google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 PORTRAITS MASCULINS : décembre 2016

samedi 31 décembre 2016

Thomas Eakins (1844-1916) - Salutation

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Thomas Eakins (1844-1916)
Salutation

Thomas Cowperthwaite Eakins est un peintre, sculpteur et photographe américain, associé au courant moderniste du réalisme américain. Admis à l'École des beaux-arts de Paris dans les ateliers de Jean-Léon Gérôme, puis de Léon Bonnat de 1866 à 1868, il séjourne ensuite quelque temps à Pont-Aven à l'instigation de Robert Wylie. Il voyage ensuite en Espagne avant de retourner aux États-Unis où il commence une brillante carrière de peintre réaliste et se spécialise dans la peinture des sportifs (boxeurs, lutteurs, rameurs, joueurs de base ball... ). Amoureux de la vérité optique, il s'intéresse aussi à la photographie. En 1882, il devient professeur à l'académie des beaux-arts de Pennsylvanie, une école d'art avant-gardiste où l'on enseigne notamment la photographie. En 1886, il perd son poste de professeur à l'académie pour avoir admis un public féminin lors d'un cours d'anatomie d'après modèle masculin... 

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jeudi 29 décembre 2016

Winslow Homer (1836-1910) - The fog Warning


 Winslow Homer (1836-1910)
 The fog Warning 1885 
Barbara and Theodore Alfond Gallery

Le peintre américain Winslow Homer (1836-1910)  est  surtout connu aujourd'hui  pour ses marines. Bien qu'en  grande partie autodidacte, il est considéré comme étant l'un des  peintres majeurs du 19e siècle américain et l'une des figures principales du réalisme américain.
Né à Boston, il entre d'abord dans un atelier de lithographie de sa ville natale en tant qu'apprenti. C'est en 1859 qu'il commence sa carrière de peintre à New York, en ouvrant son premier studio. Durant la guerre de Sécession, il travaille comme illustrateur pour le Harper's Weekly, et réalise de nombreux dessins de batailles et scènes de guerre, croqués sur le vif, alors qu'il suit les armées nordistes.
Il se rend en voyage en France en 1867 et rencontre les peintres de l'Ecole de Barbizon  par lesquels il est influencé. De retour en Amérique, il peint, surtout dans les années 1870, des paysages ruraux et des scènes idylliques de la vie campagnarde.
 Il passe ensuite deux années de sa vie dans le nord de l'Angleterre (1881-1882).
Il peint de nombreuses marines. Le critique d'art Françoise Dargent écrivit à propos de ses tableaux : « C'est comme si on invitait l'océan dans son salon. »  Dans Key West, Hauling Anchor (1903), par exemple, le sujet est l'appareillage d'une goélette aurique à Key West, en Floride. Le rendu des couleurs somptueuses (ciel et mer) et l'exactitude des détails techniques, dont le petit key et ses cocotiers à l'horizon, sont des traits distinctifs de l'art du peintre.
Son œuvre pleine de vigueur et de réalisme utilise principalement deux techniques : l'huile et l'aquarelle. Dans ses portraits, il peint aussi souvent et surtout des enfants insouciants.
Il est enterré dans le cimetière de Mount Auburn, à Cambridge au Massachusetts

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mardi 27 décembre 2016

Titien (1488-1576)


Titien (1488-1576) 
 Ranuccio Farnese en 1542
National Gallery of Art , Washington

samedi 24 décembre 2016

Giovanni Battista Moroni (1520-1579) - Portrait of a Soldier


Giovanni Battista Moroni  (1520-1579)
Portrait of a Soldier 1555-59
 Museo del Prado, Madrid

 Entre le années 1550 et 1562, Moroni est le portraitiste à la mode de la bonne société de Bergame. C'est l 'époque où il rencontra Titien, le plus grand portraitiste de son temps. Les portraits du Titien montrent des personnages qui appartiennent aux plus hautes sphères du pouvoir. Ceux de Moroni,  très précis dans l'aspect physique et l'attitude psychologique, invitent au dialogue avec des êtres davantage plongés dans leurs occupations quotidiennesA partir des années 1560-1579, Moroni se retire dans son bourg natal d'Albino. Il adopte alors un style plus sévère, une palette plus austère aux « habits noirs, mines contrites, attitudes pieuses ». Il est le fondateur de ce que l'on nommait alors " la peinture de la réalité " qui a marqué les arts plastiques de Bergame et de Brescia jusqu'au XVIIIe siècle.

