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vendredi 10 janvier 2020

Auguste Rodin (1840-1917) - L'irréparable

 


Auguste Rodin (1840-1917)
L'irréparable 
Plume ; lavis d'encre (brune) ; rehaut-gouache sur papier Japon, 1887-88
Collection privée 
 
 
Auguste Rodin a créé quelques 10.000 dessins parmi lesquels plus de 7000 sont conservés au musée Rodin. Il est très rare que le dessin serve d'étude, de projet pour une sculpture ou un monument. L'œuvre du dessinateur se développe parallèlement à celle du sculpteur. Si, pour des raisons de conservation, les œuvres sur papier ne peuvent être montrées que très ponctuellement, elles ne sont pas pour autant une part mineure de l’art de Rodin, qui affirme à la fin de sa vie : « C’est bien simple, mes dessins sont la clef de mon œuvre » (Benjamin, 1910).

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vendredi 19 mai 2017

Auguste Rodin (1840-1917)


Auguste Rodin (1840-1917)  
Orphée (1890)
 Crayon au graphite, plume  encre, lavis d'encre
Musée Rodin, Paris 


lundi 17 juillet 2017

Auguste Rodin (1840-1917)



Auguste Rodin (1840-1917)
Homme debout tenant un tambour Sanguine lavis d'encre 1870,
Musée Rodin, Paris

jeudi 16 novembre 2017

Auguste Rodin (1840-1917)


Auguste Rodin (1840-1917)
Académie d'homme barbu  1854  Fusain estompé
Musée Rodin, Paris  

dimanche 8 octobre 2017

lundi 26 décembre 2022

Anna Bilińska-Bohdanowicz (1854-1893) Le sculpteur George Grey Barnard dans son atelier


Anna Bilińska-Bohdanowicz (1854-1893) Le sculpteur George Grey Barnard dans son atelier 1890. Huile sur toile, 148 x 96 cm State Museum of Pennsylvania, Harrisburg


Anna Bilińska-Bohdanowicz (1854-1893)
Le sculpteur George Grey Barnard dans son atelier 1890.
Huile sur toile, 148 x 96 cm
State Museum of Pennsylvania, Harrisburg


Anna Bilińska-Bohdanowicz,  est une artiste peintre polonaise née en Ukraine (alors située  dans l' Empire russe) où son père pratiquait la médecine dans la région de Kiev. Michał Elwiro Andriolli lui donne ses premières leçons de dessin à Viatka. Déménageant avec sa famille à Varsovie, elle ne peut s'inscrire dans une académie des beaux-arts, les établissements étant réservés aux hommes, mais étudie le piano entre 1875 et 1877 au conservatoire de la ville. À vingt ans, elle reprend cependant son apprentissage de la peinture dans une école privée, avec comme professeur Wojciech Gerson. En 1882, elle voyage en Europe et s'installe à Paris. Elle peut alors étudier à l'Académie Julian, comme Marie Bashkirtseff et plusieurs artistes femmes, et y reçoit l'enseignement de Tony Robert-Fleury et William Bouguereau. Elle expose et remporte plusieurs prix4. Elle habite rue de Fleurus (Paris) jusqu'à son mariage, en 1892, où elle épouse Antoni Bohdanowicz. Le couple retourne à Varsovie, où Anna Bilińska-Bohdanowicz, de santé fragile, rêvait d'ouvrir une école d'art réservée aux femmes, mais elle meurt peu de temps après, d'une crise cardiaque, le 18 avril 1893.


George Grey Barnard (1863 - 1938) est un sculpteur et collectionneur américain. Il fait ses études à l'Art Institute of Chicago puis travaille dans l'atelier parisien de Jules Cavelier (1883-1887) tout en fréquentant l'école des beaux-arts. Il séjourne à Paris pendant douze ans. Après avoir connu le succès au Salon de 1894, où il expose six sculptures, il retourne aux États-Unis en 1896 et s'installe à New York. L'influence du sculpteur français Auguste Rodin est perceptible dans ses premiers travaux. Il travaille dans son atelier de Moret-sur-Loing (situé 4, rue des Fossés) de 1903 à 1911. En 1912, il achève une série de sculptures pour le nouveau capitole d'Harrisburg en Pennsylvanie. The Great God Pan, réalisé juste après son retour de France, est au départ prévu pour orner le Dakota Building sur Central Park West. Alfred Corning Clark, constructeur du Dakota, a financé ses débuts ; lorsque Clark meurt en 1896, sa famille fait cadeau au MET de la statue Two Natures en sa mémoire et le bronze géant Pan est offert à l'université Columbia par le fils de Clark, Edward Severin Clark, en 1907. Barnard meurt d'une crise cardiaque le 24 avril 1938 au Harkness Pavilion du Centre médical de l'université Columbia à New York. Il est alors en train de travailler sur une statue d'Abel, trahi par son frère Caïn, lorsqu'il tombe malade.
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lundi 3 décembre 2018

