google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 PORTRAITS MASCULINS

vendredi 26 février 2016

Thomas Eakins (1844-1916) - Portrait of Billy Smith


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Thomas Eakins (1844-1916)
 Portrait of Billy Smith 1898

Thomas Cowperthwaite Eakins est un peintre, sculpteur et photographe américain, associé au courant moderniste du réalisme américain. Admis à l'École des beaux-arts de Paris dans les ateliers de Jean-Léon Gérôme, puis de Léon Bonnat de 1866 à 1868, il séjourne ensuite quelque temps à Pont-Aven à l'instigation de Robert Wylie. Il voyage ensuite en Espagne avant de retourner aux États-Unis où il commence une brillante carrière de peintre réaliste et se spécialise dans la peinture des sportifs (boxeurs, lutteurs, rameurs, joueurs de base ball... ). Amoureux de la vérité optique, il s'intéresse aussi à la photographie. En 1882, il devient professeur à l'académie des beaux-arts de Pennsylvanie, une école d'art avant-gardiste où l'on enseigne notamment la photographie. En 1886, il perd son poste de professeur à l'académie pour avoir admis un public féminin lors d'un cours d'anatomie d'après modèle masculin... 

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2016 - Men Portraits 
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mercredi 24 février 2016

lundi 22 février 2016

Gustave Caillebotte (1848-1894) - Homme s'essuyant la jambe



Gustave Caillebotte (1848-1894) Homme s'essuyant la jambe, 1884 Huile sur toile, 100 x 125 cm  Collection privée


Gustave Caillebotte (1848-1894)
Homme s'essuyant la jambe, 1884
Huile sur toile, 100 x 125 cm 
Collection privée  



L'Homme s'essuyant la jambe est une huile sur toile inachevée  datant de 1884. Elle est le pendant du tableau de Caillebotte intitulé L'Homme au bain, conservé au musée des beaux-arts de Boston. Ces deux grands tableaux illustrent le même homme et la même salle de bains, avec sa baignoire de cuivre et sa chaise paillée. L'Homme s'essuyant la jambe fait partie actuellement d'une collection particulière.

mercredi 17 février 2016

lundi 15 février 2016

Sandro Botticelli (1445-1510) - Portrait of a young man 

Sandro Botticelli (1445-1510)  Portrait of a young man  The National Gallery, London


Sandro Botticelli (1445-1510)
Portrait of a young man
Tempera sur bois 37,5 × 28,2 cm
The National Gallery, London

Comme souvent chez Botticelli, l'identité du personnage représenté ainsi que l'emplacement original du tableau demeure inconnus.
Même si aujourd'hui la critique est unanime quant à l'attribution de l'œuvre à Botticelli, il faut noter que ce tableau a été diversement attribué au xixe siècle : Giorgione, Filippino Lippi ou Masaccio. Le jeune homme est représenté en buste et position frontale regardant le spectateur. Le portrait est situé sur un fond sombre qui en fait ressortir la plasticité grâce à la lumière provenant depuis la droite. Le personnage fixe intensément le spectateur en instaurant avec lui un dialogue psychologique. Ses yeux sont particulièrement grands ; le nez comporte de grosses narines ; la bouche est charnelle et les pommettes prononcées.  Il est vêtu d'un riche tunique de couleur marron de la même couleur de ses yeux, bordée d'une pelisse et fermée au cou par un lacet au-dessus d'un habit noir et une chemise blanche. Les cheveux sont longs et ondulés, couverts par un couvre-chef rouge typique de la bourgeoisie florentine de l'époque.

dimanche 14 février 2016

Frank Albert Rinehart (1861-1928) - Vapore, chef Maricopa


Frank Albert Rinehart (1861-1928) 
Portrait du chef indien Vapore de la tribu des Maricopa, 1899
Boston Library, USA


