google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 google.com, pub-0288379932320714, DIRECT, f08c47fec0942fa0 PORTRAITS MASCULINS : Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
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dimanche 5 février 2023

LES TABLEAUX QUI PARLENT N° 74- Toulouse Lautrec, peintre social ?


 

LES TABLEAUX QUI  PARLENT N° 74- Toulouse Lautrec, peintre social ?

Ceci est un podcast, appuyez sur la flèche pour le lire. 

Polisseur de marbre, 1887
Huile sur toile 101,9 x 86,7 cm
Princeton University Art Museum, New Jersey, USA.

Voilà un métier, celui de polisseur de marbre que la mécanisation des taches industrielles a fait disparaitre presque complètement. Cette tache qui fut rude entre toutes, Henri de Toulouse Lautrec, l'a peinte dans cette toile en 1887, c'est à dire l'année même de la parution de "Germinal" de Zola et douze ans après que Gustave Caillebotte ait lui même peint ses célèbres "Raboteurs de parquets" en 1875, toile considérée comme l'une des premières représentations du prolétariat urbain.... 

Si vous voulez en savoir plus, écoutez ce podcast 

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lundi 4 octobre 2021

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Le joueur de flûte



Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901), Le joueur de flûte, vers 1884 Huile sur toile, 40 x 32,2 cm Collection privée


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Le joueur de flûte, vers 1884
Huile sur toile, 40 x 32,2 cm
Collection privée

Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa et d'Adèle Tapié de Céleyran, Henri de Toulouse-Lautrec est né dans l'une des plus illustres familles nobles de France, qui s'enorgueillissait de descendre en droite ligne des comtes de Toulouse, les plus puissants seigneurs féodaux du royaume jusqu'au XIIIe siècle. Malgré son nom illustre, cette famille vit au XIXe siècle comme une famille de la noblesse plus ou moins aisée de province. Les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d'éviter la division des patrimoines et l'amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d'Henri, cousins au premier degré, c'est à dire issus de germains. Ils eurent deux garçons, Henri, l'aîné et, quatre ans plus tard, son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après. L'incompatibilité d'humeur entre les deux parents entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère. Il grandit entre Albi, le château du Bosc (demeure de ses grands-parents paternels) et le château de Celeyran (demeure de la famille de sa mère) où il a peint quelques magnifiques portraits, très éloignés des peintures de cabarets et de la vie parisienne qui le rendirent célèbre à travers le monde.
Henri de Toulouse-Lautrec a eu, de son propre aveu, une enfance plutôt heureuse, jusqu'au moment où se révèle, en 1874, une maladie qui affecte le développement des os, la pycnodysostose, maladie génétique, due sans doute à la consanguinité de ses parents. Ses os sont fragiles et, le 30 mai 1878, il trébuche et tombe. Le médecin diagnostique le fémur gauche brisé et, en raison de sa maladie, la fracture se réduit mal. Entre mai 1878 et août 1879, il souffre de cette fracture du fémur bilatérale qui aggrave son retard de croissance : il ne dépassera pas la taille de 1,52 m. On essaye de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb.
Ce traitement qui se révèlera inutile, lui infligera d'atroces souffrances...

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jeudi 1 octobre 2020

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Le polisseur de marbre


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901), Le polisseur de marbre.



Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Le polisseur de marbre, 1884
Collection Privée


Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa et d'Adèle Tapié de Céleyran, Henri de Toulouse-Lautrec est né dans l'une des plus illustres familles nobles de France, qui s'enorgueillissait de descendre en droite ligne des comtes de Toulouse, les plus puissants seigneurs féodaux du royaume jusqu'au XIIIe siècle. Malgré son nom illustre, cette famille vit au XIXe siècle comme une famille de la noblesse plus ou moins aisée de province. Les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d'éviter la division des patrimoines et l'amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d'Henri, cousins au premier degré, c'est à dire issus de germains. Ils eurent deux garçons, Henri, l'aîné et, quatre ans plus tard, son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après. L'incompatibilité d'humeur entre les deux parents entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère. Il grandit entre Albi, le château du Bosc (demeure de ses grands-parents paternels) et le château de Celeyran (demeure de la famille de sa mère) où il a peint quelques magnifiques portraits, très éloignés des peintures de cabarets et de la vie parisienne qui le rendirent célèbre à travers le monde.
Henri de Toulouse-Lautrec a eu, de son propre aveu, une enfance plutôt heureuse, jusqu'au moment où se révèle, en 1874, une maladie qui affecte le développement des os, la pycnodysostose, maladie génétique, due sans doute à la consanguinité de ses parents. Ses os sont fragiles et, le 30 mai 1878, il trébuche et tombe. Le médecin diagnostique le fémur gauche brisé et, en raison de sa maladie, la fracture se réduit mal. Entre mai 1878 et août 1879, il souffre de cette fracture du fémur bilatérale qui aggrave son retard de croissance : il ne dépassera pas la taille de 1,52 m. On essaye de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb.
Ce traitement qui se révèlera inutile, lui infligera d'atroces souffrances...