Pierre Puvis de Chavannes (1824-1898) - Deux hommes nus debout



Pierre Puvis de Chavannes (1824-1898)
Deux hommes nus debout écoutant un homme nu assis
Musée d'Orsay, Paris 


Le peintre français Pierre Cécile Puvis de Chavannes est considéré comme un précurseur du symbolisme et est une figure majeure de la peinture française du 19e siècle.
Ses débuts au Salon sont difficiles. Il est plusieurs fois refusé et quand enfin il expose, il est sévèrement critiqué. Puis, en 1861, il remporte un premier succès avec La Guerre et La Paix.
La première est achetée par l'État français. Puvis offre la seconde, complétée en 1863 par Le Repos et Le Travail, et en 1865 par Ave Picardie nutrix, puis quinze ans plus tard par Ludus pro Patria. Ce décor exceptionnel sur le plan thématique et stylistique est représentatif du traitement novateur que Puvis apporte au genre allégorique dont il devient à la fin du 19e siècle le plus brillant représentant. Ces œuvres sont conservées au Musée de Picardie d'Amiens.
À son petit atelier de Pigalle, il ajoute rapidement un plus grand, à Neuilly. Il vit avenue de Villiers, auprès de la princesse roumaine Marie Cantacuzène (1820-1898), qu'il rencontre en 1856, sans doute dans l'atelier du peintre Théodore Chassériau dont elle est l'amie. Elle a une influence considérable sur lui, devenant sa compagne, sa collaboratrice, son inspiratrice. Il en fait en 1883 un portrait, aujourd'hui visible au Musée des beaux-arts de Lyon. Elle lui sert également de modèle pour la Salomé de la Décollation de Saint-Jean-Baptiste, pour Radegonde de l'hôtel de ville de Poitiers, et pour la Sainte-Geneviève du Panthéon de Paris.
Puvis de Chavannes réalise de grands décors muraux : au palais Longchamp à Marseille (1867-1869), à l'hôtel de ville de Poitiers (1870-1875), à l'hôtel de ville de Paris (1887-1894), à la bibliothèque publique de Boston (1881-1896). À ceux-ci s'ajoutent trois ensembles exceptionnels, celui du Panthéon de Paris, où il traite de la vie de Sainte Geneviève (1874-1878) et (1893-1898) ; le décor de l'escalier du musée des beaux-arts de Lyon (1884-1886) avec le Bois sacré cher aux Arts et aux Muses complété par Vision antique, Inspiration chrétienne et deux figures représentant le Rhône et la Saône ; et enfin le grand décor de l'amphithéâtre de la Sorbonne à Paris (1886-1889), qui développe le thème du Bois sacré. Chacun de ces décors donne lieu à des études, copies, répliques, cartons préparatoires qui popularisent l'œuvre de Puvis en particulier à l'étranger.
Par cette œuvre décorative immense, mais aussi avec des tableaux de chevalet d'un symbolisme novateur, il conquiert l'admiration d'une génération entière, influençant non seulement les idéalistes tels qu'Odilon Redon, Henri Martin, Alphonse Osbert, Alexandre Séon, Émile-René Ménard ou Ary Renan, mais aussi les nabis, Paul Gauguin, Georges Seurat, Maurice Denis, jusqu'au jeune Pablo Picasso dont nombre d'œuvres de jeunesse lui sont redevables.
En 1890, il refonde avec Jean-Louis-Ernest Meissonier, Carolus-Duran, Félix Bracquemond, Jules Dalou et Auguste Rodin la Société nationale des beaux-arts, dont il est successivement vice-président et président, à la suite de la mort de Jean-Louis-Ernest Meissonier.
Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1867, officier en 1877, puis commandeur en 1889. Il obtint la médaille d'honneur en 1882.

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lundi 17 avril 2017

Pierre Puvis de Chavannes (1824-1898) - Deux faucheurs assis sur le sol



Pierre Puvis de Chavannes (1824-1898)
Deux faucheurs assis sur le sol
Musée d'Orsay, Paris


Le peintre français Pierre Cécile Puvis de Chavannes est considéré comme un précurseur du symbolisme et est une figure majeure de la peinture française du 19e siècle.