La tribu Maricopa vivait dans deux réserves constituées par la Communauté indienne Pima-Maricopa de Salt River et  la Communauté indienne de la rivière Gila. Les tribus comptaient en 1990, 800 personnes. Leur langage est le maricopa, une langue de la famille des langues yuman. Ils sont liés d’ailleurs au peuple Yuman. Les Akimel O’odham les nommaient Kokmalik’op  (ennemis dans les grandes montagnes). 
Autrefois ils vivaient en petits groupes sur les rives de la rivière Colorado. Au 16e siècle ils migrent vers la rivière Gila pour éviter les attaques des Quechans et des peuples Mojaves.
Dans les années 1840 des épidémies déciment une partie de la population et ils se regroupent en confédération avec les Pimas. En 1857 à la bataille de Pima Butte, ils réussissent à vaincre les Quechans et les Mojaves. Ils deviennent agriculteurs et produiront en 1870 jusqu’à trois millions de livres de blé. La sécheresse et le détournement de l’eau par les colons provoquent par la suite de mauvaises récoltes généralisées.
A la fin du 19e et au début du 20e siècles, le bureau des affaires indiennes tente de les assimiler dans la société aidés en cela par les missionnaires presbytériens. En 1914, le gouvernement fédéral éclate les exploitations tribables en parcelles individuelles. En 1926  la création du conseil consultatif Pima permet de parler au nom des communautés Pima et Maricopa.
En 1936,  Pimas et Maricopas sont d’accord sur une constitution pour rétablir une auto-gouvernance. bien que la perte de la rivière Gila soit une grande souffrance pour le peuple.
Habiles vanniers et tisserands, ils  sont surtout connus pour leur poterie traditionnelle qui connaît un regain d’intérêt dans les années 1937 à 1940. Leur symbole traditionnel, la croix gammée, est   abandonné dans les années 40 en raison de l’usurpation du symbole par les nazi allemands en Europe.

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vendredi 12 février 2016

lundi 8 février 2016

Maurice Quentin de La Tour (1704-1788) - Portrait d'un jeune noir


      



1. In  Portrait d'un jeune noir, 1741 - Pastel sur carton - Musée des Beaux-Arts d'Orléans
2.  Jeune Nègre qui attache  le bouton de sa chemise, 1741,  Musée d'Art et d'histoire de Genève 

Le premier portrait est un pastel sur carton qui se trouve au Musée des Beaux Arts d'Orléans sous le titre " Portrait d'un jeune noir ", 1741, acquis par le MBA en 1991, en provenance des collections du Duc de Caylus. La notice  du Musée le décrit ainsi    "Ce portrait décrit sans exotisme un serviteur noir. Débarrassé de toute magnificence, ce qui soulignerait sa condition d'esclave dans la tradition des peintres flamands ou hollandais, le visage mélancolique apparaît, dans toute sa nudité, exprimant avec simplicité la beauté du modèle."
La notice du MBA d'Orléans complète les informations en signalant  qu'il s'agit d'une   : 
" Etude préparatoire pour le pastel présenté au Salon de 1741, "  Un nègre qui attache le bouton de sa chemise ", conservé au musée d'art et d'histoire de Genève. 

Il s'agit du second tableau proposé dans cette page 

samedi 6 février 2016

Paul Duqueylar (1771-1845)




Paul Duqueylar (1771-1845) 
Lamentations d'Orphée


C'est un peintre  français d'Histoire du courant néo classique.  Il fut l'élève de  David. Il appartint а la Secte des Barbus, groupe d'éléves dissidents de l'Ecole de David.

jeudi 28 janvier 2016

Sculpture antique - Le Faune Barberini




Sculpture antique 
Le Faune Barberini
3e siècle av JC 
Glyptothèque de Munich  (Inv. 218)


Le Faune Barberini, statue grecque antique de l'époque hellénistique, représenteun satyre endormi.
La statue fut découverte de façon assez mystérieuse sous le pontificat d'Urbain VIII (1623-1643) au château Saint-Ange, à Rome. Elle entra aussitôt dans les collections de la famille du pape, les Barberini, qui lui donna son nom. Le cardinal Maffeo Barberini commissionne alors le Bernin pour restaurer la statue, dont la jambe droite, une partie des mains et de la tête. On ignore si le travail a été effectué par le Bernin lui-même ou l'un de ses disciples mais  selon la tradition, le Bernin aurait accentué l'aspect homo-érotique de la statue.
La statue acquiert rapidement de la notoriété.
En 1700, elle est citée comme le « Faune du palais Barberin » illustrant le « sommeil naturel », par l'abbé Raguenet dans ses Monuments de Rome.
Elle est vendue par les Barberini dans la deuxième moitié du 18e siècle, lors du grand dispersement de leurs collections. 
Elle appartient un temps à un sculpteur et marchand, Vincenzo Pacetti, avant d'être achetée dans les années 1810 par le roi Louis Ier de Bavière alors prince héritier,  puis elle est  installée à Munich dans la Glyptothèque, musée spécialement créé pour accueillir ses nouvelles collections de sculpture grecque. Elle y est toujours conservée de nos jours.