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vendredi 20 mars 2020

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Portrait d'Emile Bernard


 


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Portrait d'Emile Bernard, 1885
National Gallery London 

Toulouse Lautrec a beaucoup peint ses amis peintres. Ce blog a déjà publéi son portrait de Vincent Van Gogh et celui du sculpteur Henry Nocq.   Il aurait été étonnant qu'il ne peigne pas Emile Bernard qu'il rencontra  quand il avait 16 ans  dans l'atelier de peinture de Fernand Cormon, où Emile Bernard se lia immédiatement d'amitié avec  avec Louis Anquetin et Henri de Toulouse-Lautrec. Les deux peintres l'emmènent au musée du Louvre mais aussi dans les cabarets de Montmartre pour le déniaser un peu, comm eon disait à l'époque... Exclu de l'atelier Cormon en 1886 pour manque de discipline, il quitte Paris pour un voyage à pied en Normandie et en Bretagne où  il Paul Gauguin.


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mercredi 29 janvier 2020

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Portrait de Vincent van Gogh

 


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Portrait de Vincent van Gogh, 1887 
Pastel sur carton, 54x45 cm 
Van Gogh Museum, Amsterdam

A en croire Paul Signac, Vincent van Gogh se rendait tous les jours dans un bar, où « absinthes et les cognacs se succédaient rapidement». Van Gogh avoua lui-même plus tard qu'il était «presque alcoolique» au moment de son départ pour Arles. Henri de Toulouse-Lautrec avait donc de bonnes raisons d'esquisser son ami à une table avec un verre d'absinthe, un objet de son quotidien que Van Gogh n'hésita pas à peindre.
Toulouse Lautrec a rencontré Van Gogh, qui avait onze ans de plus que lui, dans l'atelier de Fernand Cormon, dont ils étaient tous les deux des élèves. Ils ont probablement travaillé ensemble de manière intensive pendant un certain temps, car le style et la technique de leurs peintures à cette époque se ressemblent beaucoup.
Malgré ses quelques informations sur leur jeunesse,  on ne sait pas grand-chose de leur amitié dont il reste cet unique pastel émouvant.

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samedi 5 octobre 2019

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Portrait de Henri Nocq



Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Portrait de Henri Nocq, 1897. 
Peinture à l'essence sur panneau  63.9 x 48.2 cm
Private collection  (Christie's Images, New York)


Henry Nocq (1868 -1944) fut un sculpteur, médailleur et orfèvre français mais aussi un peintre et un aquarelliste qui a laissé de nombreux bijoux remarquables.
Élève d'Henri Chapu,  Grand prix de Rome, sociétaire de la Société des artistes français, dès 1887, il participa régulièrement au Salon des artistes français où il reçut une mention honorable en 1889.
Il est honoré d'une médaille d'argent à l'Exposition universelle de 1900  
Il a écrit plusieurs ouvrages consacrés à l'orfèvrerie, dont Le Poinçon de Paris publié en cinq volumes de 1926 à 1931, où il recense les orfèvres parisiens et leurs poinçons. Cet ouvrage continue à faire référence de nos jours.
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vendredi 2 août 2019

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Le Joueur de flûte



Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Le Joueur de flûte, c. 1884. 
Oil on canvas, 40 x 32.2 cm. 
Private collection   (Sotheby's Images, London)


Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa  et d'Adèle Tapié de Céleyran, Henri de Toulouse-Lautrec,  est né dans l'une des plus illustres familles nobles de France, qui s'enorgueillisait de descendre en droite ligne des comtes de Toulouse,  les plus puissants seigneurs féodaux du royaume jusqu'au XIIIe siècle.  
Malgré son nom illustre, cette famille vit au XIXe siècle comme une famille de la noblesse plus ou moins aisée de province.
Les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d'éviter la division des patrimoines et l'amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d'Henri, cousins au premier degré, c'est à  dire issus de germains. Ils eurent deux garçons, Henri, l'aîné et, quatre ans plus tard, son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après. L'incompatibilité d'humeur entre les deux parents entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère. Il grandit entre Albi, le château du Bosc (demeure de ses grands-parents paternels) et le château de Celeyran (demeure de la famille de sa mère) où il a peint quelques magnifiques portraits,  très éloignés des peintures de cabarets et de la vie parisienne qui le rendirent célèbre à travers le monde. 
Henri de Toulouse-Lautrec a eu, de son propre aveu, une enfance plutôt heureuse, jusqu'au moment où se révèle, en 1874, une maladie qui affecte le développement des os, la pycnodysostose, maladie génétique, due sans doute à la consanguinité de ses parents. Ses os sont fragiles et, le 30 mai 1878, il trébuche et tombe. Le médecin diagnostique le fémur gauche brisé et, en raison de sa maladie, la fracture se réduit mal. Entre mai 1878 et août 1879, il souffre de cette fracture du fémur bilatérale qui aggrave son retard de croissance : il ne dépassera pas la taille de 1,52 m. On essaye de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb. 
Ce traitement qui se révèlera inutile, lui infligera d'atroces souffrances...
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vendredi 15 mars 2019