Ses débuts au Salon sont difficiles. Il est plusieurs fois refusé et quand enfin il expose, il est sévèrement critiqué. Puis, en 1861, il remporte un premier succès avec La Guerre et La Paix.
La première est achetée par l'État français. Puvis offre la seconde, complétée en 1863 par Le Repos et Le Travail, et en 1865 par Ave Picardie nutrix, puis quinze ans plus tard par Ludus pro Patria. Ce décor exceptionnel sur le plan thématique et stylistique est représentatif du traitement novateur que Puvis apporte au genre allégorique dont il devient à la fin du 19e siècle le plus brillant représentant. Ces œuvres sont conservées au Musée de Picardie d'Amiens.
À son petit atelier de Pigalle, il ajoute rapidement un plus grand, à Neuilly. Il vit avenue de Villiers, auprès de la princesse roumaine Marie Cantacuzène (1820-1898), qu'il rencontre en 1856, sans doute dans l'atelier du peintre Théodore Chassériau dont elle est l'amie. Elle a une influence considérable sur lui, devenant sa compagne, sa collaboratrice, son inspiratrice. Il en fait en 1883 un portrait, aujourd'hui visible au Musée des beaux-arts de Lyon. Elle lui sert également de modèle pour la Salomé de la Décollation de Saint-Jean-Baptiste, pour Radegonde de l'hôtel de ville de Poitiers, et pour la Sainte-Geneviève du Panthéon de Paris.
Puvis de Chavannes réalise de grands décors muraux : au palais Longchamp à Marseille (1867-1869), à l'hôtel de ville de Poitiers (1870-1875), à l'hôtel de ville de Paris (1887-1894), à la bibliothèque publique de Boston (1881-1896). À ceux-ci s'ajoutent trois ensembles exceptionnels, celui du Panthéon de Paris, où il traite de la vie de Sainte Geneviève (1874-1878) et (1893-1898) ; le décor de l'escalier du musée des beaux-arts de Lyon (1884-1886) avec le Bois sacré cher aux Arts et aux Muses complété par Vision antique, Inspiration chrétienne et deux figures représentant le Rhône et la Saône ; et enfin le grand décor de l'amphithéâtre de la Sorbonne à Paris (1886-1889), qui développe le thème du Bois sacré. Chacun de ces décors donne lieu à des études, copies, répliques, cartons préparatoires qui popularisent l'œuvre de Puvis en particulier à l'étranger.
Par cette œuvre décorative immense, mais aussi avec des tableaux de chevalet d'un symbolisme novateur, il conquiert l'admiration d'une génération entière, influençant non seulement les idéalistes tels qu'Odilon Redon, Henri Martin, Alphonse Osbert, Alexandre Séon, Émile-René Ménard ou Ary Renan, mais aussi les nabis, Paul Gauguin, Georges Seurat, Maurice Denis, jusqu'au jeune Pablo Picasso dont nombre d'œuvres de jeunesse lui sont redevables.
En 1890, il refonde avec Jean-Louis-Ernest Meissonier, Carolus-Duran, Félix Bracquemond, Jules Dalou et Auguste Rodin la Société nationale des beaux-arts, dont il est successivement vice-président et président, à la suite de la mort de Jean-Louis-Ernest Meissonier.
Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1867, officier en 1877, puis commandeur en 1889. Il obtint la médaille d'honneur en 1882.



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jeudi 30 janvier 2020

Édouard Manet (1832-1883) - Antonin Proust


 

Édouard Manet (1832-1883) 
Antonin Proust (1855-56)  
Huile sur toile, 56 x 45 cm. 
Narodni Galerie, Prague 

Antonin Proust (1832-1905) fut un journaliste et homme politique français, artiste, critique d'art, collectionneur, commissaire d'expositions, connu pour avoir été le premier « ministre de la Culture » de la République, en qualité d'éphémère Ministre des Arts - fonction créée par Léon Gambetta.
En 1882, Proust fonda l'École du Louvre. Auguste Rodin fit son buste (bronze) en 1884. Le portrait ci-dessus date de sa jeunesse, de l'époque où son camarade d'enfance Édouard Manet, qu'il a connu au collège Rollin, li fit entrer avec lui dans l'atelier de Thomas Couture, où il rencontra notamment Puvis de Chavanne, pour entamer une carrière de peintre. Carriere qu'il abandonna assez rapidement pour se diriger vers le journalisme.

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