Haute de 2 m 15, la statue est en marbre blanc a l'origine mais qui a acquis une patine jaune sombre. au cours des siècles. On ignore dans quel contexte antique cette statue  s'insérait : était-ce un élément d'un groupe ou une statue isolée ? S'agissait-il d'une offrande religieuse ou d'une œuvre décorative ? La puissance de l'expression, rappelant l'école de Pergame et la maîtrise de la représentation en trois dimensions, accorde  les experts à rattacher cette œuvre à l'Asie mineure de la fin du 3e siècle av. J.-C. On ne connaît pas de copies antiques du Faune Barberini, mais l'existence d'une variante en bronze découverte dans la Villa des Papyrus d'Herculanum, antérieure au 1er siècle av. J.-C.
De nombreuses copies modernes du Faune Barberini sont connues, souvent l'œuvre de pensionnaires de la Villa Médicis. Parmi celles-ci, on peut citer :
- celle d'Edmé Bouchardon, prix de Rome en 1722, exposée successivement au parc Monceau, au parc de Saint-Cloud et au Jardin du Luxembourg, actuellement conservée au musée du Louvre ;
- celle d'Eugène-Louis Lequesne, prix de Rome en 1844, actuellement conservée à l'École nationale supérieure des beaux-arts (Paris).


La queue du Faune  Barberini dépassant de l'assise de la statue

mercredi 27 janvier 2016

Baccio Bandinelli (1493-1560) - Hercule et Caccus











Baccio Bandinelli (1493-1560)
Hercule et Caccus
Piazza della Signoria
Firenze

Hercule et Caccus est une sculpture en marbre blanc exposée depuis plus de 500 ans dans l'espace public, à droite de l'entrée du Palazzo Vecchio sur la Piazza della Signoria à Florence, en Italie.
Cette œuvre de l'artiste florentin Baccio Bandinelli a été commandée comme pendant au David de Michel -Ange, qui se trouve à l'autre extrémité de la piazza  et qui avait été commandé pour commémorer la victoire des Républicains sur les Médicis. Au moment de leur retour au pouvoir à Florence en 1512, les Medicis laissèrent la statue de Michel-Ange en place trouvant commode d'en faire un symbole de  leur puissance retrouvée, mais tout  en lui adjoigant un commentaire sculptural de leur cru ! .Ce commentaire c'est précisément l' Hercule soumettant Caccus de Bandinelli. La soumission de Caccus étant le symbole de la soumission définitive des républicains aux Medicis, une soumission, totale et... très explicite  !  



Bartolomeo Bandinelli  (dit Baccio) était le fils d'un éminent orfèvre florentin dont il devint rapidement le premier apprenti. Dans le domaine de la sculpture, c'est avec Giovanni Francesco Rustici, ami de Leonardo da Vinci qu'il fit ses classes. Parmi ses premières œuvres  réalisées par Bandinelli : un Saint Jérôme en cire, commande de Giuliano de Medici.  Les Medicis deviennent ses commanditaires principaux  sachant mettre à profit la rivalité maladive qui oppose Bandinelli à Michel Ange, les disciples de Michelangelo ne voyant dans les sculptures de Bandinelli qu'emphase et mauvais gout.   La jalousie de Bandinelli envers Michel Ange finira par se transformer en haine véritablement pathologique  ui occupera une grande partie de sa vie.  La postérité et la destinée ont choisi de réconcilier ces deux grands artistes d'une façon assez ironique, sur la Piazza della Signoria de Florence, où le David de Michel Ange fait face depuis  plus d'un demi millénaire  à l'Hercule de Bandinelli pour le meilleur et ...non plus pour le pire  !

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2016 - Men Portraits 
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jeudi 14 janvier 2016

Thomas Gainsborough (1727-1788)


Thomas Gainsborough  (1727-1788)
Henry Fiennes Pelham Clinton (1750–1778), Earl of Lincoln 


jeudi 24 décembre 2015

Nicolas Poussin (1594-1665) - Martyre de Saint Erasme


Nicolas Poussin (1594-1665),
Martyre de Saint Erasme, 1628-1629
Huile sur toile,  (320 x 186 cm)
Musei Vaticani