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Portrait d'Albert Grenier


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Portrait d'Albert (René) Grenier. 
Huile sur bois, (34 x 25 cm), 1887
The MET Museum


Durant  les années 1880, Grenier et Toulouse-Lautrec étaient étudiants ensemble dans l'atelier parisien du peintre d'histoire académique Fernand Cormon. Ils sont rapidement devenus amis : Lautrec a même vécu brièvement avec Grenier et sa maîtresse, Lili, actrice et modèle, et a réalisé plusieurs peintures du couple...
 Une inscription au verso de ce portrait indique qu'il a été peint dans l'atelier de Lautrec à Montmartre, rue Caulaincourt, en 1887. Il a utilisé des lavis de pigments à l'aquarelle très fins, appliqués sur un crayon fin, pour produire une étude très touchante du caractère de son camarade.
Visible au MET 5th avenue, New York,  Gallery 817

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lundi 18 février 2019

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Un travailleur à Celeyran 1882


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
 Un travailleur à Celeyran 1882 
Collection privée 

Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa  et d'Adèle Tapié de Céleyran, Henri de Toulouse-Lautrec,  est né dans l'une des plus illustres familles nobles de France, qui s'enorgueillisait de descendre en droite ligne des comtes de Toulouse,  les plus puissants seigneurs féodaux du royaume jusqu'au XIIIe siècle.  
Malgré son nom illustre, cette famille vit au XIXe siècle comme une famille de la noblesse plus ou moins aisée de province.
Les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d'éviter la division des patrimoines et l'amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d'Henri, cousins au premier degré, c'est à  dire issus de germains. Ils eurent deux garçons, Henri, l'aîné et, quatre ans plus tard, son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après. L'incompatibilité d'humeur entre les deux parents entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère. Il grandit entre Albi, le château du Bosc (demeure de ses grands-parents paternels) et le château de Celeyran (demeure de la famille de sa mère) où il a peint quelques magnifiques portraits,  très éloignés des peintures de cabarets et de la vie parisienne qui le rendirent célèbre à travers le monde. 
Henri de Toulouse-Lautrec a eu, de son propre aveu, une enfance plutôt heureuse, jusqu'au moment où se révèle, en 1874, une maladie qui affecte le développement des os, la pycnodysostose, maladie génétique, due sans doute à la consanguinité de ses parents. Ses os sont fragiles et, le 30 mai 1878, il trébuche et tombe. Le médecin diagnostique le fémur gauche brisé et, en raison de sa maladie, la fracture se réduit mal. Entre mai 1878 et août 1879, il souffre de cette fracture du fémur bilatérale qui aggrave son retard de croissance : il ne dépassera pas la taille de 1,52 m. On essaye de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb. 
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mardi 28 novembre 2017

Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) - Paul Leclercq


Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901)
Paul Leclercq, 1897 
Musée d'Orsay, Paris


Fils du comte Alphonse de Toulouse-Lautrec-Monfa  et d'Adèle Tapié de Céleyran, Henri de Toulouse-Lautrec,  est né dans l'une des plus illustres familles nobles de France, qui s'enorgueillisait de descendre en droite ligne des comtes de Toulouse,  les plus puissants seigneurs féodaux du royaume jusqu'au XIIIe siècle.  
Malgré son nom illustre, cette famille vit au XIXe siècle comme une famille de la noblesse plus ou moins aisée de province.
Les mariages dans la noblesse se faisaient couramment entre cousins afin d'éviter la division des patrimoines et l'amoindrissement de la fortune. Ce fut le cas des parents d'Henri, cousins au premier degré, c'est à  dire issus de germains. Ils eurent deux garçons, Henri, l'aîné et, quatre ans plus tard, son frère Richard-Constantin, qui mourut un an après. L'incompatibilité d'humeur entre les deux parents entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère. Il grandit entre Albi, le château du Bosc (demeure de ses grands-parents paternels) et le château de Celeyran (demeure de la famille de sa mère) où il a peint quelques magnifiques portraits,  très éloignés des peintures de cabarets et de la vie parisienne qui le rendirent célèbre à travers le monde. 
Henri de Toulouse-Lautrec a eu, de son propre aveu, une enfance plutôt heureuse, jusqu'au moment où se révèle, en 1874, une maladie qui affecte le développement des os, la pycnodysostose, maladie génétique, due sans doute à la consanguinité de ses parents. Ses os sont fragiles et, le 30 mai 1878, il trébuche et tombe. Le médecin diagnostique le fémur gauche brisé et, en raison de sa maladie, la fracture se réduit mal. Entre mai 1878 et août 1879, il souffre de cette fracture du fémur bilatérale qui aggrave son retard de croissance : il ne dépassera pas la taille de 1,52 m. On essaye de le guérir au moyen de décharges électriques et en lui plaçant à chaque pied une grande quantité de plomb. 
Ce traitement qui se révèlera inutile, lui infligera d'atroces souffrances...
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