz-Xaver Winterhalter ( 1805-1873)
Maharadjah Duleep Singh, the last maharadjah of Punjab in 1854
The Royal Trust Collection
Queen Victoria was captivated by Dalip Singh (1838-93) when first introduced to him in 1854, the year in which he was brought to England, having surrendered his sovereignty of the Punjab in 1849. She recorded in her journal on 10 July 1854 that 'Winterhalter was in ecstasies at the beauty and nobility of bearing of the young Maharaja. He was very amiable and patient, standing so still and giving a sitting of upwards of 2 hrs'. Queen Victoria's fascination with India continued throughout her life and this was one of many portraits that she commissioned of Indian sitters. However, Winterhalter's male portraits are rarely as romantic or exotic as this image, which places the young Maharaja in an imaginary landscape in Indian dress.
The Maharaja is shown wearing his diamond aigrette and star in his turban and a jewel-framed miniature of Queen Victoria by Emily Eden. During one of the sittings he was shown the Koh-i N?r diamond that he had surrendered in 1849. Queen Victoria recorded how she had given him the newly recut jewel to inspect and that he then handed it back to her, saying how much pleasure it gave him to be able to make the gift in person. He quickly became a close friend of the royal family, visiting them at Osborne and inviting the Prince of Wales to shooting parties on his estate at Elveden Hall in Suffolk. However, Dalip Singh's financial difficulties and disaffection with British politics led him to become involved in various international intrigues in an attempt to regain his throne and he died in exile in Paris.
Commissioned by Queen Victoria, 1854
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mardi 28 juin 2016
Jacob-Ferdinand Voët (1639-1700)
Jacob-Ferdinand Voët (1639-1700),
Portrait d'un jeune homme de la famille Chigi
Jacob-Ferdinand Voët (1639-1700) est un peintre portraitiste baroque flamand.
Selon l’Institut néerlandais d’histoire de l’art (RKD), il nait à Anvers et il est le fils du peintre Elias Voët. Il se rend à Rome en 1679-1680, à Milan en 1680, à Florence en 1681, à Turin en 1682-1684 et retourne à Anvers en 16841. Tandis qu’il est à Rome, il vit avec le peintre-graveur Cornelis Bloemaert jusqu’à ce qu’il soit banni pour ses portraits de femmes représentées avec des décolletés indécents, après quoi ils quittent Rome ensemble.
Il entreprend alors un voyage à Paris en 1686 où il devient peintre de cour jusqu’à son décès. Il y est inscrit en tant que peintre de miniatures.
А propos de Jacob Ferdinand Voet, Houbraken mentionne qu'il aurait fait un dessin au fusain de tous les Bentvueghels sur le mur blanchi à la chaux d’une auberge à Rome, lieu de rencontre populaire de cette confrérie. L’image a été assez appréciée pour être épargnée chaque fois que les murs ont été repeints par la suite...
lundi 27 juin 2016
dimanche 26 juin 2016
samedi 25 juin 2016
vendredi 24 juin 2016
jeudi 23 juin 2016
mercredi 22 juin 2016
lundi 20 juin 2016
Agnolo Bronzino (1503-1572) - Portrait d'Andrea Doria enNeptune
AGNOLO BRONZINO (1503-1572)
Portrait d'Andrea Doria en Neptune (1530)
Pinacoteca di Brera, Milano
Angelo di Cosimo ou Agnolo di Cosimo dit le
Bronzino ou Agnolo Bronzino est un peintre maniériste italien, fils
adoptif et apprenti de Pontormo, et élève de Girolamo Genga. Il devrait
son surnom à son teint sombre ou à la couleur de ses cheveux. Son
disciple et fils adoptif, Alessandro Allori, était également surnommé «
il Bronzino ». Il a eu sa part dans les débats qui ont animé les
artistes de l'époque sur la supériorité de la peinture ou de la
sculpture. Ardent défenseur de la peinture, le Bronzino réalise un
tableau à deux faces, le Nain Morgante, où il représente un homme de
face et de dos, pour démontrer la capacité de la peinture à faire sentir
les volumes de la chair.
lL entre au
service des Médicis en 1539 pour les décorations du mariage de Côme de
Médicis et d'Éléonore de Tolède pour laquelle il décorera toute une
chapelle du Palazzo Vecchio et dont il fera le portrait en 1545. Ses
portraits offrent l'image officielle de la cour des Médicis. Ils sont
l'expression d'un pouvoir aristocratique, hors des contingences
matérielles.
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dimanche 19 juin 2016
samedi 18 juin 2016
vendredi 17 juin 2016
jeudi 16 juin 2016
mercredi 15 juin 2016
François Clouet (1510-1572) - Le roi Charles IX et ses frères, le duc d'Anjou et le duc d'Alençon
François Clouet (1510-1572)
Le roi Charles IX et ses frères, le duc d'Anjou et le duc d'Alençon, en 1572
Musée du Louvre, Paris
Musée du Louvre, Paris
François Clouet est un artiste-peintre dessinateur français de la Renaissance. Fils de Jean Clouet, lui même dessinateur et peintre célèbre en son temps, François Clouet continue l’œuvre de portraitiste de son père, et son art présente beaucoup d'analogie avec le style dont Jean a été l’inventeur : même sobriété, concentration sur la recherche de ressemblance et même soin d'éviter tout détail superflu. Les dessins de François Clouet toutefois sont réputés ne pas posséder la légèreté aérienne de ceux de Jean Clouet, mais en tant que portraits ils ne sont pas moins saisissants. C'est lui qui le premier s'est avisé de leur donner un fini qui atteste qu'il ne les considérait plus comme des esquisses préparatoires, mais comme des œuvres d'art achevées en elles-mêmes. On pourrait dire, que les 54 dessins authentiques de François Clouet, répartis entre le musée Condé de Chantilly et le Cabinet des estampes au Musée du Louvre à Paris, surpassent encore ceux de son père dans la voie que celui-ci avait ouverte.
mardi 14 juin 2016
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