Cette œuvre représente Erasme, évêque de Formia, subissant le martyre durant les persécutions de Dioclétien en 303 apr. J.-C.
Le Martyre de Saint Erasme est la première œuvre publique de Nicolas Poussin à Rome, où il s’était installé en 1624. L’œuvre était destinée à l’autel du transept droit de la Basilique Saint-Pierre, dans lequel sont conservées les reliques du Saint.
 Le tableau y resta jusqu’au XVIIIe siècle, avant d’être remplacé par une copie en mosaïque et transféré au palais pontifical du Quirinal. En application du Traité de Tolentino, il fut transféré à Paris, puis après sa restitution entra dans la Pinacothèque du Vatican de Pie VII (1820).
A l’origine, le retable d’autel avait été commandé à Pietro da Cortona, puis il passa en 1628 à Poussin qui le termina l’année suivante, en suivant les dessins préparatoires de Pietro da Cortona.

Le peintre représente au premier plan le martyr, un prêtre lui indiquant la statue d’Hercule (l’idole païenne qu’Erasme refusa d’adorer ; raison pour laquelle il fut condamné au martyre sur la place publique), un soldat romain à cheval chargé d’exécuter le supplice, le bourreau en train d’extraire les intestins en les enroulant sur un treuil de bateau, un fragment d’architecture classique et des anges qui descendent vers la victime en portant la palme et la couronne, symbole du martyre. Cette composition devint un véritable modèle pour les futures représentations de martyres. Valentin s’en inspira pour son Martyre des Saint Proces et Saint Martinien exécuté pour un autre autel tout proche dans la basilique Saint-Pierre.

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2015 - A Still Life Collection 
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vendredi 27 novembre 2015

Jacopo Bassano (1510-1592)





Jacopo Bassano (1510-1592) 
Portrait of a military commander, three-quarter length, 
in armour, wearing a broadsword and holding a partigiana, ca. 1560

dimanche 22 novembre 2015

Joseph Ducreux (1735-1802) - Portrait d'homme




Joseph Ducreux (1735-1802)
Portrait d'homme , ca. 1802


Ducreux a commencé à étudier son art avec son père, peintre également. А Paris en 1760, il travaille avec Maurice Quentin de La Tour, spécialiste du portrait mais c'est  Jean-Baptiste Greuze qui a l'influence la plus importante sur sa technique pictural . Spécialiste du portrait, Ducreux a pour modèles de ses premiers pastels : Pierre-Jean Mariette, le Comte de Caylus. Ces œuvres sont souvent des copies d’après Georges de La Tour. Ses autoportraits bien connus de la fin des années 1780 montrent son intention de rompre avec la tradition et son intérêt pour ce que l'on appelle alors la  physionomie, une pseudo-science se basant sur le visage de quelqu’un pour définir son caractère et sa personnalité. C'est ainsi que Ducreux tente de capturer et de rendre la personnalité de ses modèles.
En 1769, Ducreux est envoyé à Vienne pour peindre Marie-Antoinette avant qu’elle ne quitte son pays natal pour épouser Louis XVI. Fait baron, il devient le premier peintre de la Reine en remerciement des services rendus a la souveraine et  bien qu’il ne soit pas membre de l’Académie royale de peinture.
La Révolution française le contraint à s’installer а Londres, où il dessine les derniers portraits de Louis XVI juste avant son exécution. De retour а Paris en 1793, Jacques Louis David s’associe à lui et l’aide à poursuivre une carrière officielle. La résidence de Ducreux devient un salon informel où les artistes se font portraiturer. Ducreux a également joué un rôle politique important du fait du carnet d'adresses considérable qu'il possédait en tan que peintre de France mais aussi de  la cour d’Allemagne et  celle d’Angleterre. Il a connu  les personnages marquants de son époque et a laissé des documents précieux pour les historiens.
Ducreux était  aussi  célèbre pour avoir le caractère le plus irascible du monde et pour être presque constamment  en colère. L’habitude qu’avait ce peintre de refaire souvent son autoportrait, dans des attitudes différentes, lui facilita sans doute le talent de saisir si bien l’expression des physionomies. Son autoportrait connu sous le nom du Moqueur est son plus remarquable.


jeudi 19 novembre 2015

Jacques Monory (1924-2018)

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Jacques Monory (1924-2018)
For all that we see or seem is a dream within a dream, 1967
huile sur toile,  (125x172 cm)
 Musée d'Art Contemporain de Marseille.