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mercredi 21 décembre 2016

mardi 20 décembre 2016

Emile Friant (1863-1932)



Emile Friant (1863-1932)  
 La peine capitale, 1908
 Art Gallery of Hamilton, Ontario

Notice de Art Gallery of Hamilton, Ontario concernant ce tableau :   
Louise d’Argencourt voit très justement un autoportrait dans le visage du comdamné. (dans Ciel et terre dévoilés. trésors européens de la collection Tanenbaum, cat. expo., Hamilton, Art Gallery, 2005, p.239) Dès lors, l’oeuvre prend une autre dimension, transposition naturaliste et crypto-anarchiste des mythes d’Orphée et d’Apollon tels que les ont traités les symbolistes. (Dominique Lobstein, responsable de la bibliothèque du musée d’Orsay)

Lorsque ce tableau de Friant fut présenté à partir du 15 Avril 1908 sur les cimaises du Salon de la Société nationale des Beaux-Arts, il s’inscrivait dans le contexte particulier d’un combat et d’un débat qui agitaient l’opinion depuis deux ans.
Le monde politique français fut dominé à partir des élections de 1906 par les radicaux de gauche. Armand Fallières était président de la République et Georges Clémenceau, président du Conseil ; ils furent soucieux d’appliquer le programme dit de « Belleville » qui prévoyait, depuis 1869, des réformes profondes en matière de justice et de liberté. Tous deux étaient opposés à la peine capitale – Fallières gracia tous les condamnés à mort durant son mandat – et leur projet prenait forme lorsque, au début de 1907, Albert Soleilland viola et tua une fillette. 
La presse s’empara de la tragédie, et la grâce présidentielle qui fut accordée à celui que les tribunaux avaient condamné à mort le 23 juillet 1907 servit les anti-abolitionnistes. Le Petit Journal, soutenu, par exemple, par le docteur Lacassagne, défenseur acharné du maintient de la guillotine et bientôt auteur d’un Peine de mort et criminalité
L’accroissement de la criminalité et l’application de la peine capitale (Paris, Maloine, 1908), organisa même un référendum entre septembre et novembre et reçut plus de 1 400 000 réponses, dont une large majorité était pour le maintient de la peine capitale. Le congrès radical et radical-socialiste de juillet 1907 ne se sentit pas obligé de suivre ses élus et demanda le maintien de la peine de mort, suggérant simplement que l’exécution ne soit plus publique mais que l’on y procède à l’intérieur des prisons, proposition qui ne fut appliquée qu’après le décret loi du 24 juin 1939 provoqué par le scandale de l’exécution d’Eugène Weidmann, photographiée et filmée par des spectateurs la semaine précédente. Les discussions passionnées qui eurent lieu sur le sujet de la Chambre des députés le 3 et 7 juillet, les 4, 11 et 18 novembre et les 7 et 8 décembre 1908, dont le Journal officiel nous a conservé l’ensemble des interventions et des réactions d’un hémicycle attentif et parfois houleux, n’aboutirent qu’au maintien de l’article 12 du Code pénal, qui datait du 20 mars 1792 et prévoyait la décapitation pour tout crime ne relevant pas du domaine militaire.



dimanche 18 décembre 2016

samedi 17 décembre 2016

Edward Curtis (1868-1952)


Edward Curtis (1868-1952) 
Crow's heart, Mandan. 1908 
Library of Congress, Washington