L'artiste français Jacques Monory est connu pour  être l'un des principaux représentants du mouvement de la figuration narrative qui, au milieu des années 1960, s'est opposé à la peinture abstraite avec, notamment, les peintres Hervé Télémaque, Erró, Bernard Rancillac, Peter Klasen, Eduardo Arroyo, Valerio Adami. Préoccupé la réalité quotidienne et notamment sa violence,  les tableaux de Monory suggèrent des atmosphères lourdes et menaçantes. Les thèmes sont développés à travers des séries et les images qu'il utilise sont directement issues de la société contemporaine. Des emprunts photographiques et cinématographiques, le recours à la monochromie, la froideur de la touche et de la composition caractérisent un style singulier et engagé dans la représentation, et baignent souvent dans un camaïeu de bleu.
Jacques Monory est  mort le 17 octobre 2018

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2015 - Men Portraits  (mis à jour le 20 octobre 2018)
Un blog de Francis Rousseau


mercredi 18 novembre 2015

Bernard Buffet (1928-1999)



Bernard Buffet (1928-1999)
Homme au cabinet (1947)
Fond de Dotation Bernard Buffet

mardi 17 novembre 2015

Auguste-Hyacinthe Debay (1804-1865)




Auguste-Hyacinthe Debay (1804-1865) 
Portait d'Augustin Dumont
Musée des Beaux Arts de Nantes,  France 

dimanche 15 novembre 2015

Sculpture antique - Les deux coureurs


Sculpture antique
I due corridori (Les deux coureurs)
Villa dei Papiri di Ercolano
Museo Archeologico di Napoli.

vendredi 6 novembre 2015

Henri Fantin Latour (1836-1904)


Henri Fantin Latour (1836-1904)
Portait d' Edouard Manet (1867)
Art Institute Chicago 

Museum notice  
Edouard Manet was at the peak of his notoriety when the young Henri Fantin-Latour exhibited this portrait at the Salon of 1867. Manet himself chose not to submit any work that year, having had his submission rejected by the 1866 Salon jury. In this commanding image of the great French artist, Fantin portrayed Manet not as a painter, but as a flaneur, a sophisticated man-about-town whose eyes are open to every nuance of modern life. The background of the painting is almost completely blank, both in homage to works by Manet and in emulation of photographic portraits of the period.
In 1867, having been regularly rejected by the official Salon, Édouard Manet decided to present a private exhibition of 56 of his works in an independent pavilion close to the Exposition Universelle in Paris. Henri Fantin-Latour’s decision to submit this portrait of his friend—signed “To my friend Manet”—to the Salon that year may have been calculated to play off Manet’s increasing notoriety. A critic admitted that it was hard to reconcile the elegant figure in the portrait with the long-haired bohemian he had imagined Manet to be.

samedi 31 octobre 2015

Jacques Réattu (1760-1833) - Etude de nu


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Jacques Réattu (1760-1833)
Etude de nu
Musée Réattu, Arles.

Le peintre français Jacques Réattu fut grand prix de l'Académie royale de peinture et sculpture en 1790. Dès 1775, il entra à l'Académie royale de peinture et de sculpture, il est d'abord l'élève de Simon Julien (Toulon 1735 - Paris 1800) puis de Jean-Baptiste Regnault.
Son grand prix en 1790 lui ouvre les portes d'un séjour en Italie en tant que pensionné du Roi, année où le concours fut tout de même ouvert malgré les évènements révolutionnaires. Le contexte politique ne lui permet pas de séjourner comme prévu quatre années dans la capitale pontificale. Ce séjour sera néanmoins l'occasion pour Jacques Réattu de réaliser une œuvre majeure, Prométhée protégé par Minerve et élevé au Ciel par le Génie de la Liberté, dérobe le feu, première œuvre à discours révolutionnaire de l'artiste. De retour en France en 1793, il séjourne d'abord à Marseille où il obtient en 1795 la commande pour le décor du Temple de la Raison de dix tableaux monumentaux peints en grisaille à l’imitation de bas reliefs illustrant les idéaux révolutionnaires. En 1798, il revient définitivement en Arles où il acquiert la commanderie de Saliers puis la totalité des lots du Grand Prieuré de l'Ordre de Malte dont les biens furent confisqués et vendus dès 1793.
 C'est là qu'il installe son atelier et que se trouve aujourd'hui le musée Réattu qui abrite une grande partie de son oeuvre.