Edward Sheriff Curtis est un photographe ethnologue américain, l'un des principaux anthropologues sociaux des Amérindiens d'Amérique du Nord — et de l'Ouest américain — laissant trace d'écrits, d'enregistrements sonores des chants indiens et de nombreuses photos sur verre. Ainsi, de manière non exhaustive, il a entrepris l'inventaire photographique d'amérindiens des 80 tribus existantes. Cette population indienne qui était estimée à plus d'un million d'individus au 18e siècle, avait chuté aux alentours de 40 000 lorsqu'il lança son projet.
Entre 1907 et 1930, il mena  une véritable course contre la montre. Parmi les tribus qu'il visita : les Kwakiutl sur la côte pacifique, les Comanches, les Apaches et les Crees, dans leurs tipis caractéristiques, dans les Grandes Prairies et au pied des Rocheuses, les Hopis, les Pueblos et autres habitants du Sud-Ouest, les Gens-du-Sang, les Blackfeet et les Algonquins dans le Montana.
On estime que Curtis traversa les États-Unis environ 125 fois en rendant visite à 80 tribus et que 40 000 clichés furent pris.. Il utilisa également un appareil à cylindre de cire enregistreur d'Edison qui lui permit d'étudier 75 langues et dialectes et d'enregistrer 10 000 chants indiens. 
Une partie de son travail fut publié dans une somme en vingt volumes intitulée : « The North American Indian », comprenant 2 500 photographies, 4 000 pages de textes, alors qu'au total, Curtis réalisa près de 50 000 prises de vue. 
Ce travail fut exposé au festival des Rencontres Photographiques d'Arles (France) en 1973.

vendredi 16 décembre 2016

Sébastien Bourdon (1616-1671) - Homme aux rubans noirs

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Sébastien Bourdon (1616-1671) 
Homme aux rubans noirs, 1657
Musée Fabre, Montpellier

L’Homme aux rubans noirs  du peintre protestant Sébastien Bourdon, a longtemps été regardé comme l’une de ses  œuvres les plus célèbres et - à ce titre, fut maintes fois reproduite.
Considéré, aussi à tort, comme un portrait de Molière, ce portrait  représente un  jeune homme  sans vraie beauté, à l’élégance peu ostentatoire,  sérieux, plus rêveur que triste, le corps noyé  dans un bouillonnement d’étoffes blanches s’échappant des crevés et  dominé par un visage immobile et un regard fixe. On a l'impression que  le tableau ne cherche pas à attirer le regard :  mais pour peu qu’on s’arrête devant lui, il fascine et ne se laisse plus oublier.
La date du costume et le type physique du modèle semblent confirmer qu’il s’agit bien d’un portrait exécuté  par Sébastien Bourdon à Montpellier lors du séjour de 1657-1658 et que le collectionneur Fabre trouva d'ailleurs dans la ville.  

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jeudi 15 décembre 2016

Thomas Eakins ( 1844-1916) - Thomas Eakins and J. Laurie Wallace at the Shore

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Thomas Eakins ( 1844-1916)
Thomas Eakins and J. Laurie Wallace at the Shore, 1883

Thomas Cowperthwaite Eakins est un peintre, sculpteur et photographe américain, associé au courant moderniste du réalisme américain. Admis à l'École des beaux-arts de Paris dans les ateliers de Jean-Léon Gérôme, puis de Léon Bonnat de 1866 à 1868, il séjourne ensuite quelque temps à Pont-Aven à l'instigation de Robert Wylie. Il voyage ensuite en Espagne avant de retourner aux États-Unis où il commence une brillante carrière de peintre réaliste et se spécialise dans la peinture des sportifs (boxeurs, lutteurs, rameurs, joueurs de base ball... ). Amoureux de la vérité optique, il s'intéresse aussi à la photographie. En 1882, il devient professeur à l'académie des beaux-arts de Pennsylvanie, une école d'art avant-gardiste où l'on enseigne notamment la photographie. En 1886, il perd son poste de professeur à l'académie pour avoir admis un public féminin lors d'un cours d'anatomie d'après modèle masculin... 

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mercredi 14 décembre 2016

mardi 13 décembre 2016

Rosalba Carriera (1675-1757) - Gustavus Hamilton, 2nd Viscount Boyne

Rosalba Carriera (1675-1757)  Gustavus Hamilton, 2nd Viscount Boyne,  1730- 31    The MET

Rosalba Carriera (1675-1757) 
Gustavus Hamilton, 2nd Viscount Boyne,  1730- 31  
 The MET
 
Rosalba Giovanna Carriera, est une peintre vénitienne qui lança la mode du pastel en France lors de son passage à Paris en 1720. Elle fut aussi l’une des premières miniaturistes européennes dès 1698, en décorant des tabatières alors très à la mode, de sujets galants. Sa véritable notoriété naît des portraits au pastel auxquels elle se consacre exclusivement à partir de 1708. Et lorsqu'on regarde ces pastels , on comprends leur succès ! Ses pastels, précédés de croquis à la plume ou à la pierre, furent très largement connus. Le 26 octobre 1720, elle est reçue à l'Académie royale de peinture, sur présentation d'un portrait du roi Louis XV au pastel, confirmée le 9 novembre 1720. "La Rosalba" , comme on l'appelait à Paris ,sa mère et sa sœur Giovanna, descendirent chez Crozat, dont l’hôtel était situé rue de Richelieu. À peine installée, l’artiste, spécialiste de portraits de la noblesse européenne de son époque, fut accablée de visites, et, pour ainsi dire, persécutée par les plus grandes dames et par les principaux seigneurs de la cour : tous voulaient leurs portraits de sa main. Elle fit ceux du jeune roi Louis XV, du Régent, de Mesdames ; de Law, de sa femme et de sa fille, des princesses de Conti, de la duchesse de Clermont... et de beaucoup d’autres. Ses dons séduisent l'Europe entière, de Venise - où vivaient alors la majorité de ses mécènes - à Paris, de Dresde à Londres.
Son activité diminua à partir de 1747, quand elle commença à être atteinte de cécité. ____________________________________________
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samedi 10 décembre 2016

mercredi 7 décembre 2016

Charles M. Russell (1864-1926) - Bronco Buster



Charles M. Russell (1864-1926)
 Bronco Buster, 1915.
 Watercolor on paper. 
Buffalo Bill Center of the West 
(Gift of William E. Weiss)

Le peintre américain Charles Marion Russell  est connu pour être un des plus grands peintres de l'ouest américain, titre qu'il partage avec Frederic Remington.
Né dans une famille extrêmement pauvre, il la quitte à l'âge de 16 ans et se rend dans le Montana afin de travailler dans un ranch où il élève des moutons. Il semblerait que dès l'enfance, l'art ait  tenu pour lui une place très importante, si l'on en juge par les nombreux croquis  sur papier qu'il fit alors pour essayer de reproduire des animaux. Il manifestait un grand intérêt pour l'Ouest sauvage et pouvait passer des heures à lire les récits des explorateurs et des trappeurs qui passaient par le Missouri
Russell a peint plus de 2000 tableaux représentant 
les cow-boys, les Indiens et les paysages du Far West de la fin du 19e siècle.

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mardi 6 décembre 2016

lundi 5 décembre 2016

Baccio Bandinelli (1493–1560) - Studio di nudio combatimento

BACCIO BANDINELLI (1493–1560)  Studio di nudio combatimento, 1512  British Museum

BACCIO BANDINELLI (1493–1560) 
Studio di nudio combatimento, 1512 
British Museum  


Bartolomeo Bandinelli (dit Baccio) était le fils d'un éminent orfèvre florentin dont il devint rapidement le premier apprenti. Dans le domaine de la sculpture, c'est avec Giovanni Francesco Rustici, ami de Leonardo da Vinci qu'il fit ses classes. Parmi ses premières œuvres réalisées par Bandinelli : un Saint Jérôme en cire, commande de Giuliano de Medici. Les Medicis deviennent ses commanditaires principaux sachant mettre à profit la rivalité maladive qui oppose Bandinelli à Michel Ange, les disciples de Michelangelo ne voyant dans les sculptures de Bandinelli qu'emphase et mauvais gout. La jalousie de Bandinelli envers Michel Ange finira par se transformer en haine véritablement pathologique ui occupera une grande partie de sa vie. La postérité et la destinée ont choisi de réconcilier ces deux grands artistes d'une façon assez ironique, sur la Piazza della Signoria de Florence, où le David de Michel Ange fait face depuis plus d'un demi millénaire à l'Hercule de Bandinelli pour le meilleur et ...non plus pour le pire !