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mercredi 28 octobre 2015

dimanche 18 octobre 2015

mercredi 14 octobre 2015

Gustave Caillebotte (1848-1894) - Homme au bain

Gustave Caillebotte (1848-1894) Homme au bain, 1866 Huile sur toile, 144,8 cm x114, 3 cm Museum of Fine Arts Boston


Gustave Caillebotte (1848-1894)
Homme au bain, 1866
Huile sur toile, 144,8 cm x114, 3 cm
Museum of Fine Arts Boston

Cette toile a été peinte  en 1884 et exposée en 1888 à Bruxelles à l'« exposition des Vingt », mais les organisateurs, à cause du traitement trop vériste du sujet, décident de ne pas la montrer au simple public, mais aux experts, dans une autre salle. Après la mort en 1894 de l'artiste, la toile est en possession de la famille de son frère Martial, dont les descendants, la famille Chardeau, la vendent en 1967 à la galerie Lorenceau de Paris. Elle est revendue la même année au collectionneur Samuel Josefowitz1 (demeurant à Lausanne). Elle est achetée en juin 2011 par le Musée des beaux-arts de Boston où elle est toujours visible.
Ce tableau est le pendant de L'Homme s'essuyant la jambe (1884) beaucoup moins connu,  figurant le même homme dans la même salle de bains avec sa baignoire en cuivre et sa chaise paillée.

Sculpture antique - Hercule Farnèse


Sculpture antique
Hercule Farnèse 
Musée archéologique national de Naples.

Sandro Boticelli (1445-1510)- Saint Jean-Baptiste



Sandro Boticelli (1445-1510)
Saint Jean-Baptiste
Détail de la Madone Bardi (1485)
Gemäldegalerie, Berlin

Le style de Botticelli connait plusieurs évolutions au fil du temps, mais conserve certains traits fondamentaux qui le rendent encore reconnaissable aujourd'hui, même pour le vaste public. Les apports fondamentaux de sa formation artistique sont essentiellement ceux de Filippo Lippi, Andrea del Verrocchio et Antonio del Pollaiolo.
De Lippi, son premier véritable maître, il apprend à peindre des visages élégants et une beauté idéale raréfiée, le goût pour la prédominance du dessin et du contour, des formes lâches, des couleurs délicatement assorties, la chaleur domestique des figures sacrées. De Pollaiolo, il a acquiert un dessin à la ligne dynamique et énergique, la capacité de construire des formes expressives et vivantes grâce à la force du contour et du mouvement. De Verrocchio, il apprend à peindre des formes solennelles et monumentales, fusionnées avec l'atmosphère grâce aux beaux effets de lumière, et dotées d'effets de matière dans le rendu des différents matériaux.
De la synthèse de ces enseignements, Botticelli puise l'expression originale et autonome de son propre style, caractérisé par la physionomie particulière des personnages, à la beauté intemporelle subtilement voilée de mélancolie, par un grand intérêt réservé à la figure humaine par rapport aux arrière-plans et à l'environnement, et à la linéarité qui modifie parfois les formes selon le sentiment recherché (« expressionnisme »), ce dernier point étant remarquable surtout dans la phase tardive de son activité.
De temps en temps, selon les sujets et la période, des composantes linéaires ou coloristes, ou enfin expressionnistes, prévalent.
Dans sa dernière production, le dilemme s'est posé dans le contraste entre le monde de la culture humaniste, avec ses composantes courtoises et paganisées, et celui de la rigueur ascétique et réformatrice de Savonarole, qui conduit l'artiste à repenser et à une crise mystique qui se lit même dans ses œuvres. Les sujets deviennent de plus en plus introspectifs, presque exclusivement religieux ; les scènes sont plus irréelles, avec la renaissance consciente d'archaïsmes tels que le fond d'or ou une perspective signifiante. Dans cette crise, cependant, il y a aussi le germe de la rupture de l'idéal de la rationalité géométrique du début de la Renaissance au profit d'une disposition plus libre des sujets dans l'espace qui prélude à la sensibilité du xvie siècle.

Sculpture antique - Kouros de Mozia

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Kouros di Mozia ou le  Mozia Charioteer  ou l'Ephèbe de Mozia 
Marsala (Sicily)
Marble (500 b.c)
The Whitaker of Mozia, Marsala

 Le Kouros de Mozia connu sous les appellations aussi diverses  que Mozia Charioteer  ou l'Ephèbe de Mozia  ou Il Giovane ou Giovinetto di Mozia est une statue en marbre réalisée entre environ 450 à 440 av . J.-C. , et conservée au musée Whithaker de Mozia (Marsala), dans la province de Trapani.
La statue représente un homme drapé (un éphèbe) au déhanchement  très prononcé,  dont on a estimé qu'il pouvait être un conducteur de char, d'lautres hypothèses suggèrant qu’il pourrait s'agir d' un dieu (Mlkart / Ercole ) ou  d'un magicien punique (suffète) à en juger par la position de ses bras (déjà perdus au moment de sa découverte). Son  bras droit est levé (peut-être pour tenir un fouet  et son  bras gauche  est posé sur la hanche,  sur laquelle l'on peut voit toujours voir les restes de sa main.