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dimanche 4 décembre 2016

François-Dominique Toussaint Louverture (1743-1803)


François Dominique Toussaint Louverture (1743-1803)
 Portrait en pied et en habit de général. Imagerie populaire française  

François-Dominique Toussaint Louverture, à l'origine Toussaint de Breda, né vers 1743 près du Cap-Haпtien (Haïti), mort en captivité le 7 avril 1803 en France dans le département Doubs , est un homme politique français des Antilles d'origine  afro-caribéenne. Descendant d'esclaves noirs, il joue un rôle historique de premier plan en tant que chef de la Révolution haпtienne (1791-1802) et devient une des grandes figures des mouvements anticolonialiste, abolitionniste et d'émancipation des Noirs.
L’historiographie haпtienne ou encore l’œuvre de l’abolitionniste Victor Schœlcher ont en effet érigé Toussaint Louverture en modèle de libérateur de l’oppression. D'autres historiens présentent une vision plus contrastée du personnage, nostalgique d’un Saint-Domingue « perle des Antilles », dans lequel il a grandi et prospérйéet dont l'opposition au système colonial de l’Ancien Régime serait à nuancer. Pourtant, c’est bien la Révolution qui porte cet ancien esclave noir affranchi dans les plus hautes strates du pouvoir militaire puis politique de la colonie française de Saint-Domingue jusqu'à sa chute face à l'armée du général Leclerc envoyée par le Premier consul Bonaparte qui parallèlement, rétablit l'esclavage (1802). Arrкêé et emmené en France, Toussaint Louverture finira ses jours en 1803, incarcéré en isolement au fort de Joux, dans le rude climat du Doubs, sans avoir pu connaître la proclamation d'indépendance d'Haïti le 1e janvier 1804 par son ancien lieutenant Dessalines.

Comme il n'existe pas de portrait attesté du général Toussaint Louverture, toutes les interprétations et meme de nombreux canulars visuels ont été diffusés sur le web. Ainsi le portrait ci dessous qui circule sur le web n'est pas le portrait de Toussaint Louverture : il s'agit d'un canular visuel, d'un montage entre "La tête du jeune noir"  peint par Maurice Quentin  de La Tour en 1741 posée  en la changeant de sens sur le  corps d’un portrait bien connu de La Fayette exécuté par Joseph-Desiré Court (1797-1865) en 1834, (année de la mort du général) à la demande des États Unis et qui se trouve conservé au Château de Versailles. 


          

samedi 3 décembre 2016

vendredi 2 décembre 2016

jeudi 1 décembre 2016

Auguste Baud-Bovy (1848-1899) - Berger consultant la montagne


                                                     Auguste Baud-Bovy (1848-1899)
Berger consultant la montagne,  1886
Chateau de Gruyères, Suisse

L'artiste-peintre  suisse,  Auguste Baud-Bovy fur célèbre pour être un des premiers à peindre en posant  son chevalet sur le motif en montagne et dans la neige.
Elevé au château de Gruyères, demeure devenue familiale la même année, il devient l'élève de Barthélemy Menn, familier du cercle entourant le peintre Daniel Bovy au château. Il délaisse le château en 1885 pour s'installer dans un chalet à Aeschi.
Joris-Karl Huysmans le visite et lui fait part de son angoisse en montagne.
Il a eu deux fils, André-Valentin, peintre et Daniel, écrivain, également conservateur du musée Rath, directeur de l'école des beaux-arts de Genève, président de la Commission fédérale des beaux-arts.
Il a entretenu une correspondance épistolaire avec Eugène Grasset, et visité Gustave Courbet à La Tour-de-Peilz et peint à ses côtés.
Il est le père de Daniel Baud-Bovy et le grand-père de Samuel Baud-Bovy.
Son cousin Maurice Baud (1866-1915), imprimeur, graveur sur bois, illustrateur et collaborateur des "Cahiers vaudois" gravera certains de ses tableaux.

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