La  statue  aurait probablement été amenée sur l'île de Mozia par les Carthaginois après le limogeage de Sélinonte en 409 av.
Il a été découvert le 26 octobre 1979 lors d’une série de fouilles archéologiques de l’Université de Palerme commencées en 1977.
Le Kouros de Mozia, enterré dans une gangue de boue argileuse, a été mis au jour lors de la campagne de fouilles de 1979. Il avait été enterré pendant des siècles sous un flot d'argile et de marma délibérément placé là , selon les experts,  par les Moziesi même.  La statue a été trouvée à l'intérieur de la gangue de boue,  placé dans une zone inhabitée de l'île, au cours de la dernière période historique de Mozia. D'autres objets de l'époque classique y ont été trouvés, y compris plusieurs pointes de flèche. La statue a été trouvée avec la tête détachée de la nuque, le visage défiguré et les bras et les pieds manquants.
La hauteur est de 1,81 mètre, sans les extrémités inférieures, manquantes.

En 1988, elle a été exposée à Venise, au Palazzo Grassi , pour l'exposition "I Fenici".
En 2012, la statue était aux Jeux olympiques de Londres, exposée au British Museum de Londres, puis au Getty Museum de Los Angeles. 
Le 18 janvier 2014, la statue a été ramenée à son emplacement d'origine à Mozia.

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Gervasio Gatti (1550-1631) - Man in Armor 1590




Gervasio Gatti (1550-1631)
Man in Armor 1590 
Blanton Museum of arts, Austin Texas

lundi 12 octobre 2015

Raphaël /Rafaello Sanzio (1443-1520)



Raphaël /Rafaello Sanzio (1443-1520)
Doppio ritratto realizzato da  Rafaello (1518)
 Musée du Louvre, Paris.

Sculpture antique- Hercule Farnese


Sculpture antique
Hercule Farnese
(Détail) 
Dans sa main droite dans son dos, Hercule tient les pommes du jardin des Hespérides, 
qu'il vient juste de cueillir  
Musée archéologique national de Naples.


Piero della Francesca (1412-1492) - Deux anges portant des bijoux



Piero della Francesca (1412-1492)
Deux anges portant des bijoux
Détail de la "Madone à l'enfant priant les saints avec Federico da Montefeltro " (1472)
Pinacoteca di Brera, Milano


 Piero della Francesca, de son nom complet Piero di Benedetto de Franceschi ou encore Pietro Borghese, est un artiste peintre et un mathématicien biturgens du Quattrocento. Il est vu surtout comme un peintre, mais à son époque il était aussi connu comme géomètre et mathématicien, maître de la perspective et de la géométrie euclidienne. Figure majeure de la Renaissance italienne, Piero fait partie de la deuxième génération des peintres-humanistes. Sa peinture imprégnée de son goût pour la géométrie propose une iconographie à la confluence de questions théologiques, philosophiques et d'actualité. Son travail s'inspire de la perspective géométrique inventée par Brunelleschi et théorisée par Alberti, la plasticité de Masaccio, la lumière intense qui éclaire les ombres et sature les couleurs de Fra Angelico et Domenico Veneziano et la description précise et réaliste flamande de Rogier van der Weyden. Les autres clés de son expression poétique sont la simplification géométrique des volumes, l'immobilité des gestes cérémoniaux, et l'attention à la vérité humaine.
Son activité peut être considérée comme un processus qui va de la pratique de la peinture aux mathématiques. Sa production artistique est considérée comme une recherche rigoureuse de la perspective, de la monumentalité plastique des personnages, de l'utilisation expressive de la lumière. Il est profondément influencé par la peinture de la Renaissance au Nord de l'Italie, notamment par les écoles de Ferrare et de Venise.

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Baccio Bandinelli (1493-1560)- Hercules & Cacus



Baccio Bandinelli (1493-1560)
Hercules & Caccus (back)
Piazza della Signoria (Firenze)

Carlo Baldassare Simelli (1811-1877)


Carlo Baldassare Simelli (1811-1877)
Pifferari (vers 1858)
(Epreuve sur papier albuminé)

Sculpture antique- Menelas


Sculpture antique
Menelas

Emile Friant (1863-1932)



Emile Friant (1863-1932)
Autoportrait à 15 ans

Émile Friant naît à Dieuze en Moselle dans une famille modeste. Son père est serrurier et sa mère couturière. Une cliente de cette dernière, madame Parisot, s’intéresse au jeune Émile et lui permettra par la suite de poursuivre ses études.
A la suite de la guerre franco-prussienne de 1870, une partie du territoire français est annexée par l’Allemagne (« l’Alsace-Lorraine »). Dieuze se situant dans les territoires annexés, la famille se réfugie à Nancy, restée française. 
De 1874 à 1879, Émile Friant fréquente l’école des Beaux-arts de Nancy. Son professeur, Théodore Devilly (1818-1886) est un peintre du courant romantique, ami d’Eugène Delacroix (1798-1863), le chef de file du mouvement. Friant rencontre à l’école Victor Prouvé (1858-1943) et Camille Martin (1861-1898), deux peintres nancéiens avec lesquels il se lie d’amitié. 
Friant est aussi un grand sportif qui pratique l’escrime, la marche et le canotage.
Friant n’a que 15 ans lorsqu’il expose pour la première fois au Salon de Nancy. Ses œuvres sont immédiatement remarquées. Un critique du Progrès de l’Est relève la précocité de son talent :

« Être déjà soi-même quand on est encore élève, voir la nature d’une façon originale quand on quitte à peine les bancs est le meilleur des pronostics. [...] ».


Francis Frith (1822-1898)




Francis Frith (1822-1898) 
L'Egypte à la chambre

Pierre Subleyras (1699-1749)



Pierre Subleyras (1699-1749) 

Charon passant les ombres (1735-40)
 Musée du Louvre, Paris 

Diego Velasquez (1599-1660) - L'Apôtre saint Thomas

Diego Velásquez (1599-1660)  L'Apôtre saint Thomas, vers 1619-20.  Musée des beaux-arts d'Orléans.


Diego Velásquez (1599-1660) 
L'Apôtre saint Thomas, vers 1619-20. 
Musée des beaux-arts d'Orléans.



Diego Rodríguez de Silva y Velázquez, dit Diego Velázquez, ou Diego Vélasquez en français, est un peintre baroque espagnol, considéré comme l'un des principaux représentants de la peinture espagnole et l'un des maîtres de la peinture universelle. Il passa ses premières années à Séville, où il développa un style naturaliste à base de clairs-obscurs. À 24 ans, il s'installa à Madrid, où il fut nommé peintre du roi Philippe IV et, quatre ans après, il devint peintre de la Chambre du roi, charge la plus importante parmi les peintres royaux. Comme artiste de ce rang, il réalisa essentiellement des portraits du roi, de sa famille et des Grands d’Espagne ainsi que des toiles destinées à décorer les appartements royaux. Comme surintendant des travaux royaux, il acquit en Italie de nombreuses œuvres pour les collections royales, des sculptures antiques et des tableaux de maître, et organisa les déplacements du roi d'Espagne. Sa présence à la cour lui permit d'étudier les collections de peintures royales. L'étude de ces collections ajoutée à l'étude des peintres italiens lors de son premier voyage en Italie, eut une influence déterminante sur l'évolution de son style, caractérisé par une grande luminosité et des coups de pinceau rapides. À partir de 1631, il atteignit sa maturité artistique et peignit de grandes œuvres comme la Reddition de Bréda. Pendant les dix dernières années de sa vie, son style se fit plus schématique, arrivant à une domination notable de la lumière. Cette période commença avec le Portrait du pape Innocent Xpeint lors de son second voyage en Italie, et vit la naissance de deux de ses œuvres maîtresses : Les Ménines et les Fileuses. Son catalogue contient de 120 à 125 œuvres peintes et dessinées. Célèbre bien après sa mort, la réputation de Vélasquez atteignit un sommet de 1880 à 1920, période qui coïncide avec les peintres impressionnistes français pour qui il fut une référence. Manet fut émerveillé par sa peinture et il qualifia Vélasquez de « peintre des peintres » puis du « plus grand peintre qui eût jamais existé ». La majeure partie de ses toiles, qui faisaient partie de la collection royale, est conservée au musée du Prado à Madrid. 
